Odisien(ne) certifié(e)花が咲いたよ Date d'inscription : 15/01/2021 Autres comptes : Yûji, Ken et Hideki Célébrité ; Crédits : Emy LTR Date de naissance : 01/04/1999 Nationalité : Française (origines anglaises) | ( #) Taylor Remy ϟ Ven 15 Jan - 11:26 | âge21 ans, 22 le 1er avril date & lieu de naissance le 1er avril 1999 (ouais encore dans la team 90s wesh!) à Toulouse, même ma naissance est une vaste blague nationalité & origines française & origines anglaises études/métier études de japonais à chûô avec quelques options en droit, éco et gestion par ci par là & donne des cours part' d'anglais et français (les voyages ça coûte cher, les trains aussi !) logement résidence Tamadaira sexualité & statut hétérosexuelle mais curieuse de tout & célibataire mais traquée par son ex situation financière je gère t'inquiète frère ! projet & situation J'ai eu l'opportunité grâce à mes études de langues de venir faire une année d'échange au Japon et j'ai été sélectionnée pour venir à l'université de Chûô. Autant te dire que j'ai sauté sur l'occase quoi. Je connais du pays ce que mes profs et mes proches ont bien voulu me dire, et ce que j'ai vu dans les manga, mais je m'y plais déjà ! Je suis là pour un an minimum mais si je me sens bien je serais capable de rester. caractère Moi ? Oh bah c’est simple, je suis une pile électrique. J’ai tellement d’énergie qu’il faut parfois me canaliser ou me dire de me calmer ! Créative, j’ai toujours un milliard d’idées parfois géniales, parfois complètement allumées, qui me passent par l’esprit, et je suis obligée de sélectionner car je n’aurais pas assez d’une vie pour accomplir tous mes projets les plus fous. Parfois c’est fatiguant d’être dans ma tête car ça fourmille à mille à l’heure, et il arrive que mes proches n’arrivent pas à suivre la cadence. Je ne tiens pas en place, je dois toujours être active. Même quand je regarde un film il faut que je pianote sur mon téléphone en scrollant Insta’ ou Facebook pour m’occuper. Je bosse en écoutant de la musique, je vis au rythme de ma musique. Enlevez-moi mon casque ou mon enceinte portable et vous m’enlevez une partie de mon âme. J’ai un tempérament assez changeant. Je suis à 90% toujours de bonne humeur, souriante, la première à être partante pour une sortie et encourager les autres à se joindre à moi. J’aime autant les sorties posées au musée à gribouiller sur un calepin comme aller dans un bar et enchaîner les pintes en jouant aux fléchettes. Mon humeur fluctue souvent et je suis aussi douée d’une grande capacité d’adaptation. Si l’ambiance est festive, je vais être joueuse, tactile, bruyante, rieuse et faire la folle. Si c’est plus ambiance feutrée, posée, entre collègues en mode soirée jeux, je vais être plus réservée, calme et tranquille, mais toujours en gardant ma dose d’humour car une vie sans rire est une vie gâchée. J’aime rire et faire rire, je suis une adepte de l’humour noir et j’ai du mal avec les gens avec trop de principes. Il faut rire de tout, non ? (ouais donc au Japon c’est un peu compliqué pour moi haha.) En revanche ce n’est pas parce que j’ai beaucoup d’énergie à revendre que je suis toujours dans une positive vibe. Comme tout le monde, j’ai mes hauts et mes bas, j’ai des moments de bad dans mon quotidien, des jours où j’ai pas envie de sortir de mon lit car les emmerdes s’enchaînent. Ou alors j’ai le moral au fond de mes Vans et je rumine du noir, en écoutant des playlists hyper tristes et en me roulant en boule dans mon plaid préféré. Je suis humaine quoi. Puis je suis une éternelle gourmande. Je saoûle mes proches car je grossis pas plus que ça en mangeant plein de pâtisseries, mais il faut avouer que je suis quand même assez sportive. Je cours, je fais du pilate chez moi quand je n’ai pas la flemme, et j’aime surtout nager, la natation c’est vraiment mon truc. J’adore ça. Après je suis ouverte à tout type de sport et je profite de mon année d’échange pour explorer de nouvelles pistes, notamment des sports typiquement japonais. La curiosité fait partie de mes traits de caractère, je suis une touche-à-tout. Je me lasse aussi très vite, j’entreprends plein de trucs en même temps et je ne vais pas toujours au bout des choses par pur ennui. La seule chose qui me botte vraiment c’est le voyage et les langues étrangères. Ca je kiffe, et le fait d’avoir une double nationalité et bilingue depuis l’enfance a dû m’orienter vers ce goût de l’aventure. Aussi, je dois t’avouer que je déteste l’injustice et la méchanceté gratuite. J’ai un petit côté impulsif et si tu me prends de haut ou que tu me poignardes dans le dos, je vais pas te louper. Je ne suis pas spécialement rancunière mais je n’oublie rien. Et t’inquiète que si tu m’as bien pourri l’existence, ancien ami(e) ou non tu crèveras au fond d’un caniveau sous mes yeux que je ne cillerai pas. Il ne faut surtout pas abuser de ma confiance : je la donne assez vite car j’estime que tout le monde a du bon en soi, mais je reste méfiante et une fois ma confiance perdue il sera difficile de la retrouver. Mais bon, je vais pas tout te dire non plus ? Je suis ouverte et sociable, viens donc me taper la discute autour d’un bon thé ou d’un café, et tu en apprendras plus vite sur moi que ce que tu aurais imaginé, parce que j’ai la tchatche et je n’ai rien à cacher ! Des bisous ! Ma mère adore me raconter ses histoires de voyage, et elle ne s’est pas gênée pour m’expliquer son parcours quand j’ai commencé à développer ma fibre du voyage. Née en Angleterre à Bristol, 2ème et dernière enfant de la famille. Elle a grandi dans cette ville, et a fait une partie de ses études à Londres où elle rencontré mon père. Pendant ses études, ma mère est partie étudier un an en France, dans le sud. Le pays lui a beaucoup plu, et en revenant en Angleterre, alors qu’elle faisait des études de lettres modernes dans l’idée de devenir professeur, elle s’est totalement réorientée et a décidé d’étudier dans le domaine du voyage. Son rêve était tracé, elle voulait devenir guide anglophone en France. Heureusement pour elle, le soutien de mon père a été vraiment précieux : leur couple avait tenu la distance, et à force de venir la voir, il avait fini par tomber amoureux du pays aussi. Une fois leurs études terminées, ils ont décidé de partir s’installer dans le Sud de la France. Et ils y sont restés. Ma mère a décroché un job de guide touristique auprès de l’office de tourisme, et mon père, lui, étant informaticien, cela n’a pas été dur de trouver du travail dans une entreprise locale.
Je suis donc née en France, de parents anglais amoureux de leur terre d’adoption. Depuis petite, je parle donc français et anglais à la maison. Si je n’ai pas d’accent particulier, dans aucune des langues, ma mère a un fort accent British so lovely, et mon père aussi. En revanche, ils n’ont jamais souhaité agrandir la famille et je suis restée fille unique à mon grand désarroi. J’aurais bien aimé avoir un frère ou une sœur tiens ! Mais du coup j’ai appris tôt à être autonome, et ma créativité vient sûrement de là : il fallait bien occuper la pile électrique que j’étais déjà !
J’ai grandi sans manquer de rien mais sans être pourrie gâtée non plus. Quand je n’avais pas cours, il m’arrivait de me faufiler dans les groupes de touristes de ma mère pour écouter ses histoires. Elle avait toujours su maîtriser le story-telling ! Quant à mon père, je faisais souvent du sport avec lui, m’essayant à plusieurs disciplines sans savoir me décider. C’est au collège que je suis tombée amoureuse de la natation : quand toutes les nanas prudes niaisaient pour sécher les cours en prétextant qu’elles avaient leurs règles, moi je me jetais dans l’eau comme un poisson et pouvait y rester des heures. Bon par contre quand je les avais vraiment, je n’approchais pas l’eau d’un centimètre à l’époque, caprice d’ado oblige ! Alors que maintenant je m’en fous et ça me détend.
Mes années d’étudiante se sont déroulées sans encombre. Rien d’extraordinaire : j’ai eu des amies avec qui c’était comme chien et chat, merci mon fort caractère. J’ai vécu mes meilleurs moments de gloire comme mes pires défaites, comme tout enfant qui grandit. La première chose qui a vraiment marqué un tournant dans ma vie fut l’arrivée au lycée : moi qui avais toujours eu un attrait pour les langues mais détestais l’espagnol car il n’y avait aucun challenge à l’apprendre, j’ai décidé d’apprendre une langue bien éloignée de la nôtre. A l’heure où tout le monde commençait à s’intéresser au Chinois car « après tout c’est une langue devenue importante en commerce et ça te servira blablabla », j’ai décidé de ne pas faire comme les autres et de tenter le Japonais. J’avais été pas mal bercée par la culture nippone pendant mon enfance de loin, entre les jeux vidéo et les manga à la télé, mais le pays ne m’avait jamais attiré plus que cela. Genre zéro curiosité, moi j’étais à fond sur le Canada et les pays Nordiques, donc rien à voir. Bref, deux lycées enseignaient le Japonais dans ma ville, et j’ai travaillé dur pour réussir les tests d’entrée, car les places étaient limitées et il fallait avoir un bon dossier. Heureusement pour moi, je m’en sortais bien et mes notes en langues ont joué en ma faveur.
J’ai donc passé mon bac de Japonais et mes études ont fait que je me suis totalement plongée dans cette culture. Mais je n’en connaissais que les clichés que la France pouvait véhiculer, même si mes professeurs japonais aidaient beaucoup à en démystifier certains. Tout naturellement, j’ai poursuivi mes études en langues à la fac afin d’avoir l’occasion de partir étudier sur place. J’aurais pu tenter le lycée mais j’avais un peu la flemme de lâcher mes potes et ma petite vie. Alors qu’à la fac je savais que j’allais être séparée de pas mal de monde et que ce serait un nouveau départ. C’est là que tu vois qui tient à toi ou non hein. J’ai étudié trois ans en licence de langues étrangères appliquées, pour avoir des notions de business et peut-être un jour suivre les traces de ma mère dans le domaine du voyage. Grâce à elle, j’avais déjà pu cocher quelques pays dans ma liste, mais essentiellement en Europe. Le Japon était l’endroit le plus éloigné où je comptais me rendre. Ma mère et mon père ont été très fiers de moi quand j’ai été sélectionnée pour participer aux échanges universitaires organisés par mon établissement. J’avais bossé dur et fait des petits boulots pour préparer un budget, refusant de dépendre de mes parents qui m’avaient quand même un peu aidée. Ma mère était assez inquiète de me voir m’envoler si loin d’elle, mais elle était consciente que j’avais besoin de mon indépendance et elle était heureuse de voir que comme elle, je rêvais d’ailleurs. Et elle promit que si son emploi du temps le lui permettait, elle viendrait me voir sur place.
Du haut de mes 21 ans presque 22, je me suis envolée pour le Pays du Soleil Levant, seule, avec un niveau de Japonais assez solide puisque je l’avais étudié 6 ans, mais encore un peu bancal car c’est connu, le japonais scolaire ne vaudra jamais l’immersion totale, et je fais plein de fautes bêtes. En revanche je ne connais pas grand-chose de la culture, et me connaissant je vais m’émerveiller de tout et n’importe quoi toutes les dix secondes, je sens que je vais épuiser mon entourage. En parlant de partir seule, j'étais en couple au moment de partir et j'ai décidé de rompre sur un énorme coup de tête car la relation à distance c'est hors de question pour moi. Ma mère a géré un Toulouse-Londres mais un Toulouse-Tokyo je le sens pas perso. Mais bon, je crois que monsieur a pas vraiment kiffé mon choix, il m'en veut à mort et ne semble pas prêt à tourner la page ...
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Ca fait maintenant quatre mois et demi que je suis à Tokyo, à l’université Chûô. Comme je suis quelqu’un qui aime l’aventure et qui attire la poisse, je suis arrivée au moment d’un gros typhon qui a foutu le bordel dans la résidence où j’avais posé mes valises : Seiseki. J’ai été relogée en urgence à la résidence Tamadaira en plein sur le campus le temps des travaux. Le point noir : j’étais bien dans ma petite ville à l’ambiance d’un Ghibli ! Le point fort : je n’ai plus à prendre le train le matin, et j’ai 0 excuse pour être en retard sur le campus ! La feignante en moi me remercie, et mon portefeuilles aussi. Mais je ne sais pas quand je vais pouvoir retourner dans mon petit studio cosy, je l’aimais bien moi ! La résidence est bien pratique mais la coloc’ et moi on est pas trop copains, j’aime bien ma solitude et mon indépendance, et en plus j’ai du mal avec les filles japonaises, alors en coloc avec cinq miss, la vie me donne une belle épreuve sur un plateau ! Voyons comment je m’en sors. Et bien sûr je squatte la piscine de Chûô très souvent, et je me suis essayée à plusieurs sports. Je n’arrive pas à me décider ! Ah, et je donne des cours d’anglais et de français pour économiser et me payer mes prochains voyages dans le Japon. Ca tombe bien, c’est bientôt les grandes vacances …. Et dernière chose : je viens d’apprendre que mon cousin Soren était aussi au Japon, je viens d’avoir ses coordonnées par ma mère, je n’ai plus qu’à tenter de le revoir ! un petit commentaire craquage + envie de jouer un perso qui change des autres !
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Odisien(ne) certifié(e)花が咲いたよ Date d'inscription : 15/01/2021 Autres comptes : Yûji, Ken et Hideki Célébrité ; Crédits : Emy LTR Date de naissance : 01/04/1999 Nationalité : Française (origines anglaises) | ( #) Re: Taylor Remy ϟ Ven 15 Jan - 11:34 | Merchiii ! Hâte de vous en dévoiler plus j'ai trop trop hâte de la jouer
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