Invité花が咲いたよ | ( #) Kojima Moya + Skyfall ϟ Ven 10 Jan - 21:40 | Kojima Moya don’t let me fly CREDITS TO TIC TAC | nom Kojima prénom Moya âge 28 ans date de naissance 4 septembre 1991 lieu de naissance Nagoya, Japan nationalité Japonais origines Japonaises études/métier Banquier à la Bank of Japan, Chuo City logement Un appart de luxe dans Shinjuku sexualité Hétérosexuel situation Célibataire for now |
caractèreProfessionnel + Prétentieux + Intelligent + Arrogant + Diplomate + Protecteur + Possessif + Sérieux + Attentionné + Ambitieux + Moralisateur + Sanguin + Autoritaire + Direct + Parfois violent + Juste + Important + Satisfait + Radin + Sociable + Hypocrite ++ Moya a toujours été arrogant. Sans cesse félicité par ses parents pour son comportement exemplaire et le bel avenir qu'il aurait, il s'est senti quelqu'un d'important dès son plus jeune âge, quelqu'un de beau, promis à de grandes choses. Il est de ceux qui marchent le dos droit et parlent avec cet accent de riche prétentieux qui sait mieux que les autres. Parce que il sait mieux que toi, mieux que son frère, mieux que sa meilleure amie. Il a connaissance du bien et du mal, de ce qui est correct ou non, de ce qui est mieux pour les autres. Il se place en mentor pour ses connaissances, veut les aider à devenir plus grands, plus importants, plus comme lui ; et ce, même s'ils ne demandent rien. Protecteur envers ses amis, Moya n'aime pas de les voir traîner avec des gens peu fréquentables ou, tout simplement des gens qu'il n'aime pas. Il considère que les seules bonnes fréquentations sont les siennes et voudrait que ses amis le comprennent comme lui. Il voudrait aussi que son frère se reprenne en main et, depuis son retour, veut reprendre le contrôle de sa vie, lui montrer l'exemple, faire de lui quelqu'un de respectable. Il peut aussi se montrer violent, ayant déjà frappé des gens qui menaçaient ses proches ou son frère quand il manquait de respect à leurs parents, même s'il sait contrôler sa force et frapper de façon efficace plutôt qu'abusive. Enfin, il se croit sociable, mais il fait en fait partie de ces hypocrites qui pensent avoir des amis mais n'ont que des relations professionnelles et profitables. ++ Passe beaucoup de temps à son travail + Possède une petite fortune et le montre bien + N'aime pas cuisiner mais fait des efforts pour manger sainement + Pense être un modèle de réussite et de perfection + A tout ce dont il a besoin dans la vie + Est greffé à son costard cravate, dormirait presque avec s'il n'avait pas son pyjama en soie + Dépense son argent pour du tape-à-l'oeil mais, en vrai, économise + Ne prêterait jamais un yen à son cadet + Participe à des soirées mondaines avec la haute société Tokyoïte + Parle couramment chinois et japonais, possède les bases d'anglais, ce qui est suffisant pour son travail ma petite histoireNé dans une famille respectable, Moya a toujours été des plus parfaits, premier enfant, bien élevé, poli, adorable. Il écoutait les consignes, obéissait aux règles et aux ordres, avait un comportement parfait. Il voulait que ses parents soient fiers, qu’ils soient contents, qu’ils l’aiment. Et puis, il fallait l’avouer, cette éducation stricte et autoritaire lui plaisait, il trouvait ça normal et s’y pliait comme le parfait petit enfant qu’il était.
Et puis était né son frère, Zero. Ce fut à cet instant que les choses changèrent, quand ses parents commencèrent à se disputer. Oh, ils le faisaient certainement bien avant, mais ils se cachaient de Moya alors que maintenant ils criaient ouvertement devant lui, surtout son père. Sa mère pleurait beaucoup, s’excusait, et l’enfant ne comprenait pas. Qu’y avait-il ? Qu’avait-elle fait ? Elle lui avait donné un second fils, il aurait du être content… Mais son père était tout sauf heureux.
Quelques jours après la naissance de Zero, leur père prit Moya à parti, lui expliqua avec des mots simples, des mots compréhensibles pour un enfant si jeune, qu’il n’était pas le père de son frère. C’était un secret, lui dit-il, il ne fallait pas que Zero l’apprenne, que tout le monde agisse comme s’il était totalement de la famille. Moya ne comprit pas tout de suite, mais son père lui disait tout ça pour le monter contre sa mère, cette pauvre femme dont il ignorait le calvaire quotidien. Et ça fonctionnait…
Pendant toute son enfance, Moya fut plus proche de son père que de sa mère, croyant que lui était honnête et qu’elle lui mentait. Il écoutait ses ordres, obéissait comme un apprenti qui voulait devenir comme son modèle. Il ne râlait jamais, ne se rebiffait pas contre cette autorité, acceptait les sentences pour ses erreurs et savourait les rares récompenses qu’il recevait. Il ne trouvait pas beaucoup d’affection dans les gestes et les paroles de son père, mais les regards qu’il posait sur lui, fiers et satisfaits, compensaient ce manque et lui suffisaient amplement.
À côté de cet enfant prodigue, il y avait Zero. Moins bien traité par son père, souvent disputé et parfois battu, le cadet se rebellait, répondait, désobéissait. Moya avait de la peine pour lui, lui disait de faire des efforts, essayait de le défendre face à leur père – son père – mais rien n’y faisait. Le paternel continuait ses humeurs et Zero ne faisait rien pour le rendre fier. Souvent, Moya le trouvait en pleurs ou en colère dans sa chambre et tentait de le consoler, le rassurer, finissant généralement par jouer à des jeux vidéos pour lui changer les idées. Et il culpabilisait un peu aussi, lui qui était aimé alors que son frère était de trop aux yeux du chef de famille. Mais que pouvait-il faire ?
À l’école, Moya était un ange, le préféré de ses professeurs, élève discipliné et intelligent. Il n’hésitait jamais à sermonner ses camarades s’ils étaient trop bruyants ou irrespectueux, à les dénoncer s’il en voyait en train de tricher ou d’insulter quelqu’un. Il était adoré de ses profs, détesté de ses collègues enfants. Mais ils ne pouvaient rien faire, effrayés par les représailles possibles de son père, alors Moya continuait à faire la morale avec son petit sourire suffisant. Il avait quand même quelques amis, des péteux dans son genre, d’autres gosses de riches qui se tenaient le dos droit et parlaient avec ces intonations de petit merdeux supérieurs.
Au collège et au lycée, Moya comprit tout de même que dénoncer ouvertement ne le mènerait à rien, que ne pas avoir beaucoup d’amis, c’était pas cool. Alors il est devenu hypocrite suite aux conseils de son père. Sourire, flatter l’ego, jouer avec les autres et, à la moindre erreur, aller cafter discrètement à la prof pour qu’il se fasse punir. Puis le consoler et se faire bien voir, partager sa colère contre le connard qui l’a balancé. Il pensait que c’était ce qu’il fallait, que c’était pour leur bien, voulait juste les aider. Avec ces remontrances et punitions, ils comprendraient leurs erreurs et pourraient s’améliorer, devenir plus polis, pour corrects, plus disciplinés. Oui, il pensait leur rendre service, persuadé que le seul comportement respectable était le sien.
À la fin du lycée, Moya dû choisir sa voie entre celles proposés par son père. Médecin, ingénieur, avocat, boursier… Optant pour une carrière qui lui rapporterait gros rapidement, il se dirigea vers la finance et fut envoyé dans un internat en Chine, dans l’université que son père lui avait choisie. Selon lui, elle était parfaite pour ces études, certainement parce que lui-même y avait étudié et était devenu riche en quelques années. Quelques jours avant la rentrée, il boucla sa valise, ses cartons ayant déjà été envoyés, et il s’envola. Il n’avait pas eu l’occasion de dire au revoir à son frère, son père lui ayant dit que ça ne ferait que compliquer le départ, que les au revoir étaient inutiles. Alors il avait juste envoyé un texto à son frangin dans l’avion, lui promettant qu’ils se parleraient souvent.
Mais Moya n’avait pas prévu que ses cours seraient si prenants, qu’il n’aurait pas beaucoup de temps à consacrer à son frangin ; pas du tout. Il parlait de temps en temps avec son père qui lui assurait que tout allait bien, que Zero travaillait dur à l’école, qu’il commençait à se calmer. Alors l’aîné était rassuré, même si ses textos laissés sans réponse l’attristaient un peu. Il se disait que son frère aussi devait être occupé, alors après quelques mois de silence, il cessa de le contacter, ne lui envoyant des messages que pour ses anniversaires et pour les grandes occasions.
Les années passèrent, Moya reçu son diplôme avec grande distinction et fut embauché dans une banque à peine une semaine plus tard. Une banque chinoise dans laquelle il avait fait son stage et qui le voulait absolument. C’était loin de chez lui, mais tout allait bien à la maison alors pourquoi pas ? Il y travailla cinq ans, cinq longues années durant lesquelles il empocha une petite fortune, sa fortune personnelle, qu’il ne devait qu’à lui. Il était fier, heureux de sa vie qui roulait bien. Il se faisait des contacts dans le monde de la finance et dans la haute société chinoise, rencontrant aussi des japonais dans des réceptions mondaines, se créant un réseau international.
Et puis, il y a quelques semaines, le père de Moya avait décidé de lui dire la vérité sur ce qu’il se passait dans la famille. Il lui raconta que Zero avait fugué après son départ pour la Chine, dix ans plus tôt, et n’était jamais revenu à la maison. Il venait de découvrir qu’il faisait partie de la mafia japonaise, qu’il donnait à sa mère de l’argent sale, se droguait, tuait des gens. C’était exagéré, bien sûr, mais comment Moya pouvait-il le deviner ? Dans sa tête, son père ne lui avait jamais menti, alors pourquoi maintenant ? Faisant ses valises, il posa sa démission au travail et envoya son cv à la Bank of Japan, dans laquelle il avait un contact haut placé.
Aujourd’hui, il revient au Japon pour reprendre sa vie, retrouver son frère et le remettre sur les rails, soutenir son père qui était désespéré par le comportement de son beau-fils, revoir sa pauvre mère. Il espéra aussi que Zero pourrait éviter la prison pour ses crimes, prêt à lui payer les meilleurs avocats le jour où il se ferait choper. Parce que l’argent réglait tout, non ? Même les histoires familiales… Peut-être que si il filait un peu de sa fortune à son frère, il aurait plus besoin de vivre avec ces criminels, il pourrait étudier et se trouver un métier respectable. Peut-être…
derrière l'écran dis nous tout pseudo Tic Tac âge 22 ans présence Dès que j'ouvre les yeux le matin et jusqu'à ce que je les ferme le soir avatar Mark Tuan - GOT7 un petit commentaire Pas merci aux deux tentatrices démoniaques qui m'ont fait faire ce compte hein Na j'vous aime, j'l'admettrai juste pas | |
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