Nom kato Prénom(s) leon Âge dix neuf ans Nationalité japonaise Origines japonaise Sexualité bisexuel études / Métier première année de droit | Caractère C'est un homme tout à fait intimidant au premier contact, quelque peu déstabilisant par sa façon d'être froid et distant cependant, il est loin d'être le monstre horrible et sombre dont tout le monde parle car oui, les bruits courent que ce cher garçon ferait partie d'une mauvais bande à fort réputation et pas des plus belle malheureusement. Parlons en de cette réputation, ou plutôt, de cette rumeur, car oui ça en est une. Beaucoup le pense sans coeur mais il en est autrement. Leon est le genre de garçon qui n'aime pas spécialement se mêlé à la foule. Préférant être solitaire plutôt que grand sociable, il aborde un côté obscur sans pour autant être maléfique, bien au contraire. Il est certes dominant dans ses actes, parfois quelque peu violent selon les circonstances mais n'en reste pas moins quelqu'un de protecteur. Il connait ses limites et sait pertinemment quand il doit s'arrêter avant de commettre l'irréparable.
Leon est un garçon qui possède de multiple facette mais au grand malheur de certains mauvais intentionnés, il ne s'en servira pas pour faire le mal autour de lui, bien au contraire. Il sait très bien tiré profit de cet avantage. D'un esprit fourbe et légèrement calculateur, il sait où aller et comment faire pour obtenir ce qu'il convoite. Rien ne passe aux travers de ses filets, ou presque. Rare sont les choses ou les personnes qu'il perd en chemin. Il arrive parfois que même sa loyauté lui joue des tours. Ce petit trait de sa personnalité se mélange parfois avec sa faible naïveté. Lorsque monsieur est amoureux, on en perd tout le mystère et la noirceur du personnage. Fidèle comme un inséparable, il se montre jaloux à l'extrême et refuse que son ou sa bien aimé(e) possède un quelconque contact avec autrui. Oh non, ceci est impensable. Pour lui, dans le coeur et la tête de son élu(e), il ne doit y avoir que son prénom marqué au fer rouge. Désobéissait à ses règles et vous attirerez les foudres du grand maître.
L'impulsivité prendra alors possession de son corps. Gare à votre belle gueule si vous êtes sa petite cible à abattre. Il n'a plus aucune limite dans ce genre de circonstance. Très contradictoire n'est-ce pas ? Et pourtant, c'est la stricte vérité. Défiez le maitre et vous en payerais les frais, c'est à vos risques et péril. Connait-il le calme et la simplicité ? Bien évidemment. Attaché à sa bien aimée guitare et à son crayon, il sait mieux que quiconque qu'il en faut peut pour être heureux. Ces paroles en sont d'ailleurs sa devise. Un don inné pour le dessin lui offre la particularité d'être un merveilleux peintre underground à ses heures perdues. Dessinant lui même les modèles de tatouages pour telles ou telles personnes, il vous offrira le dessin le plus parfait avant de passer sous la fine aiguille. Armé de sa guitare, il est passionné par la musique, ce qui bien évidemment lui offre le deuxième don, le chant. Incroyable mais vrai, ce pauvre petit japonais est capable de lié la musique à ses compositions acoustiques.
Quand devient-il un véritable et doux petit agneau ? Seulement dans un lit. Ou alors, capturez son coeur, mais ça c'est chose impossible. Son côté obscur refera toujours surface lorsqu'il se sentira vulnérable. Agressif dans ses paroles et quelque peu sur la défensive, il ne voudra jamais admettre être amoureux, bien sûr que non, monsieur est bien trop fier pour s'abaisser à ce genre de conneries. Ne le croyait pas non plus hautain ou méprisable, il en reste seulement sarcastique, offrant toujours quelques réflexions pour casser votre égo. Il déteste avoir tors et il vous le montrera rapidement, que ça vous plaise ou non.
En bon mauvais garçon, il agira également comme un vrai pessimiste et n'hésitera pas à vous faire redescendre sur terre illico presto si il s’aperçoit de votre élan soudain pour quelque chose d'enfantin, puéril ou même irréalisable. Parfois, il arrive que son côté franc et dur vous blesses, mais sachez-le, il agira ainsi pour votre bien et non le contraire. Quand Leon n'aime pas, on remarque. Sa particularité ? Il se fou de la personne. Il ne lui accordera qu'un seul bonjour et bonsoir car il a quand même était bien élevé, mais ça s'arrêtera là.
Histoire tu es né dans le genre de famille qui n'a aucun soucis financier. tu as connue les soirées où seuls l'or, l'alcool et les faux sourires font partie de ce monde, monde qui autre fois était le tien. tu as eu une éducation irréprochable, des parents présents autant pour ta scolarité que pour ta vie de tous les jours. ta mère, elle, était designer pour une grande marque de téléphone. elle était un peu ton modèle, ta muse et ta source d'inspiration. c'est d'ailleurs cette dernière qui a su faire de toi le merveilleux graphiste que tu es aujourd'hui. tu fais chacune de tes œuvres pour elle, mais ça, elle n'en sait strictement rien. tu portais un amour bien trop fusionnel et ce n'était pas ce qui plaisait aux yeux de votre entourage. trop engagé l'un envers l'autre, impossible de rester éloigné plus de trois heures, ta mère était devenu la femme de ta vie et à ses yeux, tu étais le fils idéal, l'époux idéal. la déception ? tu la rencontras facilement lors de tes dix-sept ans. âge auquel ta mère, la femme de ta vie, a voulu te fiancé à la fille d'un de ses amis proches.
tu as pris cela comme une trahison et bien évidemment, tu as voulu te détacher d'elle. tu as pris l'extrême décision de partir sans réellement lui adresser un mot ou même un regard. tu n'étais, certes, pas majeur mais tu étais fort débrouillard. tu as donc fini par trouver refuge chez ton ami de longue date. tu as grandi avec ce garçon et tu éprouvais une forte amitié pour lui, cependant, tu as décidé d'être soudainement distant avec lui. tu avais peur. peur d'être à nouveau trahis. peur de revivre la même trahison que ta mère t'avais faite subir il y a peu. il comprit rapidement ton changement soudain de comportement et accepta néanmoins ta présence chez lui. ce n'est qu'après quelques mois de séparation que ta mère revient à nouveau vers toi. en pleine nuit, elle avait débarqué chez cet ami dont tu avais clairement refait la décoration à l'aide de tes bombes de peintures. tu ne dormais que très peu à cette époque là et par malchance, tu as été la personne qui a ouvert la porte à ta mère, seulement voilà, tu ne l'as pas refermé, tu as constaté une chose. une chose que tu voyais pour la première fois de ta vie.
ses yeux étaient brillants, humides, trop humides. elle avait pleuré il y a peu de temps. pour ne pas déranger ton cher ami, tu as préféré rester à l'extérieur, discutant avec la femme qui t'avait mise au monde. après quelques minutes de bavardage, elle put enfin t'annoncer la mort de ton père. tu restas de marbre avant de finalement entré à nouveau sans même la remercié ou la consolé. c'est ce soir là que tout a finalement bien changé. tu avais de la haine. tu étais en colère. tu avais donc passé le reste de la nuit à peindre les toiles qui te restaient, mais au final, le résultat n'était que le reflet de ton âme. chaotique. tu as bu toutes sortes d'alcool, croyant que ceci pouvait te faire oublier ce drame, mais au lieu de ça, cela n'a fait que t'ajouter un problème supplémentaire. tu as pris l'une de ces bouteilles et as rejoins ton ami dans la chambre pour le réveiller et lui expliquer la situation. ce soir là, tu n'as pas seulement été en deuil pour ton père.
ce soir là, tu as couché avec ton ami. encore une fois, le lendemain, tu as fui, laissant derrière-toi tes toiles en guise de cadeau d'adieu. tu ne voulais plus faire de mal aux autres, mais une partie de toi, voulait justement le contraire. beaucoup connaisse ta vie d'enfant de riche, mais très peu savent de qui tu es l'enfant. tu es connu pour être le fils d'une des plus grandes designer du pays mais, très peu savent que ton père était l'un des piliers de pègre japonaise. enfant d'un des bras droit du chef des yakuza, tu as pris ce décès comme une provocation, abandonnant alors ton identité pour t'en trouver une nouvelle, gaspillant tes derniers billets de fortune pour payer cette nouvelle identité. aujourd'hui, tu portes le nom de kato leon, fuyant le réseau des yakuza du mieux que tu ne le pouvais avant de finalement intégrer cette université pour y étudier le droit. trêve de plaisanterie, au fond de toi, tu sais que ces études ont peu d'importance, la seule raison qui te pousse à être ici est seulement la protection. trouver refuge ici était la meilleur des solutions, seulement, pour combien de temps ? |