Si An, il a toujours un sourire
enjoué même si on l’insulte parce que c’est un
bordélique incarné et qu’en plus de cela il
colle pour être
câliné. En vrai, c’est un bout de chou tout
attachant, un
danseur restant toujours
bienveillant et un
travailleur acharné la trois quart du temps. Parce que bon, Si An, il ne sait pas vraiment quand s’arrêter de danser qu’il en oublierait de manger. Il casse d’ailleurs souvent les pieds devant sa grande
curiosité, un vrai enfant gâté qui a besoin d’être guidé. Mais le pire, c’est qu’il est un si grand
bavard que tout le monde finit par s’en lasser et il offre un câlin en pensant consoler.
Un trait de caractère à en être épuisé, mais il fait souvent genre alors qu’il n’a
aucune autorité. Il est assez
bonne poire qu’on fini triste pour ce garçon si
doué, mais il offre un sourire à se damner en disant que la vie est belle et animée. Aussi, beaucoup le taquinent parce que c’est un
effarouché, les relations, c’est un concept un peu compliqué pour lui, qui peut tomber amoureux pour un clin d’œil donné. Ne l’emmener pas en soirée, vous le perdrez, lui aussi et il serait capable d’en rigoler.
En définitif, c’est un bon vivant
courageux, mais qui ne brille pas par sa témérité et en est
bienheureux. Il n’est pas si extraverti et préfère jouer aux jeux vidéo ou même danser toute la nuit, voir se persuader qu’il est un Gryffondor aguerri. Si An est juste un peu
spécial, mais qui cherche à fuir sa vie banale.
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Grande gueule auparavant, il s’est calmé avec le temps – parce qu’avant il se faisait respecter puis il est entré au lycée et
gentillet, il a subi sans sourciller - ne parlez pas de sexualité, limite, il va se demander ce que c’est – du coup, il fait un peu le mec devant les regards blasés, mais reste un
romantique pas franchement assumé - c’est pour ça que les hommes ou les femmes la différence, il ne le fait jamais – une fois, une personne lui a dit qu'il l'aimait, il a paniquer - il ne
parle pas très bien japonais, mais n’est jamais blessé et essaie toujours de s’améliorer, il
parle mieux anglais – il n'a pas une vilaine voix, mais ne le montre pas.
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Chapitre I – enfance qui anime
Si An, il ne le dira jamais, mais c’était irrévocablement un
enfant princier, mais ne lui répétait jamais cela, parce que quand on lui dit, il part danser et bouder parce qu’il n’arrive pas à l’assumer. Déjà gamin, il
sautiller, crier, gigoter. Il était si insupportable qu’il se faisait souvent
frappé par son frère aîné en pensant que cela le calmerait, mais il se trompait. Mais Si An, il ne le faisait pas exprès, il ne pouvait pas s’en empêcher, il était si épuisant qu’on lui avait soupçonné une
hyperactivité. Au début, ses parents l'on emmener faire de la danse en pensant que cela le canaliserait, mais, en fait, ça ne faisait qu'empirer, car il
dansait toute la journée et même au collège, il dansait plus qu'il ne travaillait. Ses parents en étaient devenus franchement exaspérés, du coup, ils ont beaucoup travaillé pour économiser et
l’envoyer aux Etats-Unis en priant qu’il se calmerait.
Par tous les dieux,
Cela à plutôt bien fonctionner.
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Chapitre II – adolescence, une pure victime
Évidemment
grande gueule par le passé, il a vite compris que les Américains ce n’était absolument pas la Corée. Il est donc naturellement devenu une
victime et s’est
calmé pour se faire complètement accepter. Malgré son entrée ratée, il s’est fait beaucoup d’ami, sans doute parce qu’il a des
envies qui varient, trop obsédé par la danse pour se faire des ennemis. Faut dire qu’il se cherchait beaucoup durant ses années, comprenant que la sexualité avait plusieurs aspects et pourtant, il tombait
amoureux du premier qui lui envoyait un baiser. Quelle
naïveté. Faut dire qu’aujourd’hui, il n’a
pas réellement
changé ce trait. Il dit que, pour le moment, ce sont ces plus belles années, mais faut avouer qu’il
n’a pas vécu grand-chose de très animer, et il ne peut même pas faire semblant à cause de son caractère qu’on
lit comme un livre ouvert pour le prouver.
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Chapitre III – dégât minime
Il était revenu en Corée après ces années de lycée pour continuer à danser dans une
école spécialisée (merci
les cours données aux États-Unis adoré au collège qui lui ont facilité l'entrée, car il avait été très bien préparé). Mais après avoir été diplômé, il a entendu parler d’un concept intéressant au Japon et a donc fait ses bagages pour aller découvrir et vivre de sa
passion. Les débuts ont été compliqués, mais depuis ses
petits mois, il a su se faire accepter où il essaie de s’en persuader. Cela a été un peu difficile avec les papiers au début vu que c’est un bordélique né, mais il a fini par y arriver. Il remercie toujours le vice-président de l’y avoir aidé et se dit qu’il l’a conforté dans l’idée qu’il est un danseur né.
Si An se fait souvent des idées.