Patient : Pour être enseignant, il faut savoir être patient ! Les étudiants ne sont pas tous de petits anges  

Ouvert : Grand homme au large horizon. Peu importe si tu es petit ou gros, laid ou super sexy, Japonais ou Étranger, le jugement ne fait pas partie de son vocabulaire. Oh que non ! La discrimination n’a pas de place dans sa classe, savvy ?

Humoristique : Oui-oui, bon… Il lui arrive d’être comique. Des cours littéraires d’une langue étrangère, y’a rien de plus ennuyeux qu’un prof qui fait ses lectures d’un ton monotone, hein…? Écoutez, il a déjà été étudiant, lui aussi ~ Si, si, je vous jure !

Charismatique : Son arme secret ? Son sourire. Ouais… Avec un clin d’œil et un sourire charmeur, on ne peut pas s’en passer ! Mais, hum. Tout en restant professionnel, quand-même. Je ne dis pas qu’il fait ça à tout le monde…. Juste ceux et celles qui le méritent ! Comme la petite bibliothécaire, là…

Têtu : Il n’aime pas donner raison facilement à quelqu’un, alors il va tenir son point jusqu’à la fin, juste pour trouver une faille dans vos arguments. Puis, bon. Si ça ne vaut pas le coup, tant pis, hein ! C’est lui qui gagne !

Mauvais perdant : Oui, bah, ça dit tout. D’où son entêtement ~

Musicien : Oh là là, qu’est-ce qu’on veut bien dire par-là ? C’est simple : dans ses passes-temps, il ne sera pas rare que vous entendiez quelques notes grattées à ce qui ressemble à une guitare. Musicien dans l’âme, maître des mots littéraires ; quel sublime mélange parfait. Comme un cocktail remplie de saveur exotiques qui nous amène à danser sur une piste de danse, pleins d’inconnus. Aheum ! Vous avez cerné le personnage ? Il joue de la guitare. Ouep !
Particularités : Il lui arrive de jouer quelques mélodies sur sa guitare pendant les temps morts de ses cours. Comme pendant des travaux de recherches ou des consultations d’équipes ; une façon bien à lui de s’occuper pendant que ses merveilleux étudiants sont occupés à la tâche, hehe.

Organisé et très pointilleux : Ne venez surtout pas toucher à ses affaires sur son bureau. Si son stylo est placé là, ce n’est pas pour rien. Tout est calculé… Et, si jamais tu venais à dormir pendant sa matière, oups ! Il se pourrait que tu le manges en pleine tronche. Ou qu’il vient simplement te faire un beau dessin sur la joue, devant tout le monde ~

Oui… Il est comme ça ~ Soyez participatifs et vous en sortirez gagnants.

Notre très charmant professeur est né dans la merveilleuse ville de Tokyo. Un classique ! Ses parents sont deux personnages quand-même importants dans la société ; son père dirige une multinationale, tandis que sa mère est la secrétaire d’État du Président Japonais. Aucune médaille à recevoir, puisqu’ils n’ont conçu qu’un seul enfant ! (Emploi du temps très chargé, voyez vous ? )
Mais, comment se fait-il qu’ils ont réussi à avoir un enfant ? Bah, vous savez, après la nuit de noce, c’est pas mal là que tout se passe ~
Bref ! Il est né en Septembre, le 14, plus précisément et il grandira dans la même ville pendant toute son enfance. Rien à signaler, c’est un garçon brillant !

Par contre, comme bien des malheurs chez les parents, l’adolescence a fait son entrée en scène deux ans plus tôt que prévu… Ouh là là ! Ce petit homme bien éduqué et très studieux déviait de la ligne droite qu’ils avaient tracé. Oui, oui. Hiro (de son prénom), ne voulait pas devenir l’héritier de la multinationale de son père. Oh que non ! Hey… Lui, il voulait être un artiste. LE musicien le plus reconnu de toute la capitale nippone ! Jusqu’au plus profond des pays en voie de développement. Vois-tu le principe ? Ouais…
Dans le dos de ses parents, Hiro avait commencé à suivre des cours de guitare, auprès de son enseignant de musique, au Collège. Cela faisait à peine un an qu’il y était entré et il préférait plus que tout ses cours de musique. 12 ans et il connaissait parfaitement la base de son instrument. Note par note, il s’entraînait après les cours, pendant une heure. Il devenait bon rapidement, apprenant super vite. Heureusement qu’il avait autant bonne mémoire pour la musique qu’il en avait pour les théories de l’histoire du Japon.  Son professeur l’encourageait et, lorsque les parents d’Hiro découvrirent qu’il jouait de la guitare au lieu de faire ses devoirs, c’était la catastrophe. Oui, bon…. Un peu à retardement, puisque l’année qu’ils ont découvert qu’il jouait de la guitare, c’était lors de son anniversaire, pour ses 16 ans. Oups. Hiro avait fait l’erreur de leur demander une guitare acoustique, comme cadeau. Avec tout l’argent qu’ils faisaient, ses parents auraient eu les moyens de lui en payer une… Mais non ! Coup de théâtre ! Offusqués, ils lui ont interdit tout contact avec la musique. La seule chose qu’il pouvait écouter, c’était de la musique classique. Au piano.

Alors, Hiro a commencé à se chercher un petit emploi à temps partiel, qui acceptait les jeunes collégiens. Il voulait se faire un peu d’argent pour pouvoir se payer lui-même sa guitare acoustique !
Il trouva donc un travail, comme aide-serveur dans un restaurant de ramens. Pas si mal, après l’école. Il donnait l’excuse à ses parents qu’il rentrait plus tard à la maison, disant qu’il avait beaucoup de travaux et de préparations pour les examens. Sur ce côté-là, ils l’ont cru. Ce n’est pas comme s’il avait de la difficulté à l’école.

Cependant, lorsque vient le temps de choisir le programme d’études qu’il voulait faire à l’Université, il ne savait plus s’il avait vraiment envie de continuer à faire de la musique. Il décida tout de même si faire sa première année en musique, mais l’amour lui fit changer d’idée. Oui-oui. Une jolie fille, venue d’ailleurs, lui avait donné le goût d’apprendre à la connaître, sauf que… son anglais était plutôt moyen. Un yes, no, maybe ne l’aidaient en rien pour faire une conversation. Et, c’était pareil de son côté.

Nina… Tel est son prénom. Une jeune femme magnifique, souriante, qui avait une joie de vivre ! Oh, God… (tiens, un mot de plus, hehe) Il désirait faire partie de sa vie, mais le clash culturel et langagier brisaient cette proximité… Mais, Hiro n’est pas quelqu’un qui se laisse abattre facilement. Vous vous souvenez qu’il est têtu ? Eh, bien, il s’est mis en tête qu’elle allait devenir sa petite-amie et ce, malgré ces frontières.
Nina est une Américaine. Des yeux légèrement bridés, de là que l’on puisse soupçonner qu’elle a des origines asiatiques, une dentition parfaite et un corps si découpé finement au couteau qu’on jurerait la briser si on lui touchait la hanche. Vous voyez l’image ?
Elle ne parle que l’Anglais. Venue étudier au Japon dans le but d’apprendre la langue et la calligraphie, pour donner des cours dans son pays… Wow. Magnifique parcours. Hiro voulait la suivre dans ses plans. Pour sa part, la littérature étrangère semblait être l’option idéale pour croiser sa route à celle de Nina…


À l’aube de ses 26 ans, Hiro gradua dans son profile d’enseignement en Littératures étrangères. Nina était retournée en Amérique.
Mais, ne pleurez pas ! Notre Hiro bien-aimé a réussi à avoir le numéro de la jeune femme. Oui-oui ! Malgré qu’elle soit à l’autre bout de la planète, il avait un moyen de la recontacter. Il faut dire aussi qu’ils se sont fréquentés pendant trois ans à l’Université, hehehe. Oui ! Je vous cachais la surprise ! Car, malgré qu’elle soit loin, leur amour ne s’éteint pas éteint.
Chaque année, pendant les vacances d’été, ils passaient du temps ensemble et depuis qu’elle était retournée chez elle, Hiro se payait un billet d’avion pour aller la rejoindre. Il a découvert ainsi la ville de New York, un peu la région de la Californie et un peu la Nouvelle-Orléans. Il fut tenté de vivre avec elle, sauf que, son père tomba gravement malade. Ce qui changea beaucoup notre protagoniste.

Pendant près d’un an, il resta à son chevet et Nina venait le voir à Tokyo.  Jusqu’au décès de son paternel. Hiro fut émotionnellement choqué, à un point tel que, dans un élan de rage, il rompit avec Nina. Il refusait tous ses appels, même de la revoir, c’était fini.
Il avait compris, bien trop tard que son père avait été quelqu’un d’important dans sa vie. Et, pour se punir, Hiro choisi de couper tout lien avec l’amour de sa vie pour vivre son deuil et de passer à autre chose.

À présent, il se trouve être enseignant à Chuo, l’Université où il a lui-même étudié. Comme on dit, on marche souvent sur les traces de ceux qui nous ont inspirés ! Professeur de Littératures étrangères, c’est ce qu’il est.
Cependant, il ne vit pas sur le campus, préférant avoir son appartement à lui, au centre-ville. Il n’a pas non plus choisi de fermer sa vie personnelle à qui que ce soit, bien que Nina lui manque beaucoup. Un jour, peut-être, il ira s’excuser, mais, probablement qu’elle a déjà refait sa vie aux États-Unis.

Un conseil : n’abusez pas trop du prof, il vous a à l’œil, hehe ~

Voici les portes d'ODIS grandes ouvertes devant toi !

Mais avant ça, il y a encore deux trois petites choses à faire avant d'aller pouvoir t'amuser avec tes copains ;)
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