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Sakurai Ayame
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sakurai ayame
âge 20 ans
date & lieu de naissance écrire ici
nationalité & origines japonaise et japonaises
études/métier étudiante en littérature moderne
logement résidence seiseki
sexualité & statut potentiellement bisexuelle
situation financière écrire ici
projet & situation pourquoi votre perso est à Tama/Tokyo ? Il y est né, y a emménagé ? S'il est étranger, il s'est expat ici, fait des études, ... ?
Précisez aussi si votre perso est un transféré temporaire de Seiseki à Tamadaira.
caractère
Le prénom Ayame signifie « Iris », en hommage à la fleur préférée de sa mère ; On peut croire qu’Ayame est un cordon bleu, mais elle ne sait préparer que 3 plats : les Okonomiyaki, la ratatouille (merci Mia) et le riz au curry ; Ayame, bien qu’incapable de parler pour le moment, n’est pas une fille timide et naïve pour autant, bien que son physique enfantin laisse à croire le contraire ; Ayant du mal à évoluer dans le monde réel à cause de son « handicap », la jeune femme passe beaucoup de temps sur Internet et tient un blog sur ses découvertes au fil de ses promenades, ainsi que ses lectures ; elle est passionnée de dessin et de photographie et elle aimerait trouver un baito d’assistante de mangaka en parallèle de ses études (pas besoin de parler) ; aimant écrire, il lui arrive d’écrire de vraies lettres et des cartes postales, mais elle oublie souvent de les poster ; elle n’est pas mauvaise étudiante mais plutôt difficile à motiver, et se déconcentre vite : ses études à distance ont été difficiles à gérer pour elle ; elle entretient une bonne complicité avec sa mère même si elle trouve que celle-ci la couve parfois trop ; elle n’a pas eu la patience d’apprendre la langue des signes, et c’est aussi car elle espère secrètement réussir à parler à nouveau, quand le traumatisme sera passé ; elle se contente donc de rédiger sur ton téléphone ou une feuille volante lorsqu’elle a quelque chose à dire (elle est souvent accompagnée d’une tablette tactile avec un stylet pour aller plus vite) ; Ayame est une personne relativement têtue et a du mal à s’avouer vaincue, elle aime avoir le dernier « mot » ; depuis le traumatisme, elle a une peur bleue des hommes de manière générale, ne les fréquente que si elle y est obligée (camarades de classe), et est incapable de s’imaginer sortir avec un homme, bien qu’elle ait eu un ou deux petits amis par le passé ; si au départ elle vivait mal la solitude causée par son mutisme, aujourd’hui elle s’en fout complètement car elle a quelques personnes importantes dans son entourage, sa famille, et ça lui suffit, surtout qu’elle s’est trouvé des hobbies où l’absence de sa voix ne pose aucun souci.

ma petite histoire

Enfance banale ;

Le tableau familial d’Ayame est relativement simple : des parents aimants, jeunes mais responsables, prêts à choyer leur enfant qui restera enfant unique. Des grand-parents maternels présents à tous les anniversaires et nouvelles années, comblant l’absence des paternels, décédés très tôt.
Ayame était une enfant assez caractérielle, et aimait défier l’autorité parentale dès que possible. Elle avait du mal à être obéissante, mais s’est assagie en grandissant.
Grande lectrice depuis son plus jeune âge, elle est passionnée d’univers fantastiques et fantasy (c’est une Potterhead certifiée). L’un de ses rêves était d’aller à Universal Studio Japan à Ôsaka pour visiter la zone Harry Potter (elle attend toujours).
Bref, un tableau on ne peut plus banal. Elle allait à l’école de son quartier à pied, avait des copines et des copains, avait redécoré les murs de sa chambre de jolis dessins au grand dam de sa mère.

Au mauvais endroit au mauvais moment ;

Le tableau se noircit vers la fin du collège. Ayame n’avait jamais été une lumière, mais restait dans la moyenne. Elle avait des facilités dans les matières littéraires mais pêchait dans les scientifiques. Elle étudiait souvent jusque tard le soir avec ses amis à la bibliothèque de quartier.
Un soir, elle rentra plus tard que prévu ; ses amis et elle s’étaient dit au revoir devant les guichets de la gare, et il ne lui restait qu’une dizaine de minutes jusqu’à chez elle : dix minutes de trop.
Au détour d’une ruelle plus étroite que les autres, elle se retrouva témoin d’une agression sexuelle. Paralysée, tétanisée, elle fut incapable de s’enfuir et assista à l’intégralité de la scène, du moment où la jeune femme, à peine plus âgée qu’elle, se débattait, jusqu’à la satisfaction de son agresseur. Ce dernier, prêt à s’enfuir comme tout coupable et à laisser sa victime seule, remarqua la présence d’Ayame, tremblante, et il devait avoir peur d’être dénoncé puisqu’il s’approcha d’elle, prêt à lui faire subir le même sort qu’à la jeune femme, ou pire encore.
Ayame, dans un élan de détresse, poussa un cri tellement puissant qu’elle dut alerter tout le voisinage. Ce fut d’ailleurs le dernier son qu’elle produisit. L’homme lui plaqua une main sur la bouche pour qu’elle cesse d’ameuter tout le monde, et Ayame ferma les yeux, sachant ce qui l’attendait.
Cependant elle eut plus de chance que la victime précédente car deux jeunes, sûrement des lycéens, débarquèrent dans la rue et réussirent à intervenir avant que le mal soit fait.
Ayame était tellement tétanisée qu’elle s’attendait à ce que les deux lycéens la prennent pour cible à leur tour. Mais à la place, ils lui prêtèrent un gros sweat et la conduisirent au poste de police de proximité pour porter plainte. Mais elle fut incapable de sortir un seul mot. Si la plainte fut posée et une enquête ouverte, ce fut grâce au témoignage des deux jeunes hommes. Quant à la victime, elle ne se manifesta jamais.

La descente aux enfers ;

Ayame ne fut pas en mesure de raconter les événements à ses parents à son retour. Elle était restée longtemps au poste de police, le temps de se calmer et de rentrer avec une allure normale. Le policier avait voulu appeler ses parents, mais elle avait refusé, ne voulant leur causer aucune inquiétude puisque de toute façon le drame avait été évité. Il l’avait tout de même ramenée devant chez elle en toute discrétion.

Au départ, ses parents prirent son mutisme pour une crise d’adolescence et une sorte de rébellion soudaine, afin de les faire tourner en bourrique. Afin de ne pas les inquiéter inutilement, la jeune femme joua le jeu un moment, rentrant la tête baissée de l’école, s’enfermant dans sa chambre pour lire et dessiner. Cela la tuait car elle avait toujours été proche d’eux. Mais cela l’aidait également car depuis l’incident elle était devenue paranoïaque sur les hommes : peut-être qu’au fond son père aussi était une mauvaise personne.

Les vacances scolaires arrivèrent, où elle passa le plus clair de son temps entre sa chambre et les coins de rivière situés à Tôkyô. Ils étaient assez rare, elle détestait la capitale bien qu’elle y ait grandi, il y avait bien trop de monde, et elle fuyait cette foule du mieux qu’elle pouvait. Elle faisait toujours en sorte de rentrer avant la nuit tombée, et n’emprunta plus jamais le chemin « maudit ».

Le lycée ;

Ayame intégra un petit lycée mixte, sans histoire, dans lequel elle se lia d’amitié avec une jeune métisse franco-japonaise, Mia, malgré son mutisme. Elle lui en sera toujours reconnaissante. Le fait d’avoir une amie rassurerait également ses parents qui continueraient de croire en cette crise d’ado.
Mais le traumatisme était plus ancré que prévu et six mois plus tard, elle n’avait toujours pas prononcé un mot. Ses parents comprirent que quelque chose n’allait pas et décidèrent de la changer de lycée, pensant qu’elle subissait des brimades de ses camarades. Ironiquement, ils la placèrent dans un établissement pour filles, ce qui la soulagea énormément même si cela ne débloqua rien. Fréquenter autant de garçons concentrés sur le seul et unique sujet de sortir avec une fille avait été douloureux.

Finalement, elle rata ses examens de première année et ses parents la retirèrent de l’école, optant pour des cours par correspondance. Elle refit donc une 1ère année de lycée depuis son domicile, son seul contact humain en dehors de ses parents étant Mia.
Tout son lycée s’effectua à distance, et elle réussit tant bien que mal ses examens. Elle s’était entre temps prise de passion pour l’écriture et rédigeait un blog où elle racontait avec émotion et sincérité ses découvertes solitaires.
Mais petit à petit, l’envie de renouer avec le monde normal dans l’espoir de retrouver sa voix se fit sentir …

Premiers pas à Chûô ;

Convaincre sa famille fut un combat de longue haleine, mais Ayame finit par leur faire entendre raison. Elle dut leur promettre que quand elle serait prête, elle leur expliquerait le pourquoi du comment, mais il était encore trop tôt. Elle leur avait expliqué dans une longue lettre son besoin de renouer du contact avec le monde extérieur, isolée trop longtemps.
Elle leur avait expliqué son souhait de rejoindre l’université de Chûô où Mia se trouvait déjà, ainsi que de prendre un peu son autonomie en vivant dans la résidence universitaire. C’était une décision mûrement réfléchie, et même si elle était morte de trouille à l’idée de vivre entourée d’hommes, elle avait compris que plus elle fuyait son problème et sa peur, et moins ils se résoudraient.

Ce qui convainquit ses parents était que Mia vivait également à la résidence et pourrait la soutenir en cas de besoin. Ils avaient confiance en la jeune femme et en leur fille, si elle pensait que cette solution était pour son bien. Ils acceptèrent à condition qu’elle leur rende visite une fois par semaine (au moins au début). Et puis ce n’était pas si loin : ils habitaient du côté d’Asakusa et il y avait un peu moins d’une heure de trajet.
Ayame réussit l’examen d’entrée en 1ère année, et prépara ses affaires pour prendre son envol, moitié impatiente, moitié morte de trouille. Que lui réserverait l’université ? Elle n’en savait rien.
derrière l'écran
un petit commentaire JE SUIS CONTENTE DE REPRENDRE LE RPG ASIAT', QUI PLUS EST AVEC DES GENS AUSSI ADORABLES ! ♥ CA M'AVAIT MANQUÉ !

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Coupine :hug: :love:

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Ouiii c'est moi ♥
Copiiiiines ! :pompom: :cute:

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