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Oshima Riiho I'm hard on the outside but if you give me time then I could make time for your love.
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Oshima Riiho I'm hard on the outside but if you give me time then I could make time for your love.
Anonymous
Invité
花が咲いたよ

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Oshima Riho

âge 23 ans.
date & lieu de naissance Née dans le petit village de Narusawa, dans la préfecture de Yamanashi, le 12 Avril 1997.
nationalité & origines Japonaise.
études/métier 1ère année en Arts (dessin). Artiste peintre depuis trois ans, son nom d'artiste est O-Shima.
logement Résidence Seiseki.
sexualité & statut Homosexuelle, mais n'aime pas en parler parce que c'est un sujet épineux.
situation financière Boursière, vend ses tableaux (c'est la dèche quoi).
projet & situation Riho avait abandonné ses études en communication visuelle (discipline qu’elle détestait) après s'être enfui de chez elle après son coming-out raté. Elle a repris ses études cette année après trois ans à tenter de vivre de son art grâce à sa tante Reiko. Réconciliée avec cette dernière, sa tante l'a incité à venir à Tama pour reprendre une vie "normale" et étudier ce qu'elle aime. Son projet reste pourtant le même : vivre de ses toiles et de ses fresques urbaines. Les études l'intéressent peu mais boursière, elle reste assidue pour ne pas perdre sa bourse.
caractère

Dynamique + fantasque + franche + a du mal à s'attacher + généreuse + indécise + aventureuse + vraiment farouche + courageuse + dure avec les autres + débrouillarde + très colérique + HPI + hypersensible + socialement awkward + fidèle + perfectionniste.

Riho est une fille difficile à cerner aux éclats d'humeurs homériques. Vite piquée au vif, elle est méfiante avec les autres, plutôt autoritaire, foncièrement sur la défensive. Renfermée sur elle-même, excentrique, c'est une jeune femme active, déterminée, rapide et impatiente, au caractère ombrageux, plutôt dure et susceptible. Ni douce, ni souple, ni compréhensive, Riho est entière et passionnée et l’orgueil est son moindre défaut. Son émotivité à fleur de peau - qu'elle essaye de cacher - lui fait sans doute amplifier les situations. Cependant si vous lui laissez du temps et dépassez sa carapace, vous découvrirez une jeune femme courageuse, active, franche et sans ambiguïtés malgré son côté excessif. S'étant déscolarisée plusieurs années et ayant vécu à la rue, son passif l'a surement un peu trop endurcie, en faisant un vrai chat sauvage. Mais les chats savent être affectueux si on leur donne du temps.

Égocentrique, elle est avant tout concernée par elle-même et sa propre affirmation mais c'est surtout une façade. Être distante est pour elle un mécanisme de défense. Riho est souvent déconcertante car elle tend à réprimer fortement ses sentiments et passe souvent pour beaucoup plus insensible et froide qu'elle ne l'est en réalité. Elle éprouve le sentiment fréquent d'être incomprise mais peine à être claire malgré sa franchise un peu blessante : elle a du mal à communiquer avec les autres. De fait, le domaine sentimental n'est pas facile pour elle. Fantaisiste et bohèmes, Riho exige beaucoup de la vie et est souvent déçue pour cette raison, en proie à ses déséquilibres intérieurs.

Ses maladresses et incompréhensions sociales s'expliquent par le fait qu'elle soit HPI (haut potentiel intellectuel) et donc hypersensible, difficile à suivre quand elle est passionnée, perfectionniste, avec une pensée intuitive et rapide couplée à une pensée en arborescence, et manque de la plupart des codes sociaux, intolérante à la frustration. Souvent, elle est blessante sans s'en rendre compte par exemple, incapable de mentir ou de dissimuler ses pensées. Mais une fois passé ses défenses, vous trouverez une amie fidèle et prête à tous les sacrifices pour vous.
 
ma petite histoire
 
 
D'abord, j'ai perdu des amis. J'ai jamais été vraiment douée pour approcher les autres, et encore moins pour les garder. Je ne me souviens du charme champêtre du petit village de Narusawa où mes parents avaient décidé de s'installer. Mon père était photographe et avait toujours voulu percer le mystère de la forêt d'Aokigahara, la forêt des suicidés, comme on l’appelle. Moi, j'étais une gosse. Je voyais pas le problème. Mon enfance, c'est dans les petites rues, sur les berges des rivières que je l'ai vécu. Au loin, le mont Fuji comme un décor de carte postale était la seule chose de stable dans mon environnement. Mes parents ont divorcé quand j'étais toute petite ; j'me souviens plus à quel âge. J'ai rapidement été seule, sans l'envie de m'arracher aux bras de la solitude. En classe, j'avais pas envie de parler aux autres gamins, pas besoin de partager mes passions, plutôt réduite. Moi, j'aimais dessiner. Plus tard, j'ai aimé la photo, qui me rappelait mon père. J'étais dans mon coin, avec ma jolie mélancolie. J'savais pas trop faire : les autres m'énervaient rapidement, et je ne les comprenais pas. J'étais chelou, tu vois, mais moi j'préféré en rire. J'ai eu mes premières amies au lycée, quand je suis sortie de ma cambrousse pour étudier à Hakone. J'étais bien dans mon petit trou paumée que j'explorais avec mon vieux quand il acceptait de m'emmener avec lui en exploration dans cette putain de forêt glauque. C'est pas pour faire ma fille mystère, mais j'aimais ma vie comme ça.

Moi, j'sais pas comment attraper les mains qu'on me tend. J'ai jamais été douée pour ça. Les garçons, ça m'intéressait pas. Les histoires d’amour à la télé, je pensais que c'était mal joué ; j'y reconnaissais pas. Mes copines me montraient du doigt quand je leur disais que ça me branchait pas. C'est con des fois, les filles. On s'est jamais vraiment compris elles et moi, même si j'parle pourtant la même langue, que j'fais des efforts. On dit que les HPI sont souvent en décalage avec les autres, ou alors c'est juste que je suis vraiment con. Je me suis éloignée -peut-être que j'ai pris peur sur un malentendu - et j'ai mis de la distance entre moi et mes amies du lycée. Trop jolies pour moi, j'avais besoin d'air. De ma fierté comme d'une couverture de survie. J'avais besoin d'air, de voir du pays, de trouver ma vie et surtout de fuir ce que je venais de comprendre. J'ai tout plaqué pour aller vivre à Tokyo quand j'ai eu vingt ans, pour étudier la communication visuelle. C'était juste une fuite en avant.

Pardonnez-moi si je vous ai lâché. Pardonnez-moi, j'étais écorchée.

Ensuite, j'ai perdu du temps. J'aimais pas ce que je faisais, jamais pas Tokyo. J'aimais pas ces gens aux yeux arrondis par la routine. Je traînais dans les rues, je graphais les murs plutôt que d'aller en cours, et on m'a retiré ma bourse. J'voulais mettre de la couleur dans ma vie, au lieu de subir les routes grises de la capitale. C'est en séchant mes cours que j'ai découvert que ma passion n'était pas juste un hobby mais aussi ce qui me permettait de respirer, de vivre ; ou peut-être que c'était juste que j'étais vraiment con. Mes parents réunis pour l'occasion m'ont rappelé à la maison durant les premières vacances, pour me doucher de reproches. Mais y'a autre chose, encore. Un truc plus difficile à sortir, qui m'a tout fait perdre. Connerie de sincérité. Ça faisait des jours que je ressassais. J'ai vomi la grande nouvelle, quand on s'est réuni un soir pour mon anniversaire ; ils m'ont regardé comme une inconnue. Imaginez : la fille prodige est une homo. J'ai capté dans leurs regards ce que je voulais pas voir, et j'me suis caché dans le noir du placard, tout bêtement. Mes parents ne me reconnaissaient pas. Ils ne m'acceptèrent pas. Alors, j'ai tout plaqué. C'était trop p'tit dans le placard, alors j'ai encore une fois abandonné tout le monde pour faire comme je pouvais, en faisant des petits boulots pour arriver à bouffer. Je graphais les murs au passage, je dormais sous les ponts, chez les filles avec qui je flirtais juste pour pouvoir dormir au chaud et me tirer le lendemain.

J'ai fais, crois-moi, tout un tas de conneries. Des petites et des grosses, et j'ai même un casier. J'ai volé, j'ai cassé des trucs. J'ai menti, même si j'aime pas ça. J'avais besoin de bouffer et de dormir. Jamais je me suis attachée, parce que c'était pas possible quand tu mènes ce genre de vie, tu vois. Je suis jamais revenue chez ma famille, parce qu'ils pensaient que j'avais une tare. Comme quoi, en quelques mots, tu passes de héros à zéro. J'ai fais l'tour du Japon et je me suis jamais trouvé. J'ai cherché dans les décors qui défilaient, dans les gens que je croisais, dans les opportunités que je manquais ou que je saisissais. J'ai fais plein de trucs, en peu de temps. J'ai découvert que ce qui était fait pour moi, c'était la vie d'Bohème, c'était les voyages, c'était la peinture sur mon jeans, sur les murs, pour mettre la couleur qui manquait dans mon cœur ; parce que j'allais mal, tu vois, et que j'avais besoin de guérir.

Adieu, jolie mélancolie. Je veux plus de toi dans ma vie, t'as trop traîné dans mes yeux.

Ensuite, je t'ai perdu toi aussi. Mais en un an, Kawaguchiko, Nagoya, Fukuoka, Chiba, Nara... c'était pas forcément mieux. J'ai croisé des gens dingues à Yokohama, des dingues et des paumés, j'ai vécu dans un squat avec eux et j'ai laissé s'exprimer ma créativité en toute liberté. C'est là que j'ai rencontré Mikoto. Cette fille, quand elle entrait dans une pièce, elle était comme le soleil au milieu de l'hiver. Elle avait peur de rien, Mikoto, et surtout pas de moi quand je lui gueulais dessus pour essayer de la faire fuir. Alors, petit à petit, j'ai appris à l'aimer et elle m'a donné de la stabilité. J'ai pu trouver un appart et faire des colocations, vendre des toiles, développer mes techniques et combattre la mélancolie. Je me sentais presque accomplie, avec Mikoto. Je passais des heures à regarder les photos qu'elle faisait, quand elle les classait sur son tout p'tit lit. Je faisais des efforts, même si j'étais clairement inadaptée à la vie à deux. Ça n'a duré que quelques mois nous deux, mais c'était ma première fois ; on s'était connues sur un malentendu et on a pris l’habitude l'une de l'autre. On s'est apprivoisées. Peut-être qu'on était un peu trop fusionnelles, ou alors trop farouches, trop indépendantes. Je sais pas comment on tient une relation, alors je sais pas plus comment on la foire. On faisait tout ensembles, et maintenant on a plus rien en commun.

Je l'aime encore. Aujourd'hui j'écris mon histoire ailleurs pour avoir des choses à lui dire. Je sais pas si j'ai encore envie de m'arracher des bras de la solitude qui m’enlace trop souvent. Mais y'a un truc que je sais, vraiment : maintenant je vis pour ma peinture, même si j'bouffe pas bien en fin de mois. C'est ma passion qui me nourrit, quitte à être pauvre. Je suis peut-être un peu con, mais j'ai envie de vivre ma vie libre, sans attaches, sans déceptions. Mettre des couleurs sur les murs, dans mon cœur, dans la vie des autres et la mienne. Je sais pas si quelqu'un pourrait accepter ce que je suis, et ce que je refuse d'être. Le jour où ma tante Reiko est revenue vers moi, je l'ai rejetée avant de réfléchir. Elle me proposais de reprendre mes études pour structurer ma vie, et de tenter de demander une bourse parce que je n'étais pas si mauvais élève. Le pire, c'est que ça a marché, et me voilà maintenant à l'université de Chuo. Mais je sais pas si j'vais arriver à y vivre, à me faire des amis. Trop fière, même si je n'ai pas peur que les autres me fassent souffrir.

La douleur, je préfère en rire. Toute façon, y'a rien à dire, alors je la porte fièrement.
derrière l'écran
un petit commentaire Bravo pour la MAJ ! Je suis Chris de FB, merci de m'avoir aiguillé vers votre forum. <3

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Invité
花が咲いたよ

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Bienvenue officiellement !! :pompom:
Avec Lisa la beauté in love in love in love

Je vais lire cette fichounette !! :y:

Si tu as des questions n'hésite pas ! coeur

Koizumi Yûji
Odisien(ne) certifié(e)
花が咲いたよ
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erin
Date d'inscription :
21/10/2019
Messages :
472
Autres comptes :
Remy, Shôji, Hideki
Célébrité ; Crédits :
Mukai Osamu

Âge :
35
Date de naissance :
02/03/1989
Nationalité :
japonais

https://odis.forum-actif.net/t829-koizumi-yuji https://odis.forum-actif.net/t876-koizumi-yuji https://odis.forum-actif.net/t1230-koizumi-yuji-it-s-time-to-open-your-eyes
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Bienviendue parmi nous :coeur:
Trop contente que tu aies choisi ODIS pour poser tes valises, et j'espère de tout coeur que tu vas t'y plaire !

En tout cas j'adore Riho elle promet d'être sacrément intéressante !! :coeur:

Oui je valide avec mon perso pas encore validé, keskiaaaaa ? *sort*

Bienvenue chez toi ! ♥
Tu es validé(e) prêt(e) à jouer !
Bienvenue chez toi, nouvel(le) habitant(e) de Seiseki !

Tu te croyais fin prêt(e) à jouer ? Oui, mais on a encore un peu besoin de toi avant.

1# PROFIL : Il est très important de bien le remplir pour guider les autres membres sur ton perso, surtout les logements, car il n'y a pas de topic de logement.

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