Invité花が咲いたよ | ( #) Ito Juria - Travel the world ϟ Ven 23 Aoû - 0:47 | Ito Juria Les voyages forgent le caractère CREDITS TO ERIN | nom Ito prénom(s) Juria (Julia à l'anglaise ou la française) âge 27 ans date de naissance 07.07.92 lieu de naissance Kyôto nationalité Japonaise origines Japonaises études/métier En plein projet de création d'entreprise logement Appartement à Yokohama sexualité hétérosexuelle situation célibataire |
caractèreGrande gueule. Voilà une expression qui la caractérise fort bien. Juria est une personne qui n’hésite pas à dire tout haut ce que les gens pensent tout bas. Elle préfèrera toujours la franchise à l’hypocrisie, et pourra vous balancer une vérité bien blessante à la figure si vous la cherchez. Ce genre de tempérament lui a bien souvent valu des ennuis, que ce soit auprès de sa famille, à l’école ou à l’étranger. On lui répète souvent qu’elle en dit parfois trop, qu’elle se fait remarquer, qu’elle va avoir des problèmes. Eh bien que ça arrive. Pour le moment Juria touche du bois car elle s’en est toujours relativement bien sortie.
Aventurière. Peut-être qu’au final cet adjectif lui correspond mieux. Depuis petite, la jeune femme rêvait d’ailleurs. Elle ne s’est jamais sentie à sa place dans la société japonaise toute étriquée. Issue d’une famille exerçant dans un commerce tout à fait traditionnel, cherchant à respecter les codes du Japon classique, elle s’est vite sentie étouffée. Protéger les valeurs, elle n’avait rien contre, mais être empêchée de s’ouvrir à d’autres horizons, c’est un autre souci. C’est pour cela que dès qu’elle en a eu l’opportunité, elle est partie en voyage. Echange scolaire, road-trip, expatriation, tout était bon prétexte pour partir explorer la planète. Jusqu’à rentrer au bercail.
Sociable. Juria s’entend avec absolument tout le monde, sauf les crevards qui font du mal gratuitement. Ceux-là, elle n’hésite pas à les remettre à leur place avec des phrases bien cinglantes. Elle n’a pas de mal à se fondre dans la masse, naturellement douée pour ça. Souriante, chaleureuse, polie, curieuse, elle n’a pas peur de faire le premier pas dans n’importe quelle situation et apprécie aller vers les gens, afin de découvrir de nouvelles cultures, pensées, façons de vivre ou même opinions. Il peut cependant lui arriver d’avoir du mal à adhérer à certains concepts, et à se trouver mal à l’aise lorsqu’elle se trouve face à un fervent défenseur d’une cause qu’elle ne cautionne pas. Dans ce cas-là, joue-t-elle la carte de l’hypocrisie ou de la vérité blessante ? Cela dépend de qui elle a en face d’elle. Elle sait faire attention à ce genre de détails.
Impulsive. La jeune femme a le sang chaud et qui bouillonne assez vite dans le corps. Ajoutez à cela une pincée de susceptibilité et de sensibilité et vous avez notre Juria. Elle peut partir au quart de tour à une vitesse fulgurante, et il lui faut un peu de temps pour redescendre sur Terre et se calmer. C’est une personne au fort tempérament, et son entourage proche est habitué à ses sautes d’humeurs imprévisibles.
Généreuse. Juria aidera son prochain dans la mesure de ses capacités. C’est typiquement le genre de personne à faire un détour pour orienter un inconnu perdu, aider une dame à traverser la route, donner une pièce à une personne dans le besoin -sauf si elle sent l’entourloupe ou que les personnes utilisent des animaux ou des enfants pour mendier, ça la répugne au plus haut point. Elle donne aussi beaucoup de son temps libre à ses proches, quitte à s’oublier elle-même parfois. Elle peut passer des heures à écouter les histoires de quelqu’un et à tout faire pour lui venir en aide.
Pas spécialement raffinée. Juria n’est pas le stéréotype de la mignonne petite japonaise bien rangée dans la société. Non, elle a tendance à jurer assez facilement, dans toutes les langues qu’elle pratique. Si vestimentairement, elle peut être aussi féminine que garçon manqué, lorsqu’elle s’exprime et dans certaines de ses attitudes, on peut se demander ce qu’il y a de féminin chez elle. Elle sait se tenir en public mais il lui arrive de clairement se lâcher en présence de proches.
Connectée. Juria est une fille de son temps, très présente sur les médias sociaux. Elle adore poster des anecdotes sur Twitter et surtout, elle alimente énormément son compte Instagram de voyages, un minimum suivi. Elle adore partager ses expériences avec humour et elle commence à se faire une petite place dans l’univers de ce réseau. Cependant, elle ne montre jamais son visage dessus, c’est sa règle d’or. Cela pour qu’on lui fiche la paix pendant ses voyages, car elle est du type baroudeuse solo.
+ Elle déteste l’injustice ; elle défend tous ceux qui ont besoin d’aide ; elle raffole de la mangue ; malgré la guerre qu’elle mène à ses parents, elle est une grande consommatrice de thé et en connaît très bien les propriétés et particularités grâce à eux ; elle n’aime pas les concombres ; il ne faut pas lui parler le matin tant qu’elle n’a pas mangé quelque chose ; elle n’est pas matinale ; elle adore marcher et se balader ; elle est nulle en cuisine et préfère acheter des plats tous prêts ; elle attache une certaine importance à son image ; elle a toujours de la musique dans les oreilles lorsqu’elle est seule ; elle passe le plus clair de ses soirées sur Netflix ; elle parle couramment anglais grâce à ses voyages ; elle adore les animaux. ma petite histoireJuria naquit dans l’une des familles les plus influentes dans le domaine de la production et du commerce du thé. Sa ville de naissance ? Je vous la donne en mille : Kyôto, ville traditionnelle du Japon et réputée pour ses bons thés. Cadette de la famille, elle était précédée par un grand frère de 4 ans son aîné. Son père était le chef de leur entreprise, s’occupant de tout ce qui touchait à l’import-export, la vente, les récoltes etc., et sa mère offrait des cours de cérémonie du thé, et tenait essentiellement la boutique située au rez-de-chaussée de la maison familiale. Quant à son frère, il aidait parfois à la boutique contre argent de poche après l’école si ses devoirs étaient faits. Juria ? Elle fuyait tant bien que mal cette atmosphère trop lisse, tournant comme du papier à musique. Pile électrique dès son plus jeune âge, elle avait ce besoin constant de bouger, de se dépenser, et rester cloîtrée dans une boutique à sourire aux clients ne lui convenait absolument. Ses parents ne lui en tinrent pas rigueur tant qu’elle était enfant.
Vint l’adolescence où les actes de rébellion de la jeune fille face à l’entreprise familiale commencèrent à agacer monsieur et madame Ito, qui incitèrent leur fille à s’intéresser aussi à leur commerce. Juria ne cessait de répliquer qu’ils avaient son frère pour ça, qu’il aimait ça et qu’il n’avait pas besoin de se forcer. Elle préférait sortir avec ses amies, regarder des films, partir explorer les recoins cachés de sa ville natale et fuir les touristes trop nombreux. Mais en revanche, bien qu’elle se fiche éperdument de la boutique, elle ne pouvait pas nier que les Ito produisaient et vendaient du bon thé, qu’elle consommait quotidiennement.
Un nom de famille banal (le 6ème le plus porté au Japon), un environnement banal (commerçants de thé à Kyôto), une enfance banale, tout ce qui agaçait la jeune Juria qui ne se sentait pas à sa place dans cet univers tout prêt. N’ayant connu que Kyôto, elle rêvait d’ailleurs. Un soir, sur un coup de tête, elle fugua et monta dans un bus de nuit qu’elle paya avec son argent de poche. Elle atterrit le lendemain matin à Tôkyô et passa une journée incroyable à voir autre chose que son quartier. Lorsqu’elle revint à Kyôto, elle se fit sévèrement réprimander par ses parents qui avaient été morts d’inquiétude à l’idée qu’elle ait disparu sans donner de nouvelles. Et leur rétorqua du haut de ses quinze ans : « si vous continuez de m’étouffer et de me forcer à faire ce que je déteste, je continuerai. J’ai besoin de ma liberté ! ». Et s’ensuivit une énorme dispute concernant l’autorité, la majorité, le travail, le respect de ses aînés.
Un accord fut passé : Juria faisait sa scolarité au lycée sans embûches, et elle pourrait choisir le cursus de son choix à l’université, et dès sa majorité, elle serait libre de ses mouvements. En revanche, pendant ses trois années de lycées et l’université, elle devrait aider à la boutique le plus souvent possible. Juria était un peu frustrée mais si c’était le prix à payer pour une vie de liberté, elle accepterait.
A l’université, elle s’orienta vers les langues étrangères et le tourisme, finalement un peu influencée par l’entreprise familiale. Lors de sa 3ème année d’études, elle eut l’opportunité de partir étudier un an en Angleterre pour parfaire son anglais, l’année de sa majorité. Ses parents acceptèrent son départ et son père lui donna comme mission de se renseigner sur la culture du thé en Angleterre, très intéressé par le sujet. Elle revint de son année les étoiles dans les yeux : elle avait adoré la culture londonienne et avait passé une année merveilleuse, n’attendant qu’une chose : repartir. Le Japon lui avait manqué sous certains aspects mais elle sentait qu’actuellement, elle ne voulait pas y vivre.
Alors que la relation avec ses parents s’était améliorée, elle se dégrada quand elle annonça qu’elle allait interrompre ses études pour partir voyager, et qu’en plus elle avait décidé que si elle se mariait un jour, ce serait probablement avec un étranger ou un métis, car plus ouverts que les Japonais enfermés dans leur monde. Cela fut comme une insulte à l’aspect traditionnel de la famille Ito et son père lui annonça qu’il ne voulait plus lui parler, qu’elle pouvait bien faire ce qu’elle voulait, il s’en fichait.
C’est ainsi que Juria réussit à obtenir un visa vacances-travail pour la Nouvelle-Zélande, où elle passa un an (de 21 à 22 ans). Puis, avec l’argent économisé sur place car elle avait beaucoup travaillé, elle organisa un tour d’Europe qui lui prit une nouvelle année, car elle restait assez longtemps dans chaque pays, afin de travailler un peu et de renflouer ses économies. Elle commença par Londres car elle voulait revoir un ami qu’elle avait rencontré lors de son échange, Joey, de 3 ans son aîné. Il vivait là-bas pour l’entreprise de divertissement de son père, elle lui avait promis de repasser le voir, ils s’entendaient vraiment bien. Il était Japonais et Américain, et avait une ouverture d’esprit et un caractère que Juria appréciait. Elle aurait pu rester l’année entière à Londres tant elle aimait cette ville, mais elle s’obligea à découvrir un peu les alentours : elle visita la France, l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, la Suisse et les Pays-Bas. Elle voyageait essentiellement en train et adorait ces moments. (de 22 à 23 ans).
A un moment, l’argent vint à manquer alors elle rentra temporairement au Japon et s’inscrivit à plusieurs visas vacances-travail : en Australie, en France et au Canada. Contre toute attente, elle fut sélectionnée pour le Canada et s’envola là-bas pour deux ans (de ses 24 à 26 ans). Là-bas, elle séjourna côté anglophone, à Vancouver. Elle trouva un job de professeur de japonais dans une école et elle travaillait également à mi-temps dans un restaurant japonais. Il fallait bien que ses origines lui soient utiles ! Le Japon ne lui manquait pas spécialement, elle était toujours dans sa vague de voyages. Elle travaillait pour économiser de l’argent et repartir, inlassablement. Elle s’était considérablement enrichie culturellement, et elle vivait sa vie à fond. Toujours fâchée avec son père, l’idée de rentrer l’effrayait un peu. Ainsi, avec l’argent économisé au Canada, elle décida de voyager cette fois en Asie, avant de finalement rentrer au Japon. Elle passa l’année de ses 26 ans à vadrouiller au Vietnam, Cambodge, Laos, Thaïlande, Singapour, Indonésie, Philippines et elle termina par la Corée du Sud.
Son retour au Japon était dû à plusieurs choses : elle avait quasiment épuisé toutes ses économies, alors qu’elle n’avait toujours pas remboursé son prêt d’études universitaires, ce qui avait commencé à inquiéter ses parents (même s’ils n’étaient pas financièrement en danger). Elle commençait à être fatiguée à force de vadrouiller autant et à l’aube de ses 27 ans, elle commençait à avoir envie de se poser, retrouver un cercle d’amis, et ne pas passer son temps à les rencontrer pour les quitter ensuite. Elle se sentait enrichie mais aussi heureuse de rentrer, finalement. Cependant, bien qu’elle passa leur rendre visite, elle se ne réinstalla pas à Kyôto avec ses parents. Elle souhaitait découvrir un peu la capitale qui lui était méconnue, et avait pour projet de créer sa ligne de vêtements et accessoires de voyage pour des filles en solo. Pour cela, elle avait besoin d’être remarquée, et elle avait entendu parler de cette série, Terrace House, diffusée sur Netflix. Si elle était prise, ce serait l’idéal pour parler de son projet et se faire connaître. Mais la nouvelle saison était tournée à Tôkyô donc il serait plus simple pour elle d’habiter là-bas.
En attendant les sélections, la jeune femme travaille dans une agence de voyages, son diplôme en tourisme, son bilinguisme et ses expériences de voyage aidant beaucoup.
derrière l'écran dis nous tout pseudo erin - mina âge 26 et bientôt 27 présence tous les jours avatar nishiuchi mariya un petit commentaire Faisons encore plein de folies !! | |
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