Odisien(ne) certifié(e)花が咲いたよ Date d'inscription : 21/10/2019 Autres comptes : Remy, Shôji, Hideki Célébrité ; Crédits : Mukai Osamu Date de naissance : 02/03/1989 | ( #) KOIZUMI Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物 ϟ Mar 16 Juin - 18:01 | | âge 31 ans date & lieu de naissance 2 mars 1989 à Tokyo nationalité & origines Japonais études/métier prof de théâtre à Chuo et en recherche de troupe de théâtre ou de rôles dans des dramas logement Seiseki - près de la rivière sexualité & statut hétérosexuel et solitaire professionnel situation financière suffisante pour vivre confortablement projet & situation Après une dizaine d'années d'expatriation en Corée du Sud, Yûji a ressenti le besoin de rentrer dans son pays natal, pensant avoir fait le tour de ce qu'il devait vivre chez les voisins. Du haut de ses 31 ans, il a beaucoup vécu mais a encore trop de blocages, et il pense qu'un retour à Tokyo pourrait lui être bénéfique. | caractèreSans être totalement lunatique, Yûji est plutôt d’humeur changeante. Il est difficile de savoir sur quel pied danser avec lui car, il est capable de passer d’une émotion à l’autre avec une rapidité déconcertante. Sensible, il est facilement affecté par les événements qui surviennent dans sa vie et met toujours plus de temps que les autres à s’en remettre, enfin, c’est ce qu’il pense. Il a eu un mal fou à se remettre de l'une de ses relations, qui l’a décidé à devenir host dans un bar afin de mettre un terme à toute envie de construire une relation amoureuse. Il ne s’est toujours pas remis de l’abandon par son père, du fait qu’il soit plus intéressé par la succession de son entreprise et ses partenariats à travers l’Asie que de son propre fils. Son père n’a jamais daigné s’intéresser aux passions de son fils, qui n’avait cure de l’architecture et préférait la comédie. Cependant, lorsqu’il s’agit de prendre une décision, Yûji sait toujours garder la tête froide et faire la part des choses. Jeune homme réfléchi, ce n’est pas le genre à foncer tête baissée quand il lui arrive quelque chose. C’est plutôt du genre à se poser, s’isoler et médite à sa situation. Plutôt calme de nature, il est rare qu’il se mettre en colère, il faut vraiment le pousser dans ses retranchements. Aussi, il est très difficile de cerner Yûji, savoir ce qu’il ressent etc, et ce grâce au théâtre. A force d’entraînement, il réussit désormais très aisément à dissimuler émotions et sentiments qu’il ne veut pas montrer aux gens. Vous ne saurez donc jamais s’il va bien ou non, ou alors c’est qu’il vous l’aura dit. D’ailleurs, il est inutile de lui courir après pour lui demander si ça va ou s’il a besoin d’aide, il vous enverra paître à coup sûr. N’aimant pas la compagnie envahissante, rassurez-vous il saura venir vous chercher s’il a besoin de votre présence à ses côtés. Mais en général, c’est quelqu’un qui préfère avancer seul, car ayant vécu diverses trahisons dans son passé, il n’est plus très amène à faire confiance aux gens. A côté de ce côté taciturne et distant, Yûji est une personne plutôt intelligente qui a toujours réussi dans ses études, mais c’était plus par pression familiale –ou plutôt paternelle, que par réel intérêt pour les études. D’ailleurs, s’il avait voulu fréquenter les grandes écoles de sciences po’ ou de médecine, il ne serait pas parti étudier dans une écoles d'arts à Séoul. Sa « fuite » en Corée du Sud, qu’il ne considère d’ailleurs pas comme telle, a été mûrement réfléchie. Il ne comptait pas subir davantage la pression exercée par son père sur son compte, et attendait juste le moment propice pour prendre son indépendance. C’est chose faite, puisqu’il a survécu pendant de nombreuses années dans un pays qui lui était totalement inconnu à son arrivée, il n'en parlait même pas la langue … Il s'en est très bien sorti là-bas, malgré le fait qu’il ait été déshérité par son père. Yûji est quelqu’un d’indépendant, et sait très bien se débrouiller, même dans des situations où il pourrait se retrouver déboussolé.
En tant que professeur, Yûji est quelqu'un de pédagogue mais de strict. Il sera toujours à l'écoute de ses étudiants et cherche même parfois à les aider en dehors des cours. Il a beau être taciturne et un peu bourru et difficile à atteindre, Yûji est empreint d'un bon coeur généreux et il ne laissera jamais quelqu'un dans le besoin. Il est juste solitaire et refuse de laisser paraître ses émotions car c'est pour lui un signe de faiblesse, et c'est aussi un moyen de se protéger des gens mal intentionnés. Yûji est un peu une coquille vide, il se laisse porter par la vie mais n'y met aucun enthousiasme. |
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| Je ne suis pas vraiment un garçon avec une histoire extraordinaire, du moins, je ne me considère pas comme tel. Certains auront pu envoyer mon statut, du fait que mon père est un architecte de renom et ma mère une peintre plutôt connue. Je n’ai jamais vécu dans le besoin, durant mon enfance, je peux l’admettre sans souci puisque c’est la vérité. Mon père a toujours été du genre exigeant avec moi. Etant son seul fils – pour le moment, il me mettait beaucoup de pression et dès mes premières années à l’école maternelle, il fallait déjà que je prouve mes capacités intellectuelles, et cela m’ennuyait beaucoup. J’étais intelligent, il le savait, j’ai appris à lire plus tôt que les autres, du coup pendant que mes camarades jouaient dehors, moi je devais rester en classe pour m’avancer. Mon père avait même pris rendez-vous avec mon enseignante pour lui dire qu’il fallait vraiment me pousser en avant, sans hésiter. Il a aussi voulu me faire sauter une classe en primaire, j’ai refusé catégoriquement, le menaçant d’arrêter de faire des efforts s’il le faisait quand même. J’étais un gosse, et il a cédé à un gosse. A partir de là, j’ai cru que j’aurais toujours le dessus sur lui, mais je me trompais lourdement.
Mon père m’a inscrit dans un collège privé, et me faisait assister à des cours du soir. De toute façon, je n’étais pas une exception, nombreux étaient les jeunes au Japon à suivre les cours du soir. Sauf qu’au lieu que ce soit dans mon collège, c’était à domicile, avec tuteur. Ma vie était déjà écrite, et jouée. Je m’ennuyais vraiment quotidiennement, sachant déjà ce qui allait se passer. Mon seul échappatoire était le club de théâtre auquel je m’étais inscrit dans mon école. Jouer des rôles éloignés de ma vie et mon caractère me faisait m’évader et me donnaient l’impression d’être plus intéressant, que ma vie était plus dynamique. Le lycée fut le même scénario, écoles privées et tout ça. Mon père avait de grands espoirs pour moi, espérant que je travaillerai à ses côtés dans son cabinet d’architecture. Mais qui a dit que je voulais être architecte ? Encore une fois c’était un avenir que je n’avais nullement décidé. Je ne m’étais jamais passionné pour cet art, personnellement on m’aurait posé la question, j’aurais dit que je voulais être comédien. Après tout, cela ferait un artiste de plus dans cette famille, après ma peintre de mère.
Une fois diplômé du lycée, mon père m’inscrivit dans une prépa en vue d’intégrer une prestigieuse école d’architecture – dans laquelle il avait bien évidemment étudié et pour laquelle il présentait parfois des travaux d’exemple. Déjà las avant même d’avoir mis les pieds dans cette école ennuyeuse, sachant que j’allais encore passer des nuits blanches bosser pour quelque chose que je n’aimais pas, je n’avais pas abandonné mon idée de faire de la comédie mon métier. Mais je ne savais pas comment m’y prendre. La solution vint d’elle-même quand, juste après avoir fêté ma majorité, mon père décida de m’envoyer en Corée du Sud, car il avait des partenaires là-bas et désirait que je sois le représentant de son cabinet à Séoul. L’envie de refuser était forte, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir faire à Séoul ?! Je n’avais même jamais appris le coréen, et je n’étais pas non plus bilingue en anglais ! Cependant, en y réfléchissant, je me dis que c’était peut-être ma chance d’échapper à mon père et à sa pression.
J’ai donc pris mes billets pour Séoul, écouté les instructions de mon père, et laissé une lettre à ma mère en lui expliquant que je ne reviendrai sans doute pas à Tôkyô avant longtemps, et qu’il ne fallait pas qu’elle en parle à mon père. Elle me soutenait, au fond, sans le montrer devant son mari. Une fois arrivé à Séoul, alors que j’avais des directives très précises, je ne me rendis jamais au cabinet partenaire de celui de mon père. A la place, j’errais dans la capitale coréenne en profitant de l’argent que m’avait mis mon père sur mon compte pour faire du tourisme. Et c’est comme ça que je découvris Kirin. Une école qui permettait aux jeunes de vivre de leur passion, que ce soit le chant, la danse, la musique ou …. Le théâtre. Voyant là mon opportunité, je me suis remis à travailler une pièce que j’avais étudié au collège et décidai de passer l’audition de la section université de Kirin. Malgré mon stress et mon manque de confiance en moi, j’ai réussi l’audition et ai pu commencer de nouvelles études dans un milieu qui me plaisait.
Quand mon père découvrit que je ne m’étais jamais rendu chez ses partenaires, il décida de me déshériter et de me couper les vivres. Je m’y étais préparé, et cela ne m’avait nullement surpris venant de lui. J’avais donc déniché un emploi sommaire dans un restaurant, comme beaucoup de jeunes. J’aurais préféré trouver mieux, un jour on m’a dit que ma belle gueule pourrait bien me servir pour être host, mais je me voyais mal dans ce métier. J’ai eu une relation avec une fille à Kirin. Et puis cette histoire s’est tellement mal finie que je me suis décidé à ne plus avoir de relations avant un moment. J’ai finalement troqué mon poste de serveur qui ne me rapportait pas grand-chose pour le métier de host qu’on m’avait proposé et qui était mieux payé –histoire qu’une fois que j’ai payé ma chambre au campus je puisse au moins me payer à manger. Je faisais partie des hôtes difficiles qui se contentent de passer du bon temps avec les femmes mais qui n'allait jamais plus loin que quelques verres et un bon repas dans les salles réservées. Parfois j'allais au karaoké avec une cliente, mais il était hors de question qu’elle me touche.
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Yûji a eu une vie semée d'embûches mais riche en expériences pendant sa vie en Corée du Sud. Il a fait toute sa scolarité dans cette école d'arts de la scène. Il a rencontré une étudiante plus jeune que lui dont il a failli tomber amoureux, et ça lui a fait peur. Il a intégré de manière totalement impromptue un groupe de musique dont il était le guitariste, PRAYER. Si au début il n'était pas du tout motivé, son passage dans ce groupe l'a marqué, lui a permis de reprendre la guitare et de s'ouvrir un peu aux gens. Il reste encore attaché à ces souvenirs même si le groupe est depuis dissous et qu'il a perdu tout contact avec ses membres.
Diplômé de Kirin Art School, il a obtenu une proposition d'enseigner en tant que professeur de théâtre, ce qu'il a accepté pour saisir toutes les opportunités et pour avoir un salaire pendant que les activités de son groupe étaient en stand-by. Il a d'abord été remplaçant pendant 2 ans puis titulaire.
En 2016, l'agence de Yûji a eu la merveilleuse idée de fusionner son groupe avec un autre, KLUV, où se trouvait Yoon Min Ho, avec qui il se retrouve collègue à Chûô (situation cocasse quand même). Cela n'a pas fonctionné et la formation s'est rapidement dissoute. Yûji a définitivement quitté le monde de la musique à ce moment-là et son directeur d'agence lui a obtenu un contrat d'acteur-comédien. Il a joué quelques rôles secondaires dans des dramas coréens tout en continuant d'enseigner.
Il a continué ainsi pendant 3 ans à Séoul, puis le déclic lui est venu : après plus de 10 ans en expatriation, il avait besoin de rentrer et de renouer avec ses racines. Revoir sa mère, et peut-être même se confronter avec son père qui sait. Il a entendu parler d'un poste de prof de théâtre qui se libérait à l'université Chûô. Il était d'ailleurs plutôt surpris que cette fac de droit ouvre une section artistique. Il a postulé et obtenu le job, et a décidé de s'installer à Seiseki, pour reconnecter un peu avec la nature après 10 ans dans la capitale coréenne. Cela fait 6 mois qu'il est revenu, pour la rentrée scolaire, et il n'a toujours pas dit à son père qu'il était là. Il a revu sa mère en revanche. En secret. Il n'est pas encore prêt. Il cherche aussi à intégrer une troupe de théâtre ou à jouer des rôles dans des dramas, même s'il préfère les planches à l'acting. En attendant, il vit sa petite vie à Chûô et il a retrouvé avec surprise son ancien collègue musicien Yoon Min Ho qui enseigne le coréen, et sa fiancée Ahn Ming Mi, prof de danse. Ils sont toujours pas mariés ces deux-là ?! |
un petit commentaire je pense que Yûji est mon personnage qui m'a le plus marqué avec Min Ho, alors j'ai eu envie de le rejouer | |
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Odisien(ne) certifié(e)花が咲いたよ Date d'inscription : 04/01/2020 Autres comptes : Tanaka Yusuke, Kong Miran, Fujiwara Tatsuya, Imai Hatsuharu Célébrité ; Crédits : Toshimasa Hara alias Toshiya de Dir en grey [crédit Junny]] Date de naissance : 31/03/1980 | ( #) Re: KOIZUMI Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物 ϟ Jeu 18 Juin - 4:15 | Hey ! Re-bienvenue avec cette douce faiblesse ! Amuse-toi bien avec
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Odisien(ne) certifié(e)花が咲いたよ Date d'inscription : 21/10/2019 Autres comptes : Remy, Shôji, Hideki Célébrité ; Crédits : Mukai Osamu Date de naissance : 02/03/1989 | ( #) Re: KOIZUMI Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物 ϟ Ven 19 Juin - 18:36 | Ohohoho merci beaucoup futur collègue Hâte de rper !
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Invité花が咲いたよ | ( #) Re: KOIZUMI Yûji | 夢は見る物じゃなくて叶える物 ϟ Dim 25 Oct - 7:26 | Bienvenue chez toi ! Tu es validé(e) prêt(e) à jouer ! Bienvenue chez toi, nouvel(le) habitant(e) de Seiseki ! Tu te croyais fin prêt(e) à jouer ? Oui, mais on a encore un peu besoin de toi avant. 1# PROFIL : Il est très important de bien le remplir pour guider les autres membres sur ton perso, surtout les logements, car il n'y a pas de topic de logement. 2# CARTE DU FORUM : Tu peux t'ajouter sur la carte interactive du forum en cliquant sur le quartier de ton choix, puis sur le petit crayon (modifier). Il ne te reste qu'à ajouter ton nom sous celui des autres (et pour aller à la ligne ou sauter une ligne c'est SHIFT+entrée). Un souci ? MP / Discord ! (et on peut t'ajouter à la carte sur demande si c'est trop casse-pieds !) 3# TROMBINOSCOPE : Pour faciliter la centralisation des infos et éviter d'avoir 1000 topics, nous avons créé un trombi qui recense les activités principales. Passe donc t'inscrire, et t'en fais pas pour les zones "évolution" et "relations", tu viendras l'actualiser à la prochaine MAJ :) 4# SOCIABILISER : Maintenant que t'es au top, il est temps de sociabiliser avec les autres en créant ton journal des rps ou en faisant un tour dans la banque aux liens ! Tu peux aussi créer ton compte LINE pour envoyer des messages à tes amis ! 5# EVENT SAISONNIER : dans le cadre de notre évent saisonnier, il faut savoir que le mois dernier, un typhon violent a ravagé Tokyo et Tama. Si tu es citoyen, n'hésite pas à aller lancer le dé pour savoir si ton logement a douillé sa mère ou pas ! N'hésite pas à nous rejoindre sur le Discord !
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