Aujourd'hui il un client l'a contacté, un mec semble lui du chantage, une fois de plus, mon Dieu jouer au héros du net ça paie bien plus que ce qu'il ne le pensait. Il n'a pas perdu de temps et a demandé le nom du type et toutes les infos qu'il a sur lui en lui promettant que l'histoire demain matin au plus tard. Il n'a pas cours aujourd'hui il a donc toute sa journée pour s'occuper, même s'il avait comme plan de geeker toute la journée, mais bon, il fera ça demain hein. Il ne perd pas de temps et prend tout son matos, son câble et son portable avec le logiciel installé dessus et met le tout dans sa sacoche. Il pousse un petit soupir tout en se regardant dans le miroir, oui, il devrait sortir son teint est bien trop pâle, on dirait qu'il est malade et ses yeux ! Mon Dieu ! Ses heures ou plutôt ses nuits à passer sur le net à essayer de pirater des sites de grandes entreprises ne lui a pas laissé un beau cadeau ! Il finit cependant par hausser les épaules et par prendre ses écouteurs et sortir. Il traverse le couloir de la résidence sans prêter attention aux personnes qui l'entoure les yeux balayant rapidement les environs à la recherche de ce prof qu'il a sur son dos depuis qu'il l'a sauvé l'autre jour. Mon Dieu il lui a rien demander et voilà qu'il se retrouve avec un boulet qui se prend pour son sauveur.

C'est en quelques secondes seulement qu'il se trouve dehors, hors de l'université et surtout de l'autorité de ce prof de musique, il soupire soulagé avant de reprendre son chemin. Il fait quelques pas avant de rentrer l'adresse du connard qu'il doit piéger, il arque un sourcil lorsqu'il voit qu'il taff dans une boutique de chocolat. Enfin une mission ou il va pouvoir se faire plaisir, oui il a déjà comme idée d'y aller et de faire le mec hésitant et de gouter quelques chocolats, oui c'est un crevard, mais le chocolat c'est la vie et ça même pour lui. Il lève les yeux au ciel et comprend tout de suite qu'il ne va pas tarder à pleuvoir, qu'il ne doit pas attendre et y aller s'il ne veut pas se prendre l'averse en pleine gueule. Il ne perd donc pas de temps et se laisse guider par son portable qui le conduit dans des rues assez bizarres et sans doute mal fréquentée pour finalement arriver devant la boutique. Il pousse un long soupir soulagement, il n'y croyait pas vraiment mais bon, il y est arrivé. Il ne perd de temps et pousse la porte de la boutique, arquant un sourcil voyant qu'elle est blindée, ils doivent vraiment être bon ces chocolats pour avoir autant de succès. Il repère rapidement sa proie, ce mec là-bas, le brun qui doit au moins avoir deux têtes de plus que lui. Il l'insulte intérieurement avant de se balader un peu dans la boutique cherchant du regard les caméras, heureusement qu'il est parti avec sa casquette.

C'est au bout de quelques secondes à déambuler dans la boutique, à éviter tous ses clients poussent sans prendre les autre en considération qu'il la trouve. Cette porte interdit aux clients, c'est dans un sourire victorieux qu'il la pousse et qu'il s'engouffre dans un couloir mal éclairé. Il tâte le mur quelques secondes avant de trouver l'interrupteur, et traverse le couloir d'un pas tranquille, oui, tout le monde est occupé avec les clients qui ne cessent d'affluer ils vont doute louper leur pause ! Il ouvre plusieurs portes qu'il referme avant de tomber sur les vestiaires des hommes, c'est avec un sourire satisfait qu'il y entre et qu'il cherche le nom de sa victime. Cette fois encore il ne met pas bien longtemps avant de trouver le casier et de crocheter le casier aaaah Ji Yeong si tes parents savaient ce que tu es en train de faire, tu peux être sûr qu'ils te tueraient ! C'est une fois le téléphone de l'employé en main qu'il esquisse un sourire et qu'il le relie au sien à l'aide d'un câble et qu'il lance le logiciel destiné à lui voler toutes ses données. Il se pose contre le casier et attend tranquillement que le transfère se fasse, sauf que voilà, il entend ce qu'il ne devrait pas entendre, la porte des vestiaires s'ouvrir, il déglutit et cache les deux portables dans sa sacoche préparant déjà son rôle du pauvre client qui s'est perdu.

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Il pleut à torrent depuis ce matin et pour toi qui déteste les temps froids autant dire que ça ne t'emballe pas de sortir bosser en ce Samedi dans ta chocolaterie -enfin celle de Papa mais ça tout le monde le sait désormais-. Hier soir tu as fait appel à une fille de joie, tu as pris du bon temps, ça faisait un moment que tu avais envie de découvrir ce plaisir-là avec des femmes que l'on paie pour du plaisir. C'est une expérience que tu renouvèleras sans hésitation même si ce n'est pas forcément bien vu de payer une femme pour ça, mais tu n'en as que faire. Après tout l'argent de Papa doit bien servir à quelque chose, en l'occurrence cette nuit il aura servi à ça. Au matin tu as viré ta nana d'une nuit en lui rappelant ta supériorité par rapport à elle et sans demander son reste elle est partie avec son argent durement gagné. C'est après que tu es parti pour le boulot après avoir pris une bonne douche réparatrice ainsi qu'enfilé des vêtements plutôt classes à savoir un costard, tu es toujours classe quand tu vas au boulot et tant pis si certains te trouvent ridicules à te pavaner en costard dans une chocolaterie. Il y a une différence entre tes employés-enfin ceux de Papa- et toi. Du moins, tu le vois comme ça toi.

Et pour l'heure tu es posé à la chocolaterie quand soudain tu entends du mouvement dans les couloirs, ta secrétaire t'annonce alors qu'il y a une inondation et tu soupires bruyamment « Fais passer le message que tout le monde doit rester calme et qu'ils peuvent rentrer chez eux s'ils le peuvent. » Tu dis à la jeune femme qui acquiesce tout en prenant tes directives, tu quittes alors ton bureau, croisant des employés affolés, puis tu vas jusqu'à la boutique où tu croises tout un tas de clients en panique face à la situation, tu soupires dépité tout en te rendant jusqu'aux vestiaires où tu supposes trouver certains de tes employés. Tu passes par la porte réservée au personnel puis tu files jusqu'aux vestiaires et aux douches. L'inondation ne semble pas être encore descendue jusqu'ici et il n'est pas question qu'il y ai des blessés inutiles ici. Du coup tu y vas dans le but de les renvoyer aux étages supérieurs où ils pourront être en sécurité ou éventuellement qu'ils rentrent chez eux s'ils en ont la possibilité. Mais vu combien ça tombe des cordes dehors ça te semble délicat. Tu soupires un grand coup tout en arrivant dans les vestiaires où tu trouves un type que tu ne connais pas qui semble vraiment gêné d'être découvert ici. « Bonjour. C'est dangereux de rester ici il faut aller aux étages supérieurs. » Tu fais remarquer au jeune homme que tu dévisages un moment. « Vous avez croisé d'autres personnes dans ce coin ? » Tu demandes plutôt anxieux pour le coup. Tu supposes qu'il s'agit d'un client qui a paniqué et qui se retrouve bloqué ici en pensant être en sécurité alors que pas du tout, pas dans le sous sol alors que l'eau peut entrer à tout instant. « Suivez-moi. Je suis le grand chef ici, je connais toutes les sorties de ma boîte. » Tu dis après avoir constaté qu'il n'y avait que ce type et toi dans le sous sol des vestiaires où vous vous trouvez...

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Il est étonné de la réaction de ce type qui ne lui demande pas ce qu'il fout ici, il pousse un soupir de soulagement, enfin il est à moitié sauver car il doit remettre le téléphone dans le casier sans que ce dernier ne s'en rende compte. Il secoue la tête négativement lorsqu'il lui demande s'il aurait vu une autre personne. Attend, il a bien comprit ? Il y a une inondation et ils sont au sous sol ? Il pousse un petit soupir, putain, pourquoi le monde semble être contre lui en ce moment ? Il lève les yeux au ciel avant d'hocher la tête lorsqu'il lui dit de le suivre et c'est lorsqu'il lui tourne le dos qu'il en profite pour remettre le portable à sa place. Il le suit et remarque très vite qu'ils sont seuls, tout le monde auraient fuit en si peu de temps ? Mon Dieu heureusement que le patron est descendu sinon il sera resté là en plein milieu de cette inondation ! Et tien en parlant d'inondation il sent un truc bizarre, ses pieds sont froids, non, ne me dites pas que.... Il baisse les yeux vers le sol et ses soupçons sont confirmés. L'eau à sans doute montée et les voilà les pieds dans l'eau, heureusement pour lui il sait comment retourner par là où il est entré. Il ne dit rien et retient son mécontentement car il se doute que le plus vieux doit être dans le même état que lui. C'est lorsqu'ils arrivent devant cette porte qui ne s'ouvre pas.... Quoi ? Elle ne s'ouvre pas ?! Il plisse les yeux et c'est sans perdre son calme qu'il reprend la parole.

"Il doit surement y avoir une autre sortie non ?"

Oui la sortie de secours par exemple ? Enfin il espère, quelle entreprise n'aurait pas de sortie de secours ? Mon Dieu, il doit quand se l'avouer il se fait violence pour ne pas balancer des insultes, pour contenir son mécontentement, parce que, bordel ils les enchainent en ce moment ! Il va finir par penser qu'il est maudit et qu'il doit aller voir un shaman pour que tout ça s'arrête ! Il fait rapidement demi-tour et reprend le couloir qu'il a emprunté quelques secondes auparavant. Il évite d'allumer les lumières cette fois-ci par peur de se prendre un coup de jus et se contente de marcher. Oui, il ne sait pas où il va, mais rester là à rien faire ce n'est pas du tout truc, oui il devrait sans doute écouter le patron ou plutôt attendre que ce dernier lui indique où il devrait aller, mais cette encore il suit son instinct. C'est con mais il s'est toujours débrouillé comme ça il n'a jamais attendu de l'aide il s'est toujours débrouiller et ça a toujours plutôt bien marché. Il finit cependant par se retourner et par reprendre la parole.

"Vous connaissez quelqu'un qui pourrait nous aider? Enfin, vous avez son numéro ?"

Oui au cas ou la porte de secours se retrouve fermé, histoire qu'il ai un plan b..

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Bien entendu que tu t'es demandé l'espace d'un instant ce que ce jeune homme pouvait bien faire ici. Seulement en vue de la situation de panique tu as supposé que ce type a tout simplement flippé et a couru vers la première porte qu'il a trouvé en pensant se mettre en lieu sûr alors qu'en fait il est encore plus en danger ici qu'il pouvait l'être dans la boutique. L'avantage c'est qu'au moins tu n'es pas tout seul dans cette galère, mais bon, ça reste tout de même particulier. Tu te présentes donc à lui comme étant le chef de cet établissement et tu lui demandes de te suivre, vous allez donc jusqu'à la porte principale mais c'est fermé. Tu supposes que c'est inondé de l'autre côté et le type à tes côtés te demande aussitôt s'il y a une autre sortie et tu hoches de la tête. « Il y a plusieurs sorties de secours ici juste au cas où. Papa a tout prévu en construisant cette usine. C'est l'usine de mon père à la base, mais il me l'a léguée. » Tu réponds au jeune homme pour qu'il ne s'étonne pas que tu parles de ton père aussi soudainement avec lui. Tu constates bien rapidement que l'eau descend jusqu'à vous, preuve en est tu as les pieds trempés à travers tes pompes de luxe et nul doute que le mec à côté de toi a le même problème.

Vous redescendez donc dans les vestiaires et le petit gars te demande si tu connais quelqu'un qui pourrait vous aider, si tu en as son numéro et tu penches la tête sur le côté, l'air pensif. Te vient alors une illumination celle de te servir du talkie-walkie d'urgence qui se trouve justement dans les vestiaires. Tu le trouves à son emplacement prévu et tu le sors de sa mallette tout en commençant à réfléchir sur la situation alors que tu fais marcher l'appareil. « Mayday, Mayday ici Park Min-Ho le chef de Choco'Park je suis bloqué dans les vestiaires avec un homme. L'eau s'engouffre peu à peu dans les vestiaires, on aurait réellement besoin d'aide. » Tu dis calmement tandis qu'on te répond, tu ne sais pas qui, qu'on va venir vous aider, tu soupires alors tout en te tournant vers le jeune homme. « Toujours avoir une mallette d'urgence, ça peut être utile, surtout dans une situation pareille. » Tu dis au mec à côté de toi. « Vous comptez me dire un jour qui vous êtes et ce que vous faisiez ici ? » Tu demandes dépité à la fois par la situation mais aussi par la présence de ce type ici... Quelle drôle d'idée d'avoir emprunté une porte réservée au personnel, tu peux bien imaginer l'état de panique dans lequel il était mais quand même.... En descendant les escaliers il a bien dû se douter que ça allait le faire aller plus bas et donc qu'il serait potentiellement en danger, non ? Ou alors il est juste bête et pour le coup tu n'es pas mieux que lui vu que tu t'es aventuré toi aussi jusqu'ici donc au final qui est le plus gros con dans l'histoire ? Le client soit disant apeuré ou le chef d'entreprise qui a décidé de faire un détour ici ? Oui Min-Ho sur ce coup ci tu n'as pas brillé par ton intelligence....

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Papa ? Il comprend tout de suite qu'il doit surement ce poste à son père, il se retient de pousser un soupir, non pas qu'il soit jaloux mais on va dire que les personnes qu'il doit hacker sont souvent des fils de bourges. Le genre de personne qui n'ont pas à soucier de la conséquence de leurs actes parce que papa passera derrière eux pour tout arranger. Alors on va dire qu'il a un léger préjuger envers la personne qui se trouvent à ses côtés, mais on va dire qu'il la politesse et surtout l'intelligence de fermer sa bouche. C'est lorsqu'ils redescendent que Ji Yeong à une idée, un truc banal en fait, appeler de l'aide. Heureusement que le mec avec lui pense tout de suite à ce qui semblerait être une mallette de secours. Il arque d'abord un sourcil, ce genre de truc fonctionnent vraiment ? Ha, ben, oui ! Il le regarde et pousse pour la première fois depuis le début de cette galère un soupir de soulagement. Oui, on va sans doute pas tarder à venir les chercher. Il va enfin pouvoir rentrer chez lui et continuer sa petite vengeance, il hoche la tête lorsque le plus vieux parle de la mallette. Oui, il n'a pas tort et heureusement pour eux qu'il a pensé à l'utiliser. Cependant voilà, il lui pose cette question, cette question qu'il semblait avoir évité et là, tout de suite il revêtit son costume de pauvre mec un peu débile. Il esquisse tout d'abord un sourire gêné et se gratte la nuque tout en baissant les yeux vers le sol avant de reprendre la parole.

"J'ai paniqué...."

Paniqué ? Mon cul oui ! Enfin mieux vaut un petit mensonge que lui dire la vérité, de toute manière il ne peut pas la lui dire ! Non, sinon ça fout à l'eau tout son petit business et ça plutôt mourir ! Il finit par s'incliner faut geste de reconnaissance et de politesse avant de reprendre la parole.

"Merci de votre aide !"

Bon au fond de lui il le remercie, un peu... Car oui sans lui il serait vraiment dans la merde, heureusement pour lui et malheureusement pour le patron des lieux mais il est content qu'il soit descendu. Il n'a pas le temps pour plus montrer sa gratitude et d'un côté tant mieux pour lui que l'eau commence à monter. Il affiche une petite grimace, et merde son matos ne doit pas prendre l'eau, sinon tout tombe à l'eau et dans ce cas dans le sens propre du terme ! Il décide donc de monter sur la table et de s'asseoir et indien dessus.

"Vous ferez mieux de monter si vous ne voulez pas vous retrouvez avec de l'eau jusqu'aux chevilles"

Oui ils ont encore de la marge avant de finir mourir noyer, mais voilà ne pas sortir de là trempé se serait cool aussi non ? Il pousse un léger soupir. Putain, en vrai il fait froid ici et avoir les pieds mouillés n'aide en rien...

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Il te paraît suspect ce type tu ne sais pas pourquoi mais ton instinct te hurle de te méfier de lui. Pour le coup ton instinct a raison mais tu ne veux pas y penser pour le moment donc à la place tu lui demandes qui il est et ce qu'il fout dans les vestiaires du personnel et voilà que le type se gratte le crâne en te disant qu'il a paniqué. Nous voilà bien beau ! Tu hausses des épaules en le scrutant tandis qu'il s'incline légèrement en te remerciant pour ton aide et tu ris « Pas de problèmes. » Tu réponds avec un petit sourire. Pour l'instant tu ne sais pas quoi penser exactement de ce type et pour le coup tu t'en fous, tu veux juste sortir d'ici, au pire une fois que l'inondation sera terminée tu feras inspecter les caméras de surveillance qu'il y a dans le vestiaire pour t'assurer qu'il n'a rien fait de mal. Mais oui tu n'y crois pas tellement à son histoire de panique même si ça pourrait être possible, seulement t'as surtout le sentiment que ce type est un acteur et tu te demandes où est la caméra cachée... Entre l'inondation et ce type qui refuse de te dire qui il est clairement tu as vraiment l'impression d'être dans un film à la con où tu vas te faire piéger et passer ensuite sur YouTube et passer pour un idiot.

Par chance il ne t'arrivera rien de tout ceci mais voilà pour le moment tu es surtout préoccupé par la flotte qui commence à s'engouffrer dans les vestiaires, tu vois le gars monter sur une table et se mettre à l'abri de l'eau aussi bien que possible et lorsqu'il t'invite à en faire autant tu ne te fais pas prier et tu grimpes comme tu veux sur la table, par chance elle est haute donc avant que l'eau monte jusqu'à vous, vous avez de la marge. Le cul posé sur la table tu te tournes donc vers ton compagnon d'infortune dont tu ne connais toujours pas le nom. « Et vous vous appelez comment ? » Tu demandes curieux en le fixant de tes grands yeux en amande. « Je vais vraiment finir par croire à une caméra cachée à ce rythme tellement ça me semble affreusement con comme situation, pas vous ? » Tu ajoutes en roulant des yeux tant la situation te semble absurde et ironique au plus haut point... Espérons juste que les secours arrivent vite.... Tu gardes le talkie-walkie près de toi au cas où on cherche à te contacter en espérant que les secours ne tardent pas trop...

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Il semble le croire, c'est une bonne chose en soit, même s'il le sait que son plan est tombé à l'eau surtout lorsqu'il voit les caméras de surveillances. Attendez ? C'est légal ça ? Il plisse les yeux vers le mec qui se trouve avec lui, est ce que c'est un pervers qui filme ses employés en train de se changer. Est-ce que sa prochaine victime se sera lui ? Il pousse un long soupir, il n'aime pas cette situation, il doit trouver un truc pour ces caméras-là Il ne laisse paraitre aucun stresse et lui propose même de venir le rejoindre sur la table chose qui ne tarde pas à faire, c'est à ce moment qu'il reprend la parole et la question tant attendue la question sur son prénom. Non il ne compte pas lui répondre, surtout après ce qu'il va voir grâce à ses caméras. Il se contente d'hausser les épaules et le laisse reprendre la parole. Sa phrase le fait rire et il ne peut s'empêcher de répondre.

"Les caméras sont déjà présentes non ? Savez-vous qu'il est interdit d'installer des caméras dans les vestiaires et les salles de pause ?"

Il secoue la tête tout en regardant la table réfléchissant à un moyen de se sortir de cette merde. Putain, pourquoi ce mec a cru intelligent de faire ça. Il se met cependant à rire, oui, la solution était là depuis le début. Pourquoi stresser ? C'est vrai, au fond il ne pourra rien faire de ses images, car ce sont des images prisent de façon illégal. Il est dans un sens sauver, même s'il a en face de lui un futur ennemi. Il tape dans ses mains avant de pousser un long soupir de soulagement avant de reprendre la parole tout en lui esquissant un petit sourire amusé.

"Je ne reviendrais plus ici ne vous en faites pas"

Il espère qu'il va se souvenir de ses paroles lorsqu'il va découvrir ce que ses caméras ont filmées. Il espère aussi que ce n'est pas le genre de personnes qui fera tout pour le retrouver. Car en réalité il n'a rien voler il a juste prit un portable et la reposé quelques minutes plus tard, voilà ce que les caméras ont filmées, rien de plus et rien qui pourrait lui causer trop d'ennuis. Surtout qu'il se doute que le blond aura d'autres choses à faire que de s'attarder sur son cas, il a sans doute perdu pas mal de marchandise dans cette inondation, finalement, pour une fois le karma semble être de son côté. Il espère que cette chance n'est pas prêt de le lâcher, il demande juste une seule chose que cette mission ne soit pas un échec et qu'il ne finisse pas en prison.

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A la suggestion du mec tu t'installes donc sur la table en roulant des yeux tout en lui demandant comment il s'appelle et le type te parle des caméras, te demandant si t'es au courant qu'elles sont interdites dans les vestiaires et dans les salles de pause, tu ricanes alors. « Elles ne filment pas à l'arrivée des employés ni au moment de partir, on respecte l'intimité des salariés ici, elles sont programmées pour. Le reste du temps elles filment par contre. » Tu dis en soupirant. « Donc rien d'illégal à cela vu qu'on ne les filme pas à poil si vous voulez tout savoir. C'est la maison du chocolat ici, pas la maison du porno. » Tu ajoutes en t'esclaffant. « Cela dit vu qu'il y a de l'eau à l'étage du dessus je doute qu'elles fonctionnent encore, la preuve à ce que j'annonce il n'y a pas le voyant rouge d'allumé, quoiqu'il en soit ça ne me dit comment vous vous appelez. » Tu commentes en le fixant un instant avant de grogner en voyant l'eau descendre des escaliers, si ça continue comme ça vous serez bientôt sous l'eau tous les deux. Le type t'indique qu'il ne reviendra pas ici et tu hoches de la tête. « Des clients sont toujours les bienvenus dans la boutique, dans les bureaux et tout ce qui s'apparente au personnel un peu moins par contre. N'hésitez pas à revenir goûter nos chocolats. » Tu invites d'une voix plus douce.

A la suite de ça tu entends quelqu'un en japonais dans le talkie-walkie, tu fronces les sourcils tout en attrapant l'appareil et on t'indique que les secours sont derrière la porte de sécurité des vestiaires et qu'ils essaient de défoncer la porte tu soupires d'aise plein d'espoir. « Nous sommes dans les vestiaires justement avec un client au centre de la pièce sur une table. On vous attend. » Tu dis joyeusement retrouvant peu à peu le sourire face à toute cette galère sans fin... Tu entends justement des coups contre la porte un peu plus bas et tu entends également des voix derrière la porte vous assurant qu'on va vous sortir de là, tu souris alors tout en quittant la table alors que tu t'approches de la porte de secours qui semblent pas mal endommagée de l'extérieur, merci Papa qui enverra un bon gros chèque pour réparer tout ça, à moins bien sûr que la Mairie ou l'État japonais s'y colle. Dans tous les cas tu entends des voix s'adresser à toi et tu souris tout en faisant signe au blond qui t'accompagne depuis tout à l'heure pour qu'il te rejoigne. « On est en haut des marches, on vous entend et on vous attend avec joie. » Tu dis en souriant alors que tu vois la porte qui commence doucement mais sûrement à céder avec coups qui sont donnés dedans...

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Hum, il ne dit rien et se contente d'hocher la tête, il est tellement soulagé qu'elles n'ont rien filmés, comme quoi il a de la chance dans sa malchance non ? Enfin c'est qu'il croit et ose penser. Il lui assure cependant qu'il ne va plus remettre les pieds dans sa boutique, chose qu'il pensait ferait plaisir au plus vieux, mais ce dernier reprend la parole et lui répond quelque chose à laquelle il ne s'attendait pas. Il plisse les yeux et essaie de le comprendre, il finit par hausser les épaules et très vite les Talkie Walkies se manifeste. Ou plutôt les personnes derrières qui les avertissent que les secours sont arrivés. Il pousse un long soupiré de le savoir et se détend enfin un peu. Ce n'est que quelques secondes plus tard que des coups se font entendre, oui, ils essaient sans doute de défoncer la porte. Les voix derrière la porte se veulent rassurantes et elles leur assurent qu'ils vont bientôt pouvoir sortir. Ji Yeong ne répond rien et se contente de rester sur sa table alors que Min Ho se rapproche de la porte. Il plisse les yeux et secoue la tête lorsqu'il lui fait signe de venir.

"Je préfère attendre que la porte soit défoncée"

Oui, car après tout il ne sait pas ce qui pourrait arriver, ils pourraient péter quelque chose et plus d'eau pourrait descendre, ou la porte qui leur tombe dessus. Il ne sait pas et il imagine toutes sortes de scénarios les plus dangereux les uns que les autres, car au fond il préfère prévoir l'imprévisible que d'avoir une mauvaise surprise. Il entend les coups se faire plus fort et devine que la porte ne va pas tarder à céder. Il regarde le blond qui se trouve à quelques mètres, il ne semble pas vraiment se méfier de lui. Il ne le comprend pas vraiment, mais bon son comportement l'arrange pas mal il faut se l'avouer. Il finit par se lever et quitter sa table quelques bonnes minutes après lorsqu'il entend les secours descendre les rejoindre. Bon finalement plus de peur que de mal hein. Il s'approche de Min-ho et s'incline une nouvelle fois devant lui.

"Merci"

Il ne sait pas trop pourquoi il le remercie, sans doute d'avoir appelé les secours, et de les avoir sortie de là, il affiche une grimace de gêne lorsqu'il retrouve cette sensation désagréable de pieds mouillés à cause de l'eau. Il ne perd pas de temps et se dirige vers les escaliers profitant de la confusion et surtout de la joie d'avoir sauvé leur patron pour sortir des vestiaires.

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Tu te mets en haut des marches menant vers le parking de la chocolaterie. A l'évidence les secours n'ont trouvé que cette solution pour pouvoir vous sortir de cette merde sans fin et tu flippes à l'idée d'imaginer ce qu'il se passe aux étages supérieurs. Est-ce si dramatique que ça ? Est-ce qu'il y a eu des dégâts irréparables ? Oui tu te le demandes bien pour le coup. Mais la réponse t'effraie beaucoup, que faire si jamais il y a trop de dégâts ? Ceci te rappelle étrangement un film américain des années soixante-dix que tu as vu il y a de cela des années : La Tour Infernale. Sauf qu'à défaut d'avoir du feu dans ta chocolaterie il y a de la flotte et c'est condamné pour le moment. Tu espères juste que ça se terminera mieux pour ton boulot que pour la fameuse Tour de San Francisco du film parce qu'au fond que ferais-tu de ta peau si jamais l'usine devait fermer ? Eh bien, tu retournerais en Corée et ça c'est inacceptable pour le moment. Mais pour l'heure tu poses tes yeux en amande sur le jeune homme sans nom et tu lui fais signe de s'approcher mais il décline te disant qu'il préfère attendre que la porte soit défoncée, tu hoches de la tête sans mot dire. Froussard ? Probable ou alors il a juste peur des dégâts qu'il pourrait y avoir avec la porte qu'ils tentent d'abattre avec un bélier et c'est peut-être toi dans ce cas là qui est un sot pour rester aussi proche de la porte et donc d'une potentielle arrivée d'eau. Mais bon, les secours sont là pour ça, non ? Pour vous aider, donc tu supposes que s'ils sont passés par là c'est que c'est sécurisé.

Au bout d'un moment ils réussissent à abattre la porte de sécurité et pas de dégâts fort heureusement, au contraire, le seul dégât c'est pour la porte qui s'est fait assommer par le bélier qu'ils tiennent dans leurs mains. Le type sans nom s'approche alors de toi et s'incline à nouveau en te remerciant et tu ris. « Pas de problèmes. » Tu réponds simplement tandis que vous descendez les escaliers rejoignant alors les secours qui vous éloignent l'un et l'autre du danger. Tu prends connaissance de la situation dans ton usine et on t'apprend que la boutique est sous l'eau mais que les bureaux aux étages supérieurs sont intacts. Tu hoches de la tête en grimaçant, peu emballé par tout ceci tandis qu'on t'apprend qu'il n'y a pas eu de blessés ni de morts dans toute cette histoire et tu soupires de soulagement. Il n'aurait manqué plus que ça tiens ! Après un moment ton chauffeur se tourne vers toi en te demandant si tu veux rentrer tout de suite et tu hausses des épaules. « Oui allons-y Brinjiki. » Tu murmures en fixant l'homme d'un certain âge tandis que tu te tournes vers le type qui t'accompagnait. « On peut vous déposer quelque part ? » Tu proposes d'une voix douce alors que tu te tournes vers ton agent de sécurité « Pouvez-vous vérifier qu'il n'y ai plus personne dans les locaux s'il vous plaît ? » Tu demandes tandis qu'il t'apprend que tout le monde est en sécurité hors de la chocolaterie et que vous étiez les derniers à être encore dedans, tu hoches alors de la tête en soupirant sans rien répondre... « Bon eh bien allons-y. » Tu murmures en t'avançant jusqu'à la limousine, ton portier t'ouvre la portière et tu grimpes à l'arrière de la limousine en attendant de voir si le mec sans nom va vous suivre...

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