Odisien(ne) certifié(e)花が咲いたよ Date d'inscription : 21/10/2019 Autres comptes : Remy, Shôji, Hideki Célébrité ; Crédits : Mukai Osamu Date de naissance : 02/03/1989 | ( #) Mizushiro Kazuki - Le grand frère qui a mal protégé sa soeur ϟ Lun 21 Oct - 0:45 | Mizushiro Kazuki when the world'll end, will you be there ? CREDITS TO ERIN | nom Mizushiro prénom(s) Kazuki âge 26 ans date de naissance 1er Janvier 1993 (va sur ses 27 ans) lieu de naissance Tokyo nationalité Japonais origines Japonaises études/métier Marketing / Economie - Cours de théâtre logement autre sexualité hétérosexuel situation plus qu'aisé |
caractèreKazuki. Un doux prénom, signifiant l’harmonie. Le contraire absolu de notre aîné de la famille Mizushiro. Mizushiro Kazuki est un être complexe aux multiples facettes ; il peut être tantôt jovial et souriant, tantôt taciturne et complètement renfermé sur lui-même. Il a ses périodes. Ce que personne ne sait, pas même les membres de sa famille, et encore moins sa sœur, c’est qu’il est dépressif. Et ce depuis l’enfance, car il se faisait battre par son précepteur. Et qu’il a cruellement manqué d’amour parental. Et tous ces manques et traumatismes l’ont empêché de se construire dans les meilleures conditions. Ce qui fait aujourd’hui de lui un être brisé, en quête d’identité, et complètement livré à lui-même.
Kazuki est instable ; il peut être d’une extrême bonne humeur et la minute d’après, voir son visage s’assombrir et les idées noires planer au-dessus de sa tête. Mais il est aussi bon comédien et a appris à cacher son jeu, à porter des masques, et à ne rien montrer à personne. Après tout, peu de monde comprend la dépression comme une véritable maladie : les gens utilisent trop facilement ce terme dès qu’ils ont un coup de mou, ou alors montrent du doigt et stigmatisent les gens en souffrant. Mais ils ne savaient pas la douleur que d’ouvrir les yeux, un bon matin, de bonne heure, prêt à faire des tas de choses, et puis être incapable de bouger, de se lever, avant la fin de la journée. C’est un fardeau.
Kazuki a été en partie apaisé à partir du moment où il a commencé à faire du théâtre, pendant ses années en Angleterre. Ca lui a libéré l’esprit à un point où il est devenu dépendant des planches, et pouvant ressentir un manque malsain comme un addict à la drogue durant les périodes où il ne joue pas. Mais être apaisé ne veut pas dire guéri, car il sait qu’il ne guérira jamais vraiment. Malgré tout, Kazuki a la volonté de faire de sa vie quelque chose de bien, à commencer par se réconcilier avec sa cadette, Yûna, qu’il a brisée en voulant la protéger. Peut-être parce qu’il était déjà brisé lui-même ?
Vraiment, Kazuki est un être complexe qu’il faut côtoyer pour apprivoiser, et comprendre. Il écrit énormément sur son temps libre, de tout et n’importe quoi. Des aventures oniriques, des nouvelles, des récits de vie, des textes très sombres. Il écrit. Il griffonne beaucoup. Il couche beaucoup de ses pensées sur le papier. Et il est doué. Kazuki, il a un style bien à lui, que ce soit dans la tête ou physiquement : son style vestimentaire colle avec ses humeurs. Il peut s’habiller de manière sobre et conventionnel comme partir dans un délire profond et se vêtir de manière bien à lui. Pour ça, le théâtre, la liberté d’expression en Angleterre et celle au Japon l’ont beaucoup aidé. Dans d’autres pays, ça n’aurait pas si bien marché.
Au final, Kazuki est un être entier, avec ses réussites et ses échecs, ses qualités et ses défauts, ses bonheurs et ses tristesses. C’est un être humain. C’est une personne qui mérite d’être rencontrée, même si, selon la période dans laquelle il se trouve, il pourra être votre ange gardien ou votre pire cauchemar.
Par points : caractère + taciturne ; lunatique ; dépressif ; passioné ; peu loquace ; discret ; bon orateur ; belle plume ; intelligent ; vif d'esprit ; solitaire ; secret ; complexe et complexé ; maladroit ; sincère ; multifacettes ; autodidacte ; sarcastique ; langue de vipère à ses heures ma petite histoireKazuki est l’aîné de la famille Mizushiro, propriétaire d’un grand complexe hôtelier qui amasse beaucoup, beaucoup d’argent. Son destin est prétracé dès sa naissance : c’est un homme, c’est l’aîné : il héritera de l’entreprise familiale et en reprendra les rênes au moment voulu. Le classique cliché japonais du grand entrepreneur qui veut rester dans le cadre familial. Qu’il en soit ainsi, de toute façon il n’était pas en âge de contredire qui que ce soit.
Kazuki, contrairement à sa cadette, n’est pas allée à l’école classique. Il recevait des cours privés de la part de précepteurs directement au domicile familial. Yûna quant à elle fréquentera des établissements privés de gosses de riches, à la demande de son frère aîné qui refusera qu’elle soit confrontée aux mêmes psychopathes qu’il a connus. Parmi ces précepteurs, il y en avait un en particulier, qui prenait un malin plaisir à le martyriser, à lui mettre des baffes quand il n’y avait pas de témoin pour x ou y raison. Kazuki a dès lors développé une phobie du contact physique, qui s’est atténuée depuis le temps, mais qui a compliqué la majorité de ses relations sociales, qu’elles soient amicales ou amoureuses.
Yûna est née cinq ans après lui, une vraie bouille d’ange que voilà. C’était un véritable rayon de soleil pour le gamin qu’il était et une bouffée d’air frais, non négligeable. Et pourtant, le drame se produisit très tôt : mort de trouille à l’idée que le précepteur passe aussi ses nerfs sur sa cadette, à chaque fois que ce dernier se trouvait dans les parages, il enfermait Yûna dans un placard, pour que ce fou ne tombe pas sur elle. Il faisait tout pour la protéger, alors qu’il était incapable de parler de ses violences à ses parents. Mais sa fierté à lui, c’était d’être le grand frère débrouillard et assez fort pour protéger tout seul sa petite sœur jeune et fragile. S’il avait su que cette décision et cette fierté causerait la claustrophobie de Yûna et creuserait un immense fossé entre eux, il se serait clairement abstenu. Mais le mal était fait, l’enfant se détacha de plus en plus de lui alors qu’il ne rêvait que de passer plus de temps avec elle. Il y avait ces frères jaloux qui fuyaient leur cadet, lui était tout le contraire : en quête de l’amour que ses parents ne lui avaient pas donné.
Lorsqu’elle eut l’âge de commencer à avoir des cours privés, et lui en âge d’ouvrir un peu plus sa bouche, Kazu’ fit des pieds et des mains pour que le précepteur qui l’avait tant traumatisé soit renvoyé. Il n’a jamais au grand jamais parlé des violences faites à son égard à qui que ce soit, et encore moins à sa famille. Il aurait dû, ils auraient agi, mais il avait honte. Honte de ne pas savoir se défendre, honte de n’être que l’ombre de lui-même. Honte de n’être qu’un punching-ball destiné à soulager les pulsions de colère de son précepteur qui avait un sérieux souci de violence. Yûna ne sut jamais tout ce qu’il avait fait pour elle, il n’avait pas trouvé de bonne occasion de lui en parler puisqu’elle le fuyait à chaque fois qu’ils se croisaient. Il préféré donc endosser le rôle du méchant grand frère en silence, mais ce déni, accumulé au reste, ne fut que le début de sa descente dans les enfers de la dépression.
Kazuki a fini par aller à l’école, mais tard. Il était un peu perdu, décalé, marginal. Très intelligent pour son âge, on le mit vite dans une case bien rangée : l’intello de service. Ses lunettes de vue qu’il portait en cas de fatigue extrême n’arrangeaient rien. Il passa aux lentilles pour qu’on lui foute la paix. Dès lors il avait décidé qu’il serait en marge de la société, et ce, pour toujours. Il détestait la mentalité étriquée des Japonais, ce besoin nécessaire que tout le monde se ressemble, à commencer par l’uniforme scolaire : quelle aberration ce truc, comme s’ils n’allaient pas porter des costards toute leur vie de salarymen ou d’hommes d’affaires. Pourquoi ne pas laisser la jeunesse s’exprimer tant qu’il était encore temps ? Il personnalisait parfois son uniforme mais se faisait choper et engueuler à chaque fois, jusqu’à ce que ça remonte aux oreilles de ses parents. Il était temps que le jeune Kazuki se reprenne. Le père donna à son fils des objectifs de réussite au lycée qu’il atteint haut la main et sans même se forcer un peu. Il s’ennuyait au lycée, il s’ennuyait à Tokyo, il s’ennuyait dans sa vie et commençait à péter les plombs. Il devint un peu plus colérique, impulsif, avec des sautes d’humeur qui lui venaient d’un coup sans crier gare et qu’il ne savait expliquer. Une fois son diplôme en poche, il commença à étudier le Commerce à l’université de Chûô. Il réussit ses années brillamment, et son père insista pour qu’il prenne quelques cours de droit en plus. La surcharge de travail était conséquente mais il ne disait rien, tant qu’on fichait la paix à Yûna, il pouvait bien être le bouc émissaire.
Arrivé à l’âge de 22 ans, autrement dit 4 ans après la sortie du lycée, où il aurait pu être diplômé et commencer à entrer dans la vie active, son père émit le souhait que son fils aîné aille suivre une formation spéciale en Economie et Marketing en Angleterre. Il ne pouvait pas être plus heureux, cela sonnait comme un nouveau départ pour lui, lui qui étouffait dans cette société qu’il ne comprenait pas. La matière imposée ne l’intéressait guère mais l’idée de liberté qui s’y associait acheva de le convaincre.
Il atterrit donc à Londres, pour quatre années. Là-bas il découvrit Shakespeare, le théâtre, l’anglais, la littérature, l’ouverture d’esprit des anglais. Il se prit de passion pour le style de vie à la londonienne, mais la Londres un peu plus victorienne. Il était un peu en décalé avec son époque, disons. Il commença à changer son style vestimentaire, s’essayant à un peu toutes les modes. Il prit des cours de théâtre sans demander l’avis de son père, en parallèle des cours requis, et y prit réellement goût. Cela devint une véritable dépendance pour le jeune homme. Il était passionné par les planches, les pièces, l’improvisation, le jeu de ses multiples personnages, et se découvrit un don. Toujours à l’insu de son père, il participa à des petites pièces amateures. Il y prit un réel plaisir. Il se plaisait tellement en Angleterre, que la piqûre de rappel comme quoi il devait rentrer au Japon fit mal. Très mal. La dépression le rattrapa. Lui qui s’était tant stabilisé là-bas devait rentrer au bercail. Quitter ses repères, ses habitudes, ses amis, ses amourettes. Il avait effectivement une petite amie là-bas, qui lui avait permis de savoir ce que c’était d’être aimé pour la première fois. C’était aussi grâce à elle qu’il avait compris qu’il était primordial qu’il ait une véritable discussion avec Yûna à son retour. Elle ne pouvait pas lui en vouloir toute sa vie, lui qui était si dévoué.
Le retour fut donc rude. Sa copine lui avait promis qu’elle trouverait un moyen de venir passer une année au Japon pour le rejoindre. Il avait envie d’y croire, mais son petit côté pessimiste l’empêchait de s’y abandonner totalement. Il ne savait pas s’ils avaient rompu ou non, leur situation était plus qu’ambigue. Mais ce qu’il savait, c’était que parler avec elle quotidiennement lui laissait un point d’attache à Londres, l’ancre dont il avait besoin, pour l’aider à affronter le retour au Japon. Son père. Sa sœur. Tout allait être chaotique, car il allait avouer à son cher paternel qu’il ne souhaitait pas reprendre l’entreprise et voulait devenir comédien. Autant dire que l’orage allait être de longue durée … Mais sa plus grande peur, c’était de se retrouver face au regard inquisiteur et apeuré de Yûna, à l’aéroport.
derrière l'écran dis nous tout pseudo erin again âge 27 ans maintenant ! présence tous les jours ? avatar fukase satoshi (sekai no owari) un petit commentaire depuis le temps que je voulais jouer Fukase omg omg omg je suis faible | |
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Odisien(ne) certifié(e)花が咲いたよ Date d'inscription : 21/10/2019 Autres comptes : Remy, Shôji, Hideki Célébrité ; Crédits : Mukai Osamu Date de naissance : 02/03/1989 | ( #) Re: Mizushiro Kazuki - Le grand frère qui a mal protégé sa soeur ϟ Lun 21 Oct - 10:08 | Merciiii ! Hâte de jouer ce petit bonhomme que j'aime
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Odisien(ne) certifié(e)花が咲いたよ Date d'inscription : 21/10/2019 Autres comptes : Remy, Shôji, Hideki Célébrité ; Crédits : Mukai Osamu Date de naissance : 02/03/1989 | ( #) Re: Mizushiro Kazuki - Le grand frère qui a mal protégé sa soeur ϟ Mer 23 Oct - 0:04 | Merchiiii ! J'ai trop trop hâte de le jouer
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Invité花が咲いたよ | ( #) Re: Mizushiro Kazuki - Le grand frère qui a mal protégé sa soeur ϟ Mer 23 Oct - 19:58 | Bienvenue chez toi ! Tu es validé(e) prêt(e) à jouer !/ct> Voici les portes d'ODIS grandes ouvertes devant toi ! Mais avant ça, il y a encore deux trois petites choses à faire avant d'aller pouvoir t'amuser avec tes copains ;) • Tu peux d'ores et déjà aller remplir ton joli profil histoire qu'on sache à qui on a affaire ! • Ensuite, on te donne rendez-vous dans la partie demandes pour pouvoir recenser ton logement, et tes clubs/cercles ;). • Maintenant direction la partie journal rps pour pouvoir nous montrer ce qu'il se passe dans ta vie. • Et enfin, si t'es à la recherche de quelqu'un en particulier dans ta vie, tu peux aller poster une demande dans la banque des liens, c'est pas beau tout ça ? Et voilà, t'es désormais prêt.e à jouer avec nous ! Enfin, presque ! Si ce n'est pas déjà fait, rejoins-nous sur le Discord !
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