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Don’t you mess with me [Feat. Hideaki]
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Alice + Hideaki

 






On pourrait se demander pourquoi une jeune femme portant en même temps que son sac à main, un autre soigneusement emballé, pourrait bien faire dans les alentours de Seiseki. Vivant dans le quartier Shinjuku, cela fait un sacré chemin si on s’y rend à pied, mais cependant tu avais anticipé le taxi, ce qui finalement au bout d’une trentaine de minutes dans une circulation fluide, tu arrives à ta destination. Il était rare de profiter d’un si bon jour de congé, sans compter accueillir ta nouvelle employée pour t’aider davantage à la boutique. Beaucoup de changements ont eu lieu tout comme le bal en compagnie de monsieur Kurushima, un si beau souvenir ancré dans ta mémoire et tu ne regrettes pas qu’il t’a proposé de l’accompagner. Menant le chemin vers les magasins, tu cherchais particulièrement la librairie pour jeter un œil et faire une visite surprise. En effet, @Kurushima Hideaki passe régulièrement dans ta boutique, mais tu n’avais pas eu l’occasion de rendre la pareille alors profitant que le temps soit bien éclairci pour s’y rendre, tu espérais que cela sera une agréable visite.  

Des années que tu n’avais pas fait de rencontres, mais tu n’étais pas idiote, tu savais qu’au fond de toi, il se passait quelque chose depuis un certain temps avec monsieur Kurushima. Tu ne voulais pas brusquer les choses alors tu laisses le courant faire son chemin naturellement. Arrivée devant la librairie, tu admires déjà la devanture et c’était tout à l’image de l’homme qui hante tes pensées. Soudain, on te bouscule sur le côté, ne te laissant pas le temps de demander pardon, mais suffisant pour voir une femme à l’allure luxueuse de la tête au pied. Tu te décides de rentrer après elle sans pour autant la regarder. Quelle impolitesse, même pas elle s’excuse.

A l’intérieur de la librairie, le charme prend tout son effet, mais ne voyant pas pour l’instant la personne que tu souhaitais secrètement voir, tu profites de parcourir les rayons. Passant à côté d’un livre : Alice au pays des merveilles, le conte préféré de ta mère et la raison de ton prénom, cela te fit sourire. Cet endroit avait l’air si convivial, si paisible, jusqu’à ce qu’une voix criante parvienne à l’oreille de tous. « Pourquoi refusez-vous que je vous flatte ? C’est un compliment de dire que vous êtes à croquer. Et où est votre patron ? Celui-ci saurait ne pas refuser ce qu’une femme donne ! ». Pour qui se prenait-elle au juste ? N’a-t-elle pas de respect pour autrui. Oh si ce n’est que sa petite personne… A la mention du patron, cela te fit un léger pincement, est-ce qu’Hideaki connaît cette femme ? tu doutais fortement que ce soit son genre vu ce qu’elle inflige actuellement. Un geste assez intime vers un des employés qui n’osait plus rien dire te réveille, décidant de stopper la lecture de ton livre, c’est avec un pas déterminé que tu te diriges vers la bonne femme en l’interpellant : « Excusez-moi, ici vous êtes dans une librairie, pas dans un club, les rencontres du genre je te touche c’est ailleurs, merci de respecter. ». N’allant pas par quatre chemins, tu t’aperçois au regard de cette dernière qu’elle n’a pas apprécié ton intervention, l’employé inquiet file vers l’arrière de la boutique. Va-t-il chercher quelqu’un ? Ou se remettre du harcèlement troublant que cette odieuse femme se permet. Celle-ci t’attaque de plus belle avec une voix insupportable : « Je fais ce que je veux moi. Vous n’êtes pas une habituée d’ci, ça se voit. Et pas du tout le type que les hommes préfèrent. ».

Oserait-elle dire qu’elle a pitié de toi ? Zen, Alice, garde ton calme. Décidément elle est vraiment incorrigible. S’ensuit de ta réaction tout en gardant diplomatie : « Moi, au moins, j’ai la politesse de ne pas bousculer et encore moins toucher sans autorisation comme si tout m’appartenait. ».

Et cela s’ensuit dans un combat verbal jusqu’à ce que cette dernière se permet de faire une remarque qui te pique le cœur, un sentiment de jalousie ? « Monsieur Kurushima me laisse toujours libre d’être dans sa librairie, je suis sa lectrice préférée. Vous n’êtes qu’une fille trop simple à ses yeux. » Comme si un glaçon avait glissé le long de ta colonne vertébrale avant de fondre littéralement sous la chaleur corporelle. Répliquant d’une voix légèrement blessée, mais restant forte : « Dans ce cas, pourquoi m’a-t-il invité au bal de noël et non vous ? ». La femme odieuse de fige, son regard devient haineux et osant clamer que tu mens, elle s’avance à main levée. Que va-t-elle faire ? Oser me frapper, me gifler ?

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Hideaki & Alice


Je me trouvais dans mon bureau en étant en train de pensé au bal de Noël qui s'était déroulé au gymnase de Chûo quelques temps auparavant... J'avais demandé à mademoiselle Yoshita de m'accompagner et cette dernière avait accepté alors, forcément quand nous nous étions retrouvé au bal, cela m'avait surpris de la voir encore plus magnifique que d'habitude et cela m'avait permis de la complimenter de temps en temps afin de la faire rougir ! Nous avions croisé à un moment mon employé Jun qui se trouvait en compagnie d'un professeur de l'université et cela m'avait étonné de savoir que celui-ci connaissait ma cavalière tandis que c'était l'inverse pour lui comme ça l'avait étonné que moi, je puisse connaître la demoiselle.

Ensuite, celui-ci nous avait fait cette agréable surprise de faire un peu de musique dans la soirée et nous avions pu dansé avec la personne qui hantée mon esprit de plus en plus même si à un moment mes pensées se dirigeait vers Eikichi qui m'avait incendié quelques temps après pour Airi sauf que ces deux-là ne changeraient jamais à être comme chien et chat et se tournée autour parce que l'attirance était évidente quand on savait que cela s'étaient embrassé après leur éventuel dispute.

Cependant, mes pensées furent totalement réduite en bouilli au moment ou une employée m'alertait que cette femme était de retour alors, que nous ne l'avions pas vu depuis ma dernière menace en décembre ... J'apprenais que cette dernière se prenait la tête avec une autre femme et en arrivant, c'était une sacré surprise de voir celle qui hantait mon esprit de plus en plus et cela me surprenait aussi d'entendre cette conversation qui commençait clairement à me prendre la tête de plus en plus. Je décidais d'appeler la police en expliquant ce qu'il en était de a à z et depuis combien de temps cela durait alors, ils étaient en route maintenant c'était à moi d'intervenir.

Je remarquais que cette vile femme allait s'en prendra à mademoiselle Yoshita sauf que ma main attraper la sienne et mon regard se faisait plus dure que les autres fois parce que cette fois-ci c'était s'en prendre à celle qui avait su conquérir mon coeur en restant elle-même et en ne m'utilisant pas pour avoir quoi que ce soit. Cette vile femme allait prendre la parole sauf que je l'arrêtais net en prenant moi la parole.

- Il suffit mademoiselle Kato... Ma menace au mois de décembre ne vous a définitivement pas suffit on dirait ... La police est actuellement en route pour venir au sein de la librairie afin de vous arrêter pour des harcèlements moral et sexuel ainsi que pour des attouchement sexuel en plus de saccager cet endroit quand quelque chose ne vous convient pas du tout.  

Je la tenais fermement au niveau de la main parce que ma colère était définitivement visible pour le coup ... Il m'était impossible de la cacher devant qui que ce soit en sachant que ma tête devait sûrement faire peur pour le coup parce que personne ne m'avait jamais vu dans cet état jusqu'à maintenant.

- Je me suis montré patient comme au départ vous n'étiez pas comme ça envers mes employés et envers moi-même, mais en plus vous commencez aussi à vous en prendre à de simple personnes qui souhaitent lire ou acheter des livres en toute tranquillité.

Je décidais de la lâcher de manière assez brutale pour le coup parce que cette dernière venait de tomber au sol et mon bras passait autour de la taille de mademoiselle Yoshita, non ... de Alice parce que c'était clair comme de l'eau de roche pour moi que c'était aujourd'hui que cela se passerait pour me déclarer même si ce n'était pas dans le meilleur des moments.

- En plus, vous alliez vous en prendre à ma cavalière du soir de Noël qui est la plus importante à mes yeux parce que cette personne ne me poursuit pas pour mon argent ou mon physique comparé à vous ...

Cette femme n'osait rien dire, mais de toute façon ... La police allait arrivé dans quelques minutes pour l'arrêter et j'espérais grandement que cette dernière ce prenne des peines à cause de tout ça. En plus, je savais que mes employés porteraient plainte par la même occasion maintenant que tout bougeait définitivement. Cette fille commençait à prendre la parole ...

- Je suis celle qui vous aime le plus comparé à toutes ces femmes qui vous entourent ... ce n'est pas juste de choisir une personne aussi banal qu'elle.

Je resserrais mon étreinte sans faire mal bien évidemment autour de la taille d'Alice, mais mon regard était définitivement plus glacial envers cette femme.

- Je préférais les personnes dites banal qui ne sont pas fausse comparée aux personnes dites sexy ou dites riches qui sonnent généralement faux à mes yeux. Et concrètement cette personne et moi, nous nous sommes rapprochés de manière naturel sans se prendre la tête ou quoi que ce soit et il est clair et net pour moi que personne peut égaler mademoiselle Yoshita à mes yeux.

Il y avait des chances qu'Alice soit surprise avec tout ces propos, mais cela m'était égal pour le coup comme j'étais en train de parler avec cette femme et encore la je me retenais de la traiter de tous les noms.

© Eikyuu

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Alice + Hideaki

 






Au moment où tu te préparais mentalement à recevoir le coup, fermant les yeux pour te préparer à l’impact. Celui-ci ne vint pas, ouvrant doucement les yeux pour découvrir que celui qui faisait battre ton cœur se tenait à tes côtés et tenait actuellement la main en l’air de cette femme grotesque. Le regard écarquillé face à la scène sous tes yeux et à l’écoute des propos, cette femme n’était clairement pas à sa première tentative. Remarque, ce n’était pas tellement une surprise à tes yeux vu son comportement dès son entrée dans la librairie… Observant le visage de l’homme de tes pensées, tu pouvais voir sa colère visible sur ses traits et surtout comme un sentiment de protection. Comme protégée, quelle sensation est-ce ? Ton cœur battit à la chamade face à cet angle et soudain cette femme finit sous le sol, tu aurais pu être choquée, mais à vrai dire tu te fichais complètement si elle était blessée ou non. Aussi méchant qu’il soit, cette femme n’avait rien de bon et t’avait énervée sans compter sa dernière remarque à ton sujet qui fut blessante.

Le bras d’Hideaki autour de ta taille confirmait bel et bien le sentiment de protection que tu ressentais à ses côtés et cela te réconfortait. Ne protestant pas face à son geste, tu n’hésitais pas à te rapprocher plus et c’était sans doute très clairement le signe que votre rapprochement était plus fort. Lorsque la femme reprit la parole pour ensuite dire que tu étais banal, ton regard se baisse un peu sur le sol… Mais le fait de ressentir le contact physique d’Hideaki se resserrait avec douceur te fait lever les yeux vers lui, oubliant cette horrible femme en face de vous. La surprise se lit facilement sur ton visage lorsqu’Hideaki précise que personne ne peut égaler à toi et cela te fit rougir de plus belle. C’était sans contexte la confirmation de tous tes sentiments ressentis depuis un moment : tu es irrévocablement amoureuse de Kurushima Hideaki.


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Hideaki & Alice


Je sentais cette proximité avec Alice étant donné que cette dernière c'était rapprocher de moi au moment de ma main au niveau de sa taille et de mon étreinte qui se resserrait petit à petit avec tendresse malgré ma colère envers cette femme.

Cette dernière n'osait plus rien dire même si son envie de partir était présente sauf que nous étions en train de la retenir et après un certains temps la police arrivait pour s'occuper de l'arrêter, puis de l'emmener avec eux ... Ils étaient en train de prendre la déposition des personnes présentes concernant ce qui est arrivé aujourd'hui, mais ils comptaient sur nous pour venir au commissariat afin de parler des autres fois ... Jun n'était pas présent aujourd'hui et ce n'était pas plus mal parce que son seul et unique souvenir avec cette femme n'était clairement pas agréable même si je m'étais ramener aussi tôt...

Suite au départ de la police, je décidais de faire en sorte que les clients comme les employés rentrent chez eux et reviennent dès demain parce que cela risquait d'en partir sûrement aujourd'hui. Je tenais toujours la taille de mademoiselle Yoshita, mais je décidais de l'emmener avec moi dans mon bureau afin que nous puissions être tranquille. C'était elle qui avait été le plus touché pour le coup, car elle avait failli se prendre une claque si je n'étais pas intervenue à temps et en étant seule, je décidais de la lâcher pour lui faire face et poser mes mains sur ses joues avec un regard doux comme mon calme était revenu au fur et à mesure.

- Je suis navrée pour ce qui est arrivé aujourd'hui...

J'approchais mon visage du sien afin de poser mon front contre le sien et de la regarder d'encore plus près en sachant qu'au moindre mouvement, il était possible que nos lèvres se touchent ... Ce qui n'était pas trop le moment pour le coup.

- J'espère que vous n'avez pas été blessé par cette personne et que ... mon regard colérique ne vous a pas fait trop peur.

Je m'excusais en quelque sorte pour ma colère qui s'était montré à ce moment-là même si cela n'avait pas été tourné vers les autres, mais vers elle tout simplement.

© Eikyuu

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Aucun mouvement de ta part pour se rapprocher de ton chevalier qui est intervenu pile au moment où cette femme folle allait en venir aux mains d’une manière grotesque sans se remettre en question. Perdue dans tes pensées, tu avais laissé le patron de cette librairie prendre les directives avec la police, ne confirmant que ton témoignage et tes faits, ton esprit vagabondait sur la réalisation de tes sentiments. Comme être dans la réalité, mais qu’une partie de toi ne s’y trouvait plus. Après qu’il est décidé de fermer la boutique, Hideaki vous emmène à son bureau pour plus d’intimité et sans quitter le regard, ce dernier te prend les joues avec douceur et s’excuse de quelque chose dont il ne pouvait pas prédire. Même s’il avait retiré sa main de ta taille, tu ressentais encore les papillons dans ton ventre et tes mains s’étaient agrippés délicatement sur les côtés de la chemise d’Hideaki.

Inévitable que ton rougissement se fit de plus belle et au fait que vos deux visages se rapprochant, proche d’un simple mouvement qui pourrait virer au baiser, mais n’osant pas bouger pour ne pas casser le contact entre vous deux. Sortant de ton silence pour répondre : « Je ne crois pas aux contes de fées, mais vous m’avez sauvé aujourd’hui… Physiquement non, mais ne vous sentez pas coupable. ». Tu ne pouvais pas t’empêcher d’être honnête, nier le fait que tu aies été blessée par les propos de la femme serait un mensonge pathétique et à la fois, tu ne voulais pas l’inquiéter davantage. Ajoutant : « Votre colère était justifiée, vous m’avez fait sentir en sécurité. », esquissant d’un sourire, tu finissais par laisser ton corps bougeait d’un petit geste pour simplement y déposer un léger baiser sur ses lèvres. Comme une lycéenne venant de déclarer sa flamme, mais sans l’être, tu balbuties quelques mots pour justifier cette action. « Je… Mes sentiments... C’est mon remerciement… ».

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