Invité花が咲いたよ | ( #) Akabane Hibiki ❁ et les fleurs en sont devenues grises. ϟ Ven 14 Fév - 23:54 | Akabane Hibiki et les fleurs en sont devenues grises CREDITS TO VOCIVUS | nom Akabane prénom(s) Hibiki âge 21 ans date de naissance 23 novembre lieu de naissance Tokyo nationalité Japonais origines Japonaises études/métier Étudiant en première année d'Arts appliquées logement Chez sa famille aux moyens modérés sexualité A la douleur insérée situation Au cœur meurtri
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caractèreHibiki ❁ délivre à chacun un sourire émoussé sans réel intérêt. Une gentillesse peu inventée de son corps pourtant élancé, mais museler sous des vêtements poussiéreux sans être miteux, laissant nettement percevoir qu’il travaille avec ses mains. Mais qu’il ne porte aucune attache aux jugements qui lui sont faits, lui qui n’en réalise pas plus aux autres en se souvenant de ce qu’il est. Qu’il n’est pas pincé pour chaque grossièreté énoncée, commentaires désobligeant sur son âge dépassé pour arriver en première année, de son caractère peu enjoué et sa solitude invétérée. Sans pouvoir totalement acclamer que cela est d’une dureté dans cette cruelle réalité, qu’il doit s’y plier comme il l’a toujours fait, mais qu’il n’est pas un masque d’insensibilité, lui aujourd’hui peint de fragilité, d’une certaine irritabilité suintant ses phalanges qui le démangent et dont il n’esquisse pas un geste pour se replier. Mais qui parfois s’élargissent et se verbalisent. Hibiki ❁ a toujours vécu bien entouré ayant travaillé très tôt puisqu’il n’est pas aisé, mais jamais exaspéré face aux paroles cassantes et brillantes de méchanceté pour le faire chanceler sans que quiconque y parvienne et finir par s’en lasser. Une curiosité qu’on lui acclame pour ce faiseur de miracles que jamais il ne bâcle. Parce qu’il ne crie pas, il ne pleure pas, il ne moralise pas et reste poli ici-bas. Mais peut montrer une faiblesse dans les mots devant un vocabulaire qui n’est pas si enrichi qui parfois le nuit, au malaise constant de ne pas maîtriser une langue étrangère devant un compère en agitant les mains d’excuses pour mieux fuir et se cacher, à ne pas se refléter dans un verre. Mais il connaît chaque détail d’un violon, d’un piano, d’une guitare ou d’un saxophone. Dans ses plans et tout ce qui le compose, d’un objet du quotidien où chacun se pose. Parce qu’on lui a toujours dit qu’à part des doigts de fée pour esquisser, façonner, retracer, poncer, peigner, le reste il en est défait et il a fini par y croire avec fermeté.Hibiki❁ côtoie beaucoup de visage avec lesquels il a bavardé -de légers rires aux conservatoires ou aux magasins de musique, ou par des sourires avec ces particuliers les plus rustiques. Et tous connaissent l’habilité de ce jeune homme sans timidité et fatigué, de son aura de bienveillance et cet étrange aspect où l’on peut lui faire confiance. Il écoute silencieusement les contes secrets précieusement gardés, pour tous ceux ayant envie d’oublier, d’effacer, s’aérer, il est ce son abandonné. Lui qui doit en permanence subsister afin d’aider sa famille peu aisée à travers les adversités puisqu’il est en pleine santé, même si parfois, il aimerait métamorphoser ces désirs sans avoir à en souffrir pour courir plus facilement dans cet avenir qui fait de lui un martyr. Il est de cet être écaillé, solitaire et peu raffiné, aux cicatrices irréversibles ancrées dans son âme et son cœur d’une rancœur souvent étouffée et des larmes séchées, depuis peu toucher par la sensibilité -ou bien asphyxier depuis tant d’années qu’il a oublié comment bien respirer et éclate à s’en étonner. Hibiki ❁ conserve son instinct de protection envers ses proches à en perdre la raison pour fouler le sol sans un vol. Tout en se murmurant que c’est parfois blessant et frustrant de réaliser à quel point il est impuissant, lui et son aveuglement. Il n’est qu’un jeune homme décharné, acculé d’une vérité qui l’angoisse tant il n’arrive à s’en tirer. Il ne peut plus protéger et ne veut plus s’en libérer. Il veut embrasser le paradis, mais ne peut s’y résoudre dans son cœur indécis. Il se questionne, il fuit et se déraisonne. Car les choses semblent changées et il en a l’opportunité, mais pense le faire en toute illégalité. Il est difficile de vivre sa vie par soi-même quand on l’a vécu pour un autre, mais plus encore, car le silence porte le poids de son absence, s’attachant d’autant plus à lui éviter le grand silence. ma petite histoire « - Hibiki » Il n’a pas besoin d’élever le regard pour reconnaître la silhouette qui vient d’entrer dans l’atelier. Il n’a pas besoin de lever les pupilles pour savoir qu’elle virevolte en frôlant du bout de ses doigts immaculés quelques instruments à réparer en étant si désinvolte. Qu’elle retentit dans cet amas de poussière comme une chaude clameur qui berce son cœur, bousculant deux ou trois matériaux posés dont Hibiki a besoin pour réparer le violon qui réclame avec ferveur, tout en lançant quelques excuses à peine murmurées pour le rejoindre d’un air précipité, en considérant qu’aucun incident ne vient d’arriver. Il en connaît tous ses secrets, même les yeux fermés, il a imprimé depuis longtemps chaque trait sous ses paupières à force de l’observer. Elle qui est en quête d’un printemps éternel et qui lève les bras en réclamant une attention sempiternelle. Qu’en prononçant son nom si enjoué, elle finira par poser sa main fermement pour qu’il soulève enfin ses yeux hors de son travail réalisé avec assiduité. Qu’il devra l’écouter plutôt que de perfectionner le bois travaillé, des meurtrissures sur ses phalanges contractées pour créer une magie renouvelée d’un ancien meuble demandant une nouvelle beauté. « - Ce n’est pas ton grand-père qui réalise ça ? Tu fais comme ton père normalement, tu créer ou répares des instruments de musiques. » « - Je sais, Haru. Mais mon grand-père commence à se faire vieux, il a mal aux mains depuis quelque temps donc je le remplace. Et, c’est pas si compliqué. » « - Tu es né dedans. Et puis, il faut dire que tu n’as que des doigts de fées. » « - Alors que toi, tu es devenue une danseuse confirmée. » « - On te l’a dit ? Mais c’est vrai, je suis tellement heureuse ! Joues quelques notes, je vais te montrer ! » Il confirme la demande énoncée d’un hochement de tête assuré en lui offrant ses fleurs préférées avant de se poser devant un piano en parfaite santé sur un des côtés. Une jeune fille qui s’émerveille et lui montre ses enchaînements qu’il a déjà vu la veille. Un petit bourgeon plein d’entrain dansant bruyamment d’une douce folie et lui qui la suit. Des sourires et des rires qui demeurent une nuit avant un dur labeur. Celui de la vie et des pleurs. « - Pourquoi ? Hein ? Pourquoi ! » « - Parce que ça pourrait me servir un jour, je sais pas, pour être mieux payé, par exemple ! » « - Mais tu suis le travail de ton père, de ton grand-père, tout le monde te connaît et te donne assez ! Tu veux juste m’abandonner ! » « - C’est pas vrai ! Je veux juste une situation plus… plus stable. » « - Mais elle est stable ta situation ! Tu répares les instruments de musiques, et même des objets, tu n’es pas ingénieur ou avocat, tu n’es bon que de tes mains, pourquoi changer ? C’est insensé ! » « - Mais je veux penser à mon avenir. » « Penser ? Penses-tu Hibiki ? Tu ne l’as jamais fait, puisqu’au mien, tu y as déjà songé ? Bien sûr que non ! Tu es toujours si égoïste. » « - Moins que tu l’es. » « - Tu es stupide, Hibiki, tu l’as toujours été. Tu ne sais rien, tu ne comprends jamais rien. » Son souffle est éreinté, le cœur palpitant jusque dans le bout de ses doigts. Il en agite les phalanges en signes désespérés dès lors qu’elle hausse le ton et qu’elle finit par tout casser, exaspérée. L’œil se fixe durement, les lèvres pourlechées dans l’espoir de se distraire de la colère qui s’y est insufflé. Un moment, un instant, ancré dans le temps. Il voit bien que dès qu’il change cela la dérange. Qu’elle soit jalouse qu’elle en explose et lui qui crie plus qu’il n’ose. Que dès qu’il pense, elle l’en dispense. Parce que la faucheuse s’est éprise de cette capricieuse alors que lui demeura pendant encore de très longues heures si précieuses. Et elle finit par hurler des ignominies sous ses yeux écarquillés, la poussière cachant la vraie couleur de leurs visages crisper -de ces mots qui ne se disent pas, qu’elle va balayer d’un geste de la main ici-bas et l’éviter jusqu’à la déraison en claquant le pas tout en clamant qu’elle a raison. Que c’est à lui d’avoir honte et qu’il doit s’en excuser, s’en effacer, voir en saigner. Et même après l’avoir fait, ce ne sera jamais assez, qu’elle va le détester pour vouloir changer en parcourant les écoles dont elle ne posera jamais les pieds. Et qu’elle reviendra des heures ou des jours après pour lui cracher de la faire ses études supérieures en s’agenouillant pour pleurer et en lui hurlant qu’il ne lui est pas supérieur, et cela, à jamais. Et il s’en excusera en lui caressant la joue pour qu’elle arrête de faire la moue, en lui offrant ses fleurs préférées qu’elle ne pourra pas jeter dans la boue. Que d’efforts tristes pour ces quelques mots envolés et ces violences subites que personne ne voit en être emportés. Mais plus que tout, il déchirera une énième fois ses papiers froissés, les balayant lui de leurs cœurs essoufflés après tant de cruauté. Mais encore et toujours, pour plus tard et arriéré, il va les rattraper et les récupérer, en les pressant contre lui en secret, dans la nuitée pour sangloter. Pour un souhait qu’il ne peut voir exaucer. Les gouttes d’eau s’écrasent contre la vite et chaque impact sonne comme une cacophonie qu’il essaie d’éteindre en vain dans un semblant d’harmonie. Il laisse ses mains le guider sur ce piano à la plus belle des sonorités, les pupilles dérivant quelques instants sur une photo repliée, décharnée, déposée sur le côté. Il a la tête ailleurs et le cœur loin de ses valeurs, depuis qu’elle a été arrachée par ses anges venus la récupérer comme le destin l’a souhaité. Mais c’était il y a si peu de temps qu’il pense encore voir ce mirage danser autour de lui un court instant, de cette frivolité telle qu’elle semblait voler le temps d’un moment. Sauf qu’il aurait aimé créer un fil doré pour l’y attacher et que ses ailes blanches ne l’emmènent pas pour l’éternité, ne pensant aucunement qu’il est si douloureux de dire adieu à l’un des siens en restant silencieux. Il n’a que des cris véhéments au fond de son esprit cachant les larmes cette pulsion au fond de son âme en charpie. Mais personne n’est là pour le cajoler comme elle le faisait, pour l’extirper de ses journées, dans ce silence dans lequel il s’est plongé. De ses sanglots sur ces feuilles abîmées d’une école dans laquelle il aurait déjà dû y être entré. Pourchassé par une honte de se sentir libérer, lui qui a tant donner à s’en oublier, s’esquinter, se rejeter et ne pas s’aimer. D’avoir offert des fleurs en connaissant chaque signification pour un être de déraison qu’il pose encore près de son piano à chaque changement de saison. D’être hanté par ses viles pensées à en écraser ses phalanges ensanglantées d’avoir tant jouer de cet instrument raisonné, de ses yeux rougis d’avoir tant pleurer sous des cris enrayés à force d’avoir hurlé. De marcher, de parler, de travailler, de réaliser une scolarité sans elle à ses côtés. Et de souffrir et souffler par la même pensée biaisée. Il se maudit, il se le dit, c’est compliqué de vivre quand on a vécu pour une personne, qui aujourd’hui ne résonne et encore plus devant une liberté inespérée en se rendant compte qu’on n’y arrive pas sans être à ses côtés. Piégé depuis tant d’années, il ne voit pas ce qu’il est. derrière l'écran dis nous tout pseudo Laymes âge présence Autant que possible ! avatar Yoshizawa Ryo, il me semble ne pas l'avoir vu sur le bottin un petit commentaire blblb je suis faible | |
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Invité花が咲いたよ | ( #) Re: Akabane Hibiki ❁ et les fleurs en sont devenues grises. ϟ Sam 15 Fév - 0:06 | Re-bienvenue toi !! Oh tu as pris un jap', il une bonne bouille dis donc ! et je pense qu'il est libre, ça ne me dit rien x) Je lirai tout ça demain, je m'effondre !
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Invité花が咲いたよ | ( #) Re: Akabane Hibiki ❁ et les fleurs en sont devenues grises. ϟ Sam 15 Fév - 9:01 | J'peux venir dans ta cabane ? (comment ça le jeu de mots est nul ? ) Re-bienvenue, et j'espère que tu vas mieux
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Invité花が咲いたよ | ( #) Re: Akabane Hibiki ❁ et les fleurs en sont devenues grises. ϟ Sam 15 Fév - 11:06 | Re-bienvenue parmi nous !!
Ce personnage est sympathique, j'ai hâte de le découvrir **
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Invité花が咲いたよ | ( #) Re: Akabane Hibiki ❁ et les fleurs en sont devenues grises. ϟ Sam 15 Fév - 15:34 | Alors déjà merci beaucoup tous le monde (sauf Fumi, toi même si bon t'es tellement adorable que tu mérites des câlins quand même ) Merci encore pour vos compliments, ça me touche J'espère que le petit Hibiki vous plaira
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Invité花が咲いたよ | ( #) Re: Akabane Hibiki ❁ et les fleurs en sont devenues grises. ϟ Mar 18 Fév - 10:22 | Oh la la quel personnage tout triste ! Désolée d'avoir mis du temps à venir lire, j'ai été pas mal débordée ces jours T-T Tes fiches sont toujours si esthétiques Bienvenue chez toi ! Tu es validé(e) prêt(e) à jouer !/ct> Bienvenue chez toi, nouvel habitant de Tôkyô ! Tu te croyais fin prêt à jouer ? Oui, mais on a encore un peu besoin de toi avant. 1# PROFIL : Il est très important de bien le remplir pour guider les autres membres sur ton perso, surtout les logements, car il n'y a pas de topic de logement. 2# CARTE DU FORUM : Tu peux t'ajouter sur la carte interactive du forum en cliquant sur le quartier de ton choix, puis sur le petit crayon (modifier). Il ne te reste qu'à ajouter ton nom sous celui des autres. Un souci ? MP / Discord ! 3# TROMBINOSCOPE : Pour faciliter la centralisation des infos et éviter d'avoir 1000 topics, nous avons créé un trombi qui recense les activités principales. Passe donc t'inscrire, et t'en fais pas pour les zones "évolution" et "relations", tu viendras l'actualiser à la prochaine MAJ :) 4# SOCIABILISER : Maintenant que t'es au top, il est temps de sociabiliser avec les autres en créant ton journal des rps ou en faisant un tour dans la banque aux liens ! Tu peux aussi créer ton compte LINE pour envoyer des messages à tes amis ! N'hésite pas à nous rejoindre sur le Discord !
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