Invité花が咲いたよ | ( #) miyashita sakiko (they say that time flies but you keep breaking its wings) ϟ Mar 8 Oct - 21:50 | 宮下咲子 I’m afraid that I won’t have the strength to breathe when tomorrow comes CREDITS TO L'INTERNET | nom miyashita, prends soin de toi. prénom(s) sakiko, enfant des fleurs. âge vingt-deux ans, grand enfant. date de naissance sept décembre, cadeau précoce. lieu de naissance matsubara, osaka, l'accent qui chante. nationalité japonais, voyages rêvés. origines japonais, papa disparu, chinois, maman dans les veines. études/métier master 1, littérature et langues, concentré et prisonnier. logement résidence seiseki, home sweet home. sexualité tête chercheuse, sans idées. situation célibataire, insolence effrontée. |
caractèreet quand ils racontaient des histoires, tu rêvais sensation... tu aimes bien marcher pieds nus mais tout le monde dit que ce n'est pas propre, tu t'en fous un peu à vrai dire, tu aimes bien sortir le soir pour voir les étoiles mais la pollution t'empêche souvent d'admirer les astres alors tu t'es dit qu'un jour tu repeindrais le ciel pour qu'il ait l'air heureux, tu tiens une relation épistolaire avec un de ces gars en prison -est-ce qu'on peut appeler ça une relation ?, c'est maman un jour qui t'a dit de faire ça, c'est bon pour ton karma qu'elle disait alors tu as dit pourquoi pas et tu as tout simplement continué, en parlant de maman, parfois, tu vas encore la voir, tu aimes bien faire la cuisine avec elle, c'est aussi la seule qui te parle dans cette langue étrangère, il faut que tu travailles, que tu n'oublies pas d'où tu viens, mais tu ne pourras jamais partir là-bas toi, parce que tu as peur des avions, peur des trop longs trajets, peur de mourir sur la route. Tu n'as pas peur de grand chose, d'ailleurs, tu crois, les insectes tout ça, tu ne crains pas ; non toi, t'as peur des choses métaphysiques, des choses que tu ne comprends pas, t'as peur de mourir, t'as peur des fantômes, t'as peur des histoires pour enfant, celles des gens qui viennent dans ton sommeil pour te manger, ça te terrifie. Tu ne dors pas beaucoup, de toute manière, tu aimes dire que c'est parce que tu es jeune mais peut-être aurais-tu besoin de cachetons pour t'assommer - tu as toujours refusé, tu as dit un jour qu'on vous tenez prisonnier avec beaucoup trop de choses déjà, tu n'avais pas envie d'être enchaîné un peu plus encore mais peut-être qu'un jour, tu ne supporteras plus tout ça, alors tu bois beaucoup de café. Ce n'est pas très bon, c'est amer, tu as encore le palais d'un enfant et tu sucres sans arrêter, encore et encore ces petites tasses au goût de brûlé - tu ne sais pas le boire autrement, et pour avoir l'air cool, faire comme les autres, tu aimerais aussi fumer en prenant ton café - c'est sexy qu'ils disent. Tu ne comprends pas trop. Chaque fois que tu essayes, tes poumons brûlent et tu t'étouffes, alors finalement tu as abandonné l'idée de la cigarette - mais tu en as quand même toujours une pour faire genre, comme les enfants. Pourtant, tu n'aimes pas qu'on te traite comme un enfant, mais c'est ce que tu es, alors tu essayes de te battre parfois, d'envoyer les poings aussi, t'es un peu bagarreur et maman n'aime pas ça, alors ton visage est souvent plein de bleu et tu te dis que c'est ce qui te rend encore mieux - regardez moi, je suis un grand garçon, je fais la même chose que vous mais peut-être que tu devrais arrêter de vouloir grandir trop vite. Maman te demande parfois ce qui a changé chez toi, comment ça se fait que tu sois comme ça mais toi tu ne comprends pas trop ; c'est quoi, être comme ça ? +++ bavard, survolté, rancunier, capricieux, secret, confiant, délicat, sociable, têtu, rêveur, à l'écoute, bête, affectueux, honnête, désordonné, émotif, bout-en-train, audacieux, excessif, immature, lent, imprudent, optimiste, impatient, observateur, pétillant, impatient, orgueilleux ma petite histoireet jamais la pluie ne s'arrêtait de tomber alors tu pleurais... tu ne comprends pas, il va mourir, elle a dit qu'il allait mourir, il va mourir, je n'en veux pas, s'il te plaît, je n'en veux pas, les pleurs de ta mère quand elle te prend dans ses bras, sourire d'enfant sur ton visage, toi non plus tu ne comprends pas. Tu viens de naître, toi alors, tu ne sais pas grand chose de la vie et maman pleure, elle pleure beaucoup et papa te regarde comme si tu étais une erreur, comme si tu ne devais pas être là, oh mon enfant, doux enfant, disait ta maman et le mensonge doucement se forgeait, souffle d'incertitude. elle a dit qu'il allait mourir répétait-elle et c'est drôle, peut-être bien que tu devrais être mort. maman était une femme superstitieuse, c'est comme ça que papa l'expliquait aux personnes qui te voyaient, elle est jolie votre petite fille mais tu étais un garçon. maman te mettait des robes et te laissait les cheveux longs, c'est parce qu'on lui a dit que si elle avait un garçon, il mourrait, alors elle a décidé de tromper le destin - Sakiko serait une fille, peu importe ce que l'on en dit. Et tu trouvais cela normal - après tout, on t'avait élevé ainsi. Tu étais une fille à l'école, une fille à la maison, mais tu ne comprenais pas pourquoi tu étais si différent des autres filles - maman, pourquoi elles se moquent de moi ? et il y a bien des choses qu'on essayait de te cacher. Tu as fini par quitter l'école, c'est pas grave, elle prendra les cours à la maison disait-elle, et toi, tu disais au revoir à tous ces gens que tu ne reverrais sûrement jamais. tu devais être une fille mais le monde t'en empêchait alors maman a décidé de t'isoler -et ce n'était pas la meilleure des idées et papa criait et papa ne supportait plus de voir son fils ainsi traité, tu es folle qu'il disait à maman et toi, tu ne comprenais pas, tu ne comprenais plus rien, tu voulais tout simplement être toi sans que l'on te dise quoi que ce soit ; papa, maman, ils pouvaient tous rêver, tu en avais marre. quand tu as eu l'âge, celui d'être grand, celui de réfléchir par toi-même, tu as pris toutes ces robes et tu as dit stop, je n'en veux plus, je ne suis pas ça sans vraiment savoir ce que "ça" voulait dire ; mais tu n'étais pas ce qu'elle voulait que tu sois. tu as roulé les vêtements en boule, comme ça et tu as voulu y mettre le feu. tu as voulu brûler ton passé, le réduire en poussière pour ne plus jamais en entendre parler. les larmes abîmaient ton visage et tu en faisais du bruit, tu pleurais comme un enfant maudit. t'as pris la tondeuse à papa et tu as tout coupé, tout ces cheveux longs sur le haut de ton crâne, tout était parti -tu n'étais pas très joli, mais tu n'en avais rien à faire et tu pleurais, encore et encore, comme si tu mourrais. peut-être es-tu mort une fois, ce jour-là. papa est parti avec toi sous le bras, pendant quelques années tu n'as pas vu maman, elle doit se calmer qu'il te disait et tu ne comprenais pas vraiment, mais tu vivais normalement - c'est comme ça que papa l'expliquait aux autres quand ils demandaient. il ne racontait jamais toute l'histoire, il ne racontait jamais quand tu te roulais par terre, quand tu criais, quand tu pleurais, quand tu disais que tu en avais marre, non toi tu n'étais pas fou, pas comme maman, alors il disait toujours que c'était de sa faute à elle, jamais la tienne. tu es un enfant roi, un enfant parfait, tu étais son enfant. et ils te façonnaient tous à leur image, comme il le voulait. poupée de cire. (same road, different paths) tu n'as pas de grands moments dans ta vie, partir n'en était pas un, revenir non plus. tu en as fait des fugues, c'est ce que papa disait, mais toi tu ne crois pas que ce soit vraiment ça, tu voulais juste partir, encore et encore, t'enfuir mais tu finissais toujours pas revenir - pour aller où ? tu n'avais aucun but, aucune envie, aucun désir, ils étaient tous morts avec ton passé et tu ne savais où aller. tu as pensé à laisser tomber l'école mais qu'aurais--tu fait d'autres ? et tu faisais tous ces petits boulots à droite et à gauche, ils payaient ta liberté -enfin, ce sont les mamies qui te disent ça quand tu répares leur évier et que tu finis par aussi réparer le tiroir de la commode qui ne s'ouvre plus, tes parents doivent être fiers de toi et tu rigoles ; si vous saviez, mamies, vous ne diriez pas ce genre de choses. papa a un jour annoncé qu'il allait refaire sa vie, tu étais assez grand pour comprendre alors pourquoi le cacher. en fait, papa a même dit que tu avais déjà un petit frère -la moitié de ton sang coule dans ses veines, alors il faudra que tu fasses attention à lui, tu feras attention n'est-ce pas ? mais tu n'as pas pu le promettre, parce que tu ne sais pas, est-ce qu'il vivra comme toi ? Cette part égoïste de l'être humain l'espère, ta raison lui dirait de fuir avant qu'il ne soit trop tard mais tu ne lui as jamais vraiment dit tout ça et maintenant, il est trop tard. quand papa est parti, il ne t'a rien laissé, pas vraiment, un peu d'argent et cet appartement délabré, un cadeau d'adulte a-t-il dit et tu es presque sûr qu'il se moquait un peu de toi, mais tu étais heureux. enfant naïf. mais tu ne pouvais pas vraiment continuer comme ça ; tu marchais sur les livres et les vêtements, tu tournais en rond. et un jour on t'a dit de partir, c'est plus pour vous ici, en fait ce n'était même plus pour personne, ils allaient tout casser, rénover, faire des choses pour les gens dont tu t'en fous, des choses que jamais tu ne pourrais t'offrir. tu en ris aujourd'hui, mais c'est ton passé qu'ils ont détruit, tes souvenirs qu'ils ont écrasé. et peut-être que ce jour-là, tu es mort une deuxième fois. l'université, ça n'a jamais été un choix -une obligation, un calvaire, pour ton futur qu'il disait papa. alors c'était juste comme ça depuis le début, aucun choix -tu en avais les moyens, c'est tout. et peut-être n'était-ce pas si mal ; aujourd'hui où tu n'as plus nulle part où aller, l'école des tes horreurs est celle qui t'ouvre les bras -tu crois. C'était comme retourner à la maison. derrière l'écran dis nous tout pseudo hydrangeas mais quand je suis flemmarde c'est juste h. âge vingt-deux présence je passe de temps en temps mais rp surtout les weekends. avatar takao hayato un petit commentaire écoutez je vais vous raconter une histoire mais au début je ne venais pas du tout jouer hayato, mais en fait, j'ai eu la flemme de jouer quelqu'un d'autre alors au je me suis dit OH tiens si je jouais machin (james teeradon)(le pauvre) mais stupeur et tremblements, vous avez tellement de thaï déjà!!!! (mais c'est pas vraiment un problème)(et vous êtes tous mimis alors c'est pas grave) enfin bref, du coup, cet avatar était un peu random mais en même temps, mon gros bébou jlm pqt? bref, j'ai grave aimé le fo. (et promis, le reste de la fiche sera court). (et j'essaye de le finir vite vite aussi). | |
|
|