Adonis est un grand corbeau qui se maintient sous son air
taquin,
en prenant un plaisir (
malsain) à irriter en étant légèrement
mesquin Il n’en reste pas moins
sanguin, sans contrôle sur ses mains
en se reposant parfois sur les mots pour laisser place à
l’indolence.
Ça résiste aux balles, mais pas contre la plus brute des violences.
Et il reste debout, souriant et
fier -
en toute impudence.Adonis, il respire la
jeunesse suppliée,
de ses désirs divergents, un brun
volage et
attachant.
Sans doute trop transporté par une
sagesse exaspérée.
Cependant -
sa
patience peut se perdre avec quelques mots
et de son regard
dominant, il met la pression en un rien de temps,
provoquant alors un mal-être constant.
À faire froid dans le dos.Mais il en garde un caractère
enjoué sous sa grande
autorité.
De son
indépendance et de sa
véhémence constatée,
donnant à
cœur ouvert sauf son argent, si
radin,
mais qui sait pourtant reconnaître la valeur en chacun.
Même si sa
rancune légendaire en a coûté à certain,
sa
vulgarité et «
bienveillance » en ont fait rire plus d’un.
Il
ment éhontément sans une seule pensée austère,
adorant
montrer son argent en chantant
« je te salue mon frère ».
Même si sa grande
discrétion reste un des plus grands mystères.
Avec une manie du
vol taillé dans la pierre et son esprit si
ouvert.
Osez le pousser dans le vide et il vous y emmène en chute libre.
Osez le mordre et il vous attrapera de ses doigts ensanglantés de tigre.
chapitre i - destin ensanglantée
Petit, Adonis n’a jamais eu
peur,
(mais
perdu dans cette sueur)
il n’a pas remarqué que cela avait une
autre couleur.
Parce qu’il y a quelque chose
d’étrange sur ses mains
(d’un rouge, si pétant, si carmin) un peu semblable à la couleur de son
destin.
Et de ses genoux
sales et écorchés,
(des larmes pas encore prêtent à tomber)
il n’ose pas parler, ni même crier.
Il n'a fait que
secouer ses parents ventres à terre
(dans cette drôle d’atmosphère),
ne sachant pas qu’ils ne se relèveraient plus dans cet air. L’appréhension l’a alors étranglé,
(le griffant sur sa peau abîmée),
enserrant son cœur fragmenté. Il n’a pas compris à l'époque ce qu’il s’était passé.
Il était bien trop jeune, cette innocence incarnée.
Il n'était plus qu'un enfant
perdu dans les dédales carmin,
avec une hargne en main
du haut d’un petit âge incertain,
qu’on pensait voir mourir, en vain.
Un enfant du néant, un fils devenu
errant.
Mais bien vite rattrapé par les
autorité pour le placer dans un nid douillet.
Mais il ne peut complètement oublier cette nuit,
Qui le rattrapera dans sa folie.
chapitre ii - destin sous la royauté
Adonis, il a changé de pays
et a été entouré de
sœurs très unies.
Il sait qu’il n’est
pas le bienvenu,
Mais prend sa place sans retenu.
Un royaume doit se prendre de façon incongrue.
Dansant avec les ombres d’une esquisse,
il a été rapidement
plein de soucis et pleins de vices parce qu’il n’apprécie pas vraiment la justice.
Plusieurs
vols à la croisée du chemin,
mais toujours
accompagné par ses sœurs, l’esprit malin.
Ils se sont très vite trouvés une passion (
bien malsain)
pour ne faire très vite
qu’un.
Mais par
curiosité,
il est
tombé à terre en apprenant tout de son
passé mystère.
Cependant, il ne s'est pas brisé comme du verre
et à juste esquisser un sourire éphémère.Bien plus tard, dans une sorte de folie démesurée
et devant ses nombreux arts volés
il a eu
l'idée de créer une organisation mal-aimée et tout dévaliser.
De là, le panthéon est né.
Celui-ci est une
mafia bien organisée, avec des dirigeants bien affirmés
dans la contre-façon d'arts volés. Derrière les regards indiscrets,
Adonis récupère les âmes brisées pour les conduire dans ce chemin torturé
de leur plein gré.
C'est comme cela qu'il a rencontré le petit
Jun,
aux États-Unis lors d'un
échange armé pour quelques tableaux à cacher,
il l'a retrouvé chamboulé
et l'a alors
récupéré.
Il a demander à ses parents de l'adopter
pour qu'il reste à ses côtés. Aujourd'hui, il l'a rejoint dans le Panthéon et tout ces mauvais côtés.
Pour que leur vie soit conservé,
chacun porte le nom d'une
déité,
Adonis à choisi
Atropos en tant que
roi couronné
afin d'apporter à chacun une certaine
liberté.