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Oshima Riho - I'm hard on the outside but if you give me time then I could make time for your love.
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Oshima Riho - I'm hard on the outside but if you give me time then I could make time for your love.
Anonymous
Invité
花が咲いたよ

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Oshima Riho
Ft. Lisa (Blackpink)

nom Oshima prénom Rihoko, mais préfère juste "Riho" âge 24 ans nationalité/origines Japonaise date de naissance / lieu Née dans le petit village de Narusawa, dans la préfecture de Yamanashi, le 12 Avril 1997 orientation Elle cache son homosexualité, car c'est un sujet épineux statut ; classe sociale Défavorisée, elle sort de plusieurs années à la rue profil : Etudiante japonaise.

Fantasque
Dynamique
Asociale
Passionnée
Colérique
Indépendante
pseudo Yesferatu t'es de quel coin ? Un peu partout, je bouge beaucoup temps de connexion plusieurs fois par semaine petit mot Merci de m'accueillir à nouveau ici ! <3


On veut en savoir plus sur toi
あなたについて知りたい
Q :  Tu es en quelle année et tu étudies quoi à Chûô ?

R : Seconde année de faculté d'art, spécialisation dessin.

Q : Et à côté des études, tu as un baito ?

R : Riho est artiste peintre depuis quatre ans, son nom d'artiste est O-Shima. Elle a vendu plusieurs tableaux - ce qui lui permet de compléter sa maigre bourse - et quelques expositions, commençant à être reconnue petit à petit.

Q : Quel est l’endroit où on risque le plus souvent de te trouver sur le campus ?

R :  Au rez-de-chaussé de la résidence Seiseki, dans le fumoir car elle fume comme un pompier.

Q : A Chûô, est-ce que tu participes à des clubs ou des cercles ?

R : Riho participe au club de karaté et au cercle de dessin, même si elle a du mal à s'investir dans les deux en raison de son caractère solitaire. Elle y vient régulièrement par convention plus que par envie.

Q : Tu vis à la résidence Seiseki ou par tes propres moyens ?

R : Riho vit depuis un an à la résidence Seiseki, soutenue financièrement par sa tante Reiko. Cependant si elle délaisse ses études, cette dernière l'a menacée de lui couper les vivres. Vendre des toiles apporte donc un bonus non négligeable quand ça arrive, car Riho n'a jamais voulu prendre de baito à cause de son problème avec l'autorité.

Q : Tu te décrirais comment en quelques mots ?

R : Dynamique + fantasque + franche + a du mal à s'attacher + généreuse + indécise + aventureuse + vraiment farouche + courageuse + dure avec les autres + débrouillarde + très colérique + HPI + hypersensible + socialement awkward + fidèle + perfectionniste.

Riho est une fille difficile à cerner aux éclats d'humeurs homériques. Vite piquée au vif, elle est méfiante avec les autres, plutôt autoritaire, foncièrement sur la défensive. Renfermée sur elle-même, excentrique, c'est une jeune femme active, déterminée, rapide et impatiente, au caractère ombrageux, plutôt dure et susceptible. Ni douce, ni souple, ni compréhensive, Riho est entière et passionnée et l’orgueil est son moindre défaut. Son émotivité à fleur de peau - qu'elle essaye de cacher - lui fait sans doute amplifier les situations. Cependant si vous lui laissez du temps et dépassez sa carapace, vous découvrirez une jeune femme courageuse, active, franche et sans ambiguïtés malgré son côté excessif. S'étant déscolarisée plusieurs années et ayant vécu à la rue, son passif l'a surement un peu trop endurcie, en faisant un vrai chat sauvage. Mais les chats savent être affectueux si on leur donne du temps.

Égocentrique, elle est avant tout concernée par elle-même et sa propre affirmation mais c'est surtout une façade. Être distante est pour elle un mécanisme de défense. Riho est souvent déconcertante car elle tend à réprimer fortement ses sentiments et passe souvent pour beaucoup plus insensible et froide qu'elle ne l'est en réalité. Elle éprouve le sentiment fréquent d'être incomprise mais peine à être claire malgré sa franchise un peu blessante : elle a du mal à communiquer avec les autres. De fait, le domaine sentimental n'est pas facile pour elle. Fantaisiste et bohème, Riho exige beaucoup de la vie et est souvent déçue pour cette raison, en proie à ses déséquilibres intérieurs.

Ses maladresses et incompréhensions sociales s'expliquent par le fait qu'elle soit HPI (haut potentiel intellectuel, QI de 130+) et donc hypersensible, difficile à suivre quand elle est passionnée, perfectionniste, avec une pensée intuitive et rapide couplée à une pensée en arborescence, et manque de la plupart des codes sociaux, totalement intolérante à la frustration. Souvent, elle est blessante sans s'en rendre compte par exemple, incapable de mentir ou de dissimuler ses pensées. Elle s'exprime beaucoup par l'agressivité, à la fois physique et verbale et il lui est difficile d'accepter l'autorité ou les restrictions. Mais une fois passé ses défenses, vous trouverez une amie fidèle et prête à tous les sacrifices pour vous.

Q : Et finalement, dis-nous en un peu plus sur ton parcours jusqu’à aujourd’hui.

R : D'abord, j'ai perdu des amis. J'ai jamais été vraiment douée pour approcher les autres, et encore moins pour les garder. Je ne me souviens du charme champêtre du petit village de Narusawa où mes parents avaient décidé de s'installer. Mon père était photographe et avait toujours voulu percer le mystère de la forêt d'Aokigahara, la forêt des suicidés, comme on l’appelle. Moi, j'étais une gosse. Je voyais pas le problème. Mon enfance, c'est dans les petites rues, sur les berges des rivières que je l'ai vécu. Au loin, le mont Fuji comme un décor de carte postale était la seule chose de stable dans mon environnement. Mes parents ont divorcé quand j'étais toute petite ; j'me souviens plus à quel âge. J'ai rapidement été seule, sans l'envie de m'arracher aux bras de la solitude. En classe, j'avais pas envie de parler aux autres gamins, pas besoin de partager mes passions, plutôt réduites. Moi, j'aimais dessiner. Plus tard, j'ai aimé la photo, qui me rappelait mon père. J'étais dans mon coin, avec ma jolie mélancolie. J'savais pas trop faire : les autres m'énervaient rapidement, et je ne les comprenais pas. J'étais chelou, tu vois, mais moi j'préférais en rire. J'ai eu mes premières amies au lycée, quand je suis sortie de ma cambrousse pour étudier à Hakone. J'étais bien dans mon petit trou paumée que j'explorais avec mon vieux quand il acceptait de m'emmener avec lui en exploration dans cette putain de forêt glauque. C'est pas pour faire ma fille mystère, mais j'aimais ma vie comme ça.

Moi, j'sais pas comment attraper les mains qu'on me tend. J'ai jamais été douée pour ça. Les garçons, ça m'intéressait pas. Les histoires d’amour à la télé, je pensais que c'était mal joué ; je m'y reconnaissais pas. Mes copines me montraient du doigt quand je leur disais que ça me branchait pas. C'est con des fois, les filles. On s'est jamais vraiment compris elles et moi, même si j'parle pourtant la même langue, que j'fais des efforts. On dit que les HPI - j'aime pas le terme "surdoués" - sont souvent en décalage avec les autres, ou alors c'est juste que je suis vraiment con. Je me suis éloignée - peut-être que j'ai pris peur sur un malentendu - et j'ai mis de la distance entre moi et mes amies du lycée. Trop jolies pour moi, j'avais besoin d'air. De ma fierté comme d'une couverture de survie. J'avais besoin d'air, de voir du pays, de trouver ma vie et surtout de fuir ce que je venais de comprendre. J'ai tout plaqué pour aller vivre à Tokyo quand j'ai eu vingt ans, pour étudier la communication visuelle. C'était juste une fuite en avant.

Pardonnez-moi si je vous ai lâché. Pardonnez-moi, j'étais écorchée.

Ensuite, j'ai perdu du temps. J'aimais pas ce que je faisais, j'aimais pas Tokyo. J'aimais pas ces gens aux yeux arrondis par la routine. Je traînais dans les rues, je graphais les murs plutôt que d'aller en cours, et on m'a retiré ma bourse. J'voulais mettre de la couleur dans ma vie, au lieu de subir les routes grises de la capitale. C'est en séchant mes cours que j'ai découvert que ma passion n'était pas juste un hobby mais aussi ce qui me permettait de respirer, de vivre ; ou peut-être que c'était juste que j'étais vraiment con. Mes parents réunis pour l'occasion m'ont rappelé à la maison durant les premières vacances, pour me doucher de reproches. Mais y'a autre chose, encore. Un truc plus difficile à sortir, qui m'a tout fait perdre. Connerie de sincérité. Ça faisait des jours que je ressassais. J'ai vomi la grande nouvelle, quand on s'est réuni un soir pour mon anniversaire ; ils m'ont regardé comme une inconnue. Imaginez : la fille prodige est une homo. J'ai capté dans leurs regards ce que je voulais pas voir, et j'me suis cachée dans le noir du placard, tout bêtement. Mes parents ne me reconnaissaient pas. Ils ne m'acceptèrent pas. Alors, j'ai tout plaqué. C'était trop p'tit dans le placard, alors j'ai encore une fois abandonné tout le monde pour faire comme je pouvais, en faisant des petits boulots pour arriver à bouffer. Je graphais les murs au passage, je dormais sous les ponts, chez les filles avec qui je flirtais juste pour pouvoir dormir au chaud et me tirer le lendemain.

J'ai fais, crois-moi, tout un tas de conneries. Des petites et des grosses, et j'ai même un casier. J'ai volé, j'ai cassé des trucs. J'ai menti, même si j'aime pas ça. J'ai couché contre de l'argent, mais j'avais besoin de bouffer et de dormir. Jamais je me suis attachée, parce que c'était pas possible quand tu mènes ce genre de vie, tu vois. Je suis jamais revenue chez ma famille, parce qu'ils pensaient que j'avais une tare. Comme quoi, en quelques mots, tu passes de héros à zéro. J'ai fais l'tour du Japon et je me suis jamais trouvée. J'ai cherché dans les décors qui défilaient, dans les gens que je croisais, dans les opportunités que je manquais ou que je saisissais. J'ai fais plein de trucs, en peu de temps. J'ai découvert que ce qui était fait pour moi, c'était la vie d'Bohème, c'était les voyages, c'était la peinture sur mes jeans et mes t-shirts, sur les murs, pour mettre la couleur qui manquait dans mon cœur ; parce que j'allais mal, tu vois, et que j'avais besoin de guérir.

Adieu, jolie mélancolie. Je veux plus de toi dans ma vie, t'as trop traîné dans mes yeux.

Ensuite, je t'ai perdue toi aussi. Mais en un an, Kawaguchiko, Nagoya, Fukuoka, Chiba, Nara... c'était pas forcément mieux. J'ai croisé des gens dingues à Yokohama, des dingues et des paumés, j'ai vécu dans un squat avec eux et j'ai laissé s'exprimer ma créativité en toute liberté. C'est là que j'ai rencontré Mikoto. Cette fille, quand elle entrait dans une pièce, elle était comme le soleil au milieu de l'hiver. Elle avait peur de rien, Mikoto, et surtout pas de moi quand je lui gueulais dessus pour essayer de la faire fuir. Alors, petit à petit, j'ai appris à l'aimer et elle m'a donné de la stabilité. J'ai pu trouver un appart et faire des colocations, vendre des toiles, développer mes techniques et combattre la mélancolie. Je me sentais presque accomplie, avec Mikoto. Je passais des heures à regarder les photos qu'elle faisait, quand elle les classait sur son tout p'tit lit. Je faisais des efforts, même si j'étais clairement inadaptée à la vie à deux. Ça n'a duré que quelques mois nous deux, mais c'était ma première fois ; on s'était connues sur un malentendu et on a pris l’habitude l'une de l'autre. On s'est apprivoisées. Peut-être qu'on était un peu trop fusionnelles, ou alors trop farouches, trop indépendantes. Je sais pas comment on tient une relation, alors je sais pas plus comment on la foire. On faisait tout ensembles, et maintenant on a plus rien en commun.

Je l'aime encore. Aujourd'hui j'écris mon histoire ailleurs pour avoir des choses à lui dire. Je sais pas si j'ai encore envie de m'arracher des bras de la solitude qui m’enlace trop souvent. Mais y'a un truc que je sais, vraiment : maintenant je vis pour ma peinture, même si j'bouffe pas bien en fin de mois. C'est ma passion qui me nourrit, quitte à être pauvre. Je suis peut-être un peu con, mais j'ai envie de vivre ma vie libre, sans attaches, sans déceptions. Mettre des couleurs sur les murs, dans mon cœur, dans la vie des autres et la mienne. Je sais pas si quelqu'un pourrait accepter ce que je suis, et ce que je refuse d'être. Le jour où ma tante Reiko est revenue vers moi, je l'ai rejetée avant de réfléchir. Elle me proposait de reprendre mes études pour structurer ma vie, et de tenter de demander une bourse parce que je n'étais pas si mauvais élève. Le pire, c'est que ça a marché, et je suis arrivée à l'université de Chuo. Durant la première année, je ne savais pas si j'allais arriver à y vivre, à me faire des amis. Trop fière, même si je n'ai pas peur que les autres me fassent souffrir. Trop fragile, j'en sais rien. Les filles me mettaient mal à l'aise, à part peut-être Ayame, avec qui l'équilibre était fragile mais présent. Je pense qu'elle m'a adoucie et que son mutisme m'a étrangement aidé à l'accepter car elle était différente des autres : les enfants cassés se reconnaissent entre eux, j'en suis persuadée. Elle était précieuse pour moi mais comme à chaque fois que j'ai de forts sentiments pour quelqu'un, je fuis. Alors je me suis éloignée sans rien lui expliqué, parce que j'avais peur. Peur de ne pas pouvoir me passer d'Ayame, surement peur de comprendre la nature de mes sentiments, de découvrir que j'étais peut-être amoureuse d'elle. Je lui ai fait du mal, et j'me suis fait du mal aussi mais j'ai continuer mon année sans redoubler. Dans mon coin, avec mes peintures et mon imaginaire, toute seule. J'ai regretté et je regrette toujours mais c'est pas mon genre de le dire, pas mon genre de revenir... pourtant, y'a ce manque. Y'a ce quelque chose qui ne va pas et qui me frustre, qui m'empêche d'avancer dans cette seconde année. Une sorte de douleur.

La douleur, je préfère en rire. Toute façon, y'a rien à dire, alors je la porte fièrement.

Koizumi Yûji
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花が咲いたよ
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Re bienvenue ! heart
Pour la peine même si je connais déjà Riho j'ai relu ta fiche et j'aime toujours autant ton style d'écriture ** Trop cute le passage sur Ayame j'étais en mode "aaaaaw". 

Hâte de pouvoir rper à nouveau avec toi :D

Bienvenue chez toi ! :hearts:
Tu es validé(e) prêt(e) à jouer !


Cher étudiant,
Tu as été accepté à l'université Chûô, dans le secteur ARTS, 2ème anéee. Ton bâtiment de référence est le N° B4 ET C SQUARE.

Tu as informé la scolarité que tu résidais à LA RESIDENCE SEISEKI.
Tu loges au N° 301 .

La vie du campus est importante, si l'envie te prend de t'impliquer, n'hésite pas à rejoindre un cercle ou un club. (Consulte également l'annexe de la Résidence Seiseki pour tes futurs rps.) → supprimer si pas seiseki

✯✯✯


Cher(e) joueur(se), voici tes minimes tâches post-validation :

1# PROFIL : Renseigne bien tous les champs de ton profil pour mieux guider les membres :3

2# LIENS UTILES : Rendez-vous dans Entrez dans la vie active pour toutes les démarches h-rp, et dans l'agence polyvalente pour le in-rp. Dans Vie sociale, tu trouveras les fiches de liens et la chronologie. Dans Social Media, tu pourras créer un LINE et un Instagram et participer à la radio Seiseki. Au besoin, tu peux devenir le pré-lien d'un membre heart

3# FLOOD : N'hésite pas à venir flooder pour faire connaissance avec les membres ou de rejoindre le Discord !

Bon jeu sur ODIS et le staff est là au besoin heart

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